La Chasse [RP]

C'est a ce moment que je revennais les bras encombrés de différentes choses que je déposait pres du feu.

3 racines de Mandragore.
1 douzaine de champignons à l'aspect étrange.
1 bouteille remplie d'un sang inconnu
4 grandes feuilles jaunies

Je me redressais et regardai Grave, Myca et Craoud qui s'avançait, regardant les "Courses" que j'avais fait.
"Tout y est !"

Nous préparions la mixture pendant un moment.
La douzaine de champignon broyés, mélangé au sang et apres les avoir fait cuir dans les braises envellopé dans les feuilles jaunies.
La mandragore, sa substance fortement allucinogène quant elle se retrouve imbibé par les partie intime, sera pour demain.
En attendant il nous fallait un refuge pour le jour qui n'allais pas tarder à se lever.
Peu importe pour moi, mais Morkal, Murdoc et Grave en avait encore l'utilité.
"Je veillerais donc sur votre sommeil." leur dis je d'une voie rassurante.

La Journée se passa sans encombre.
A l'abrit dans mon cocon, rien n'avait changer à la veille.
Me réveillant, je fendi ma protection et tomba de la branche à laquelle je m'étais fixé.
Myca et Grave était encore prisonnier de leur cocon.

Craoud, comme il nous l'avait assuré, avait garder le camp.
Ravivant le feu de temp à autre.
"Bonsoir Maître des Malheur".

Je sortais de mon cocon a mon tour.
Le Jeune Grave n'en était pas responsable mais
Des rêves avait abité mon sommeil.
*Nous étions en pleine cérémonie, alors que la lune brillait rougeoyante dans le ciel claire de la nuit,
Invoquant l'être Ténébreux, lui redonnant vie par nos sangs, les chants nécromantiques résonnait autour de nous.
Le feu s'agitait, dansant au centre, de ses longues langues brulantes.
Puis vint subitement les bruits des arbres remuant avec le vent.
Les herbes fouaitait de plus en plus, le vent soufflait par rafale et la pluis menaçait de s'éffondrer sur nous.
Nous sentions la terre tremblée, les hautes herbes fouettant toujours plus sanglantes nos jambes.
Vint alors que la végétation s'entremélait, poussant à une vitesse affollante autour de nous.
Des orties, des ronces et autres aiguillons végétales nous encerclait prennant de l'empleur jusqu'a une dizaine de mètres de haut puis s'éffondrant sur nous 4.
La végétation nous ligaturait les membres de plus en plus, notre souffle nous aurait été coupé si seulement nous respirions.
Puis le Noir, L'obscurité total sans aucun son.*

Je me redressais et envoyat un regard à Craoud.
Rassurer que celà ne fut qu'un rêve, mais encore anxieux.

Je lui dis.
"Oui une force ennemi peut éventuellement faire capoter nos plan."

Peut abituer à ce genre de cocon je me débâtais pour en sortir et fini par en être expulsé.
Retombant sur mes jambes de justesse je m'approchai et constatais être le dernier réveiller.

"Sombre soir mes maitre"

"Ne vous inquiètez pas, l'éventuel géneur est identifier et il ne pourra rien"
Je leur montrais du doigts le cercle en terre rouge que j'avai tracer pendant leur sommeil.
Un cercle d'une Quinzaine de diamètre autour de nous.

"..Je vous ai apporter de quoi vous nourrir avant le début."
Je leur indiquai un jeune couple inconscient sur le coté.
"Régalez vous la nuit sera longue"

Je me penchai vers l'un des deux captifs et le saisi par le col et dégageat son coup pour planté mes dents dans sa carotide.
Il ne réveillait même pas, juste un "HMmmm" s'échapait de sa bouche.
L'extase de la morsure...ou le symbole d'une douleur percu loin dans son coma.
Le laissant s'éffondrer au sol, je m'essyai la bouche les yeux brillant.

il y avit bien longtemps que je n'était pas retourné en territoir lycan, je ne sait pas ce qui me poussa à y aller mais j'avais senti qu'un grand danger nous menacait. j eprit forme chrinos et parti en courant en souhaitant arriver à temps.

Du gouffre une forme s'échappait en une masse visqueuse qui pris forme sous nos yeux.
Un corp de 2 mètres de haut, des cornes droites et pointues émergeant de sa tête.
Des bras long et massif qui dessinait en un instