Les ruelles de Vampire City

Bien entendu ce qu'il vient de se passer n'est pas ma faute et je suis scandalisée de la propension de Selrak a toujours tout me mettre sur le dos. Pendant que je me dirige vers la Taverne pour me nettoyer quelque peu, je ne me gène pas pour lui faire des reproches

Comment ça "bien joué"? Je maitrisais parfaitement la situation quand tu as débarqué comme un chat dans un jeu de quilles, je te signale. Je ne t'avais rien demandé et qui voilà qui apparait comme le preux chevalier gaffeur? Selrak! Je n'en reviens pas, vraiment! Je ne me suis pas roulée dans la boue, MOI, et je ne me suis pas bêtement fait blesser, surtout dans un endroit aussi empli de miasmes...

Mon congénère est ourtré de ma mauvaise foi, et nous commençons à nous battre en pleine rue, comme des chiffoniers

Sous une alcove sombre une créature de près de 2M de haut, au forme trop étrange pour correspondre encore au critère humain, était entreint d'attendre dans les ombres qui le dissimulait. Il n'eu pas longtemps à attendre, au bout de trois minutes une forme difforme sorti d'une plaque d'égout dans un silence parfait. Il s'approcha du "géant" et dans un mumure

"C'est fait. La chasse sera surement lancé, cela vous laissera le temps d'agir,(un grognement traversa l'air, le géant ce mis sur c'est garde mais au spame parcourant le monstre, son interlocutuer compris que celui la ne fesait que rire) je leur donne bien du courage pour me trouver d'ici la!! Le refuge de ton maitre pourrait sufire mais je préfère de loin ses sous-sols."

Le Géant ne broncha pas, il aquiéssa de la tête tourna les talon, sans craindre une qlqonque attaque de l'être déformé, et patit prévenir son supérieur du bon déroulement de la première fase.

La sirène de police retentit dans le quartier, devant l'hotel le plus coté de la ville
un attroupement de bétails fît venir les curieux, les flashs des journaliste eblouissaient les policiers qui pénniblement tentaient de faire recullé la foule.

Le brancard des médecins légistes sortie, triste nouvelle pour la famille et bonne affaire pour ces corbeaus de journalistes.
"-S'il vous plait Sergent Rosco une déclaration pour le Parisien !"
-Un crime attroce et d'une extreme violence viend d'etre commis.
Nous n'avons toujours pas d'information sur le meurtier mais je vous promet que cette personne sera sévèrement puni, rien d'autre à ajouter"

Cet déclaration rassurerait t'elle nos citoyens, non.
encore une fois un crime qui ne serat certainement pas résolue de si tôt...

Un homme brun aux tempes grisonnante dégustait un Wisky, observant l'atroupement à sa fenêtre.
*Délicieuse personne était ce...*

(Quelque part dans les ruelles)

un vampire magnifiquement vétue d'une chemise de soie couleur sang,d'un pantalon de costume et de chaussure de ville,marche dans les ruelles a la recherche de ça prochaine victime,dans l'ombre quelque chose bougeais discretement mais le vampire un Toréadore a premiere vue l'avant sentit,celui ci pensais que ça devais etre un pick pocket au pire ce pauvre voleur deviendrai son diner ce disais il...
Soudain une marre de sang s'écoula de derrière des poubelles,le Vampire ce dérigea dans la direction des poubelles voir qui était mort la.
il dégagea une des poubelles mais la un truc n'était pas normale! il y'avais bien du sang qui s'écoulais formant une flaque de sang derriere le vampire mais pas de corps,celui ci s'interrogeais quand il vue une ombre grandir derriere lui,la vampire pivota pour tombé face a un homme,vétue d'un pantalon de pyjama comme dans les hospitaux.

-Mais qui?

-La Ferme!

l'homme sauta a la gorge du vampire pour boire son sang,L'homme au pantalon de pyjama était chauve mais plus il buvais le sang du vampire plus ces cheveux blond poussais,arrivé au épaule ces cheveux avais fini de poussé,mais il continue de ce nourrite jusqu'a la mort du vampire.

-Encore! encore! du SANG!

[H.R.P:Désolé double poste]

L'homme vétue d'un pantalon de pyjama,courrais pied nue vers la cathédrale de chair de Vykost,son ventre gargouillais il avais faim...horriblement faim...,il tribucha quelques vingtaine de metres avant d'arrivé au porte,quand il releva la tete son visage était couvert de terre,il ce releva et ce remis a courir,arrivé a la porte il ce mis a frappé a celle ci,des coups fort donnant pourtant l'impression d'un personne ayant besoin d'aide.

-Ouvrez! Ouvrez!

Criais l'homme a la chevelure blonde et au yeux bleu casi Gris.

-Père je vous en prie ouvrez moi!

Il tomba a genou devant la porte,il avais besoin d'energie! de sang! la tete collé a la porte Vykost aurai pu reconnaitre ce visage parmis mille celui d'Alazarus,mais ce n'était pas Alazarus,c'était la Bestia Tenebrae réssusité,elle n'était qu'une partie de ce qu'elle avais été,elle avais les traits d'alazarus le voyageur et pourtant elle était différente,La ou Alazarus était brun au Yeux noir ,la bestia tenebrae était blonde au Yeux bleu,tous deux de Sexe masculin,de meme stature,meme visage,juste les cheveux et Yeux pouvais distingué les deux créatures,il ne coulais dans les veines de la bestia tenebrae que peu de sang Lycan,assez pour lui donné une force colossale et une immunité au soleil,mais le reste n'était que du sang de vampire,entrainent une faiblesse que plus grande,il avais besoin de sang pour vivre...de sang humain...ou vampire...Vykost pouvais a présent entendre dans un mumure la voix caverneuse de la bestia,qui parlais avec ça voix a présent naturel.

-Pèreeee! ouvrezzzz! a votreee! enfanttt!

Les portes massive de la Cathédrale s'ouvrirent devant la Bestia Ténébra, Celle ci trébucha en entrant-tombant dans le hall des Milles visages, mais elle se releva instantanément et elle vit au bout de ce Hall qui lui parrut bien trop, Myca Vykost, enfin la facade du corp de Vykost étirant le mur du fond sur plus de 5 mètres derrière lui, puis la moitié du corp parrut sortir et s'arréta juste au niveau des épaules.

"Vient mon enfant, vient voir ton....père"

Et la bestia traversa les 150M les séparant en moin d'une seconde, et se retrouva dans les Bras de Vykost.
Les portes de la Cathédrale se fermèrent alors que la créature et son créateur fusionnaient avec le batiment.

En début de soirée, alors que le soleil venait de se coucher enfin,
un couple et leur jeune enfant sortaient du salle de cinéma
content d'avoir passé un bon moment.

Ils se raprochaient de leur véhicule quant trois jeunes gens, s'approchairent du couple.
Se bousculant et se braillant des insultes entre eux, ils regardèrent passé la petite famille devant eux:
"Héé bonjours poupée !" interpela l'un d'entre eux.


Les voyous en un coup d'oeuil se mis d'accord.
L'un d'entre eux leur bloquat le passage:
"Héhéé ! vous allez où comme ça ?"
Le couple et l'enfant se stoppèrent, l'époux lui demanda de leur laisser le passage
pendant que la femme et l'enfant se vu saisir par derière, l'homme furieux leur lançat:
"Ne touchez pas ma famille" mais il était déjà trop tard.
L'un des voyoux caressait déjà fermement l'entre-jambes de la femme pendant que l'autre lançat une puissante giffle au gamin qui chue au sol.
Le mari vu rouge et frappat celui qui venait de bousculer sa progéniture mais ne pouvant pas libérer sa compagne, puisqu'il tombat au sol pres de son rejeton, une lame planté dans les côte.
Encore un cri dans la nuit....
Les voyous se préssèrent de fouiller les poches et de tranché la gorge de la femme avant de déguerpire, l'enfant rageux tenta de leur courir apres.
Un coup violent lui percuta le crane et il tombat de nouveau au sol.
Ses yeux se fermèrent sur ses parents et leur sang s'écoulant dans le caniveaux.
Une Ombre le soulevat et il cru s'envoler et parcourir les toits.



A son réveille, ses yeux se posèrent sur un verre d'eau, il était allongé sur un matelat sale, une petite chambre délabrée et dans le noir d'un angle de la pièce, l'ombre qui l'avait secourut.

-"Tu n'as plus à avoir peur, jeune enfant, quel est ton nom ?
-Je...je m'apelle Paul, Monsieur.
-Paul tu est en sécurité ici".

L'enfant jetat un coup d'oeuil sur le verre, le pauvre était assoiffé.
-"Tu peu boire, dit la voie, et tiend j'ai quelques cookies"
Il rattrapat une boite et dévora le contenue.
L'homme le regardat puis se levat, s'approcha de lui et tendant la main:
"C'est le moment, viend suis moi !"

Paul perturbé par la perte de ses parents et étant incapable de réfléchir par lui-même, puisque sous mon contrôle, me suivat.
Nous passions dans la pièce d'à coté, une pièce aussi sombre que la nuit.
Sur l'un des murs, une immense tache de sang séché s'était écouler jusqu'au parquet de cette vieille batisse abandonné.
L'enfant perdit connaissance et percutat le mur comme pousser par une force invisible.
Je me mis torce nu et tendit les mains vers lui.
Ses membres se mirent à tremblé, sa chaire et ses os s'eccrasèrent comme un misérable insecte que l'on pietinne.
Pendant plus de 24 heures je restai immobile devant lui, concentrer.
Enfin le rituel pri fin, son envelope charnelle éclatat, son sang et ses organes parcouraient le mur dans un bruit sourd, le mur dessinnat un portail.
*Enfin terminé !*
Satisfait de moi, je passais de l'autre côté et disparue.

La nuit n'allait pas tarder à prendre fin quant je réaparut, le corp griffé de partout, portant sous le bras une étoffe de cuir humain.
Je m'assis épuisé et déballat ce précieux que j'avais caché de l'autre côté.
*Nous voilà de nouveau réuni !*
Dévoilant le cadeau que mon maître m'avait offert il y a quelques mois de celà, elle venait de réaparaitre, elle avait faim.
Je lui fit don d'un litre de mon sang avant de m'endormir sur le paquet usé de la pièce.

(Dans une salle de sport soutéraine)

Je me tenai assis dans un coin et regardais mes deux disciples s'entrainer. Marius était en train de fracasser un punch ball pendant que Ombre restait assis en position du lotus.

Ces deux Sabbatiques m'avaient paru très prométeur dès leur arrivés dans la secte et je ne m'étais pas trompé. Marius, bien qu'il n'exèdait dan ses capacitée intellectuelles était une force de la nature; il pourait rivaliser avec un lycan sans problème. Quand à Ombre il était plus discret mais il était d'après moi bien plus puissant que Marius il m'a à mainte reprise étonait par son agilité et sa prescision. A eux deux ils formaient un couple presque parfait une vrai machine à tuer .

J'atterris dans une ruelle sombre. Lieux mal famés. L'absynthe s'écoulait en moi comme un poison. Deux décors se mélaient. cette ruelle et la Grèce. Moi, avec mes soeurs, en chasse. Il faut des males, certaines vierges de la tribu peuvent enfanter. Moi je ne le veux point. Un être dans mon corps, quel horreur. Ne pas savoir si ce sera une fille ou un mâle me répugne à en avoir. Je veux être libre.
En proie à mes visions, je sens une haleine fétide derrière mon oreille.

Alors, ma jolie, c'est pas prudent de se promener seule, la nuit dans ce quartier. Regardez, vous êtes toute froide et en plus ivre. Venez, je vais vous rechauffer.

Je fis volte face et saisis le malveu par le gorge et le soulève de quelques centimètres au dessus du sol.

Ce n'est pas à moi d'avoir peur mais toi.

Et crac, le cou cède. Je porte ma victime à mes lèvres et me repait de ce sang, chaud, humain, mâle. Je fends sa poitrine et retire le coeur encore chaud et palpitant. je me délècte des quelques gouttres qui reste. Et là, je me rends compte que je suis seule, plus d'Amazonnes, plus de famille, juste moi. Un rage m'envahit et je démembre ma victime morceau par morceau.

Je te remercie mon grand, tu as réussi, tu m'as réchauffé.

Et je reprends ma route vers la Taverne, encore plus soule car il ne buvait pas que de l'eau et heureuse. J'étais de retour.

J'immerge de cet état catatonique et regarde les restes du mort.

Sortant de la taverne, une odeur trop familière parvient à mes narines.

*Du sang ... un corps en décomposition ... la mort ... probablement la femme de la taverne qui a trouvé son repas ... allez, je pars en chasse, je mange et je dors, demain j'ai du pain sur la planche*

Je traverse les ruelles de Vampire City afin de trouver un hotel.

Au moment de prendre mon envol pour retourner la Taverne, je sens la présence du jeune lycan.

Jeune Loup, on espionne pas un vampire pendnat son repas, ça peut le mettre de mauvaise humeur. et cache tes pensées, il y de très bons télépathes ici.

Je prends mon essor et concentre mon pouvoir vers les morceaux de cadavre. Ils prennent feu.

Dehors il régnait une ambiance ténébreuse. La soif me pris.

*trouvez une proie avant de se coucher*

Je me mis à errer dans les rues de Vampire city à la recherche d'un casse-croute.

Dans une ruelle pres de la taverne, j'entendi un rongeur grignotant quelques déchets.
Je ne pue résister à vouloir l'attraper, l'état de félin dont j'avais pris forme embrouillait quelques peu ma personnalité.
*Que voulez vous, c'est à double tranchant...*
En un bon je lui tombais dessus, entre mes pattes il poussat un cri et se débattat jusqu'a s'échapper. J'avoue ne pas être tres abile comme ça.

Le rat s'arretat à quelques pattes de moi se retournat et m'observat.
Ses petits yeux brillants me regardait et moi pres à bondir fût étonné de le voir gonfler subitement de volume, son corp craquat. Une mutation se produisit sous mes yeux étonnés.
Le rongeur grossisssant toujours et encore me fixait.
Je bondit sur une poubelle et repris ma forme d'origine.

Autant sur mes gardes que curieux je me mis sur la déffensive et l'être nouveau qui venait d'apparaitre devant moi, mesurait désormais pres d'un mètre sous une forme d'homidé, pronnonçat quelques choses que je ne comprennais pas.

"Qu'est tu, étranger ?"
L'être ne me répondit et s'enfuit dans l'obscurité de la ruelle.
Je sortit l'esprit encore étonné.
*Etait ce l'un de ces croqueurs sorciers...ou un sauvageon d'apatrides ?*


Je vis au loin arrivé à tombeau ouvert l'une de mes goules qui venait me chercher:
Les enceintes crachait le dernier tubes
d'un Loup-garou internationnalement connu: "Snoop Dog" et son titre "Run, mother F***, run".
La portière s'ouvrit et je rentrais dans le véhicule.
Dans un crissement de pneu, nous partions vers la maccabre cathédrale.
*Une tache devait être accomplie*

Assise sur un banc dans un parc bordant la rue de la taverne une silhouette encapuchonnée restait immobile telle une statue.
Seul le clair de lune permettait de distinguer de fines gouttes rougies entachant dans leur chute, les main laiteuses du "fantôme".
Au loin on pouvait distinguer l’agitation des rues de vampire city alors qu’aucune âme ne rodait autour de l’étrange créature en méditation.

Le vent dans les feuilles des arbres hauts ajoutait à la scène une dimension glaciale. La capuche noire de la statue glissa en arrière révélant le visage marqué de larmes de sangs de la jeune Gangrel connue sous le nom d’Helen.

Les yeux de la vampire fixaient un point juste en face d’elle. Il n’y avait rien là bas. Juste un vieux tourniquet grinçant et rouillé.

Helen était assise en ces lieux depuis le couché du soleil. Elle était restée là, comme si elle attendait la venue de quelqu’un mais jusqu’à maintenant personne ne s’était annoncé.

Le tourniquet se mit à grincer pus distinctement.
Une silhouette plus massive que celle de la vampire sortit de l’ombre au delà du manège pour enfant.

D’un pas léger et lent, la créature se dirigeât auprès d’Helen qui la fixait toujours.
Une main aussi blanche que celle de la gangrel s’approcha de son visage essuyant d’un geste doux les larmes sanglantes.


******** : Ce n’est pas ainsi que j’avais espéré te retrouver…

Helen : Je pars…dès à présent…Voyager, voir le monde…j’ai besoin de ça…

La Gangrel se leva enfin, la tête basse, elle tourna le dos à son interlocuteur.

Helen : J’avais envie de te voir une dernière fois. Je sais que tu as décidé de quitter vampire city dans les jours qui viennent, c’est pourquoi je voulais te prévenir que je ne serais plus là…

La vampire réajusta sa capuche avant de se diriger vers la rue, laissant seul au milieu du parc Kehperan qui la regardait disparaître dans l’ombre des arbres.

Kehperan: *Pardonne moi...*

tapi dans les ombres pret de Kehperan et d'Helen, une créature difforme se régalait du spectacle

*Voila des infos intéressantes, cette asmosphère de changement qui plane sur la ville me plait beaucoup, oui beaucoup!!!

Mon maitre sera ravis de ses nouvelles...*

Je sortais de la bibliothèque pour fumer une clope, je n'avais encore rien trouvé sur ce soi disant "Argent lunaire".
Quand soudain une drôle de sensation m'envahit, la bête caché en moi voulait sortir mais je ne comprenais pas pourquoi, cette force poussait, j'essayais de la contrôler mais ... elle me mis à genoux ...

- AAAAGH ... AAAAAAAAGH !

Je ne pu la retenir plus longtemps.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH !

la métamorphose opérait. Mes habits craquèrent dans tous les sens. L'homme que j'était venait de céder la place à la bête. En forme crinos, j'entendis comme un appel, mais que se passait-il, jamais auparavant je n'avais agît de la sorte. J'était comme prisonnier dans un corps, je voyais, j'entandais tout mais je ne pouvais contrôler mon corps. L'appel devint plus intense et sans pouvoir me retenir, je me mis à hurler, à hurler comme jamais !!!!

*Mort ... colère ... vengeance ...*

Tous ces sentiments m'embrouillaient l'esprit. Je me mis à courrir mais je ne connaissais pas encore la situation.

J'étais de retour plus tot que je ne l'espérait. J'avais atteont la Grèce mais tout avait changé. La Cité, ma ville. Mais le plus inssuportable a été d'apprendre la Mort de mon créateur. Il s'est livré aux flammes et je n'étais pas là. J'avais fait une halte dans les fôrets nordiques, où j'avais d'ailleurs rencontrée un genre d'Amazonnes qui vouaient un culte à Hel, fille de Loki. J'avais discutée avec elles et avait appris beaucoup de choses de ce culte. Et au moment de partir, la vision, Marcus au milieu des flammes. Il ne supportait plus sa condition et mon absence. Son esprit était confus et je n'ai pas pu lui parler.

Les ruelles sont calmes, trop calmes. Quand soudain j'entends Shanoir dans ma tête, une bataille en terre lycan, les loups victimes des Tzimices, des morts. C'était trop pour mon esprit et pas moyen de le fermer.

Shanoir est épuisé et n'use pas du Don Onirique, il est faible.

Mais d'abord j'ai soif. Il me faut un homme.

L'homme venait de se nourrir et sortie du fast food asiatique quant son téléphone sonat.

"- Allo !"
- ....
- Oui, qui le demande.
-...
- Je suis tres occuper actuellement.
-......
- Oui je vous écoutes.
-.....
- Mais...
-...
- Oui...Biensure
-...
- Comment savez vous ça ?
- ...
- Oui.
- ...
- Dans ce cas !
-...
-Bon et bien disons, demain vers 23 heures dans un lieu approprié.
-....
- Le Spa...Ok
-...
- Tres bien, a demain alors.
-...
- Vous aussi."

Il raccrochat et préssat le pas, tournat dans une ruelle et disparu.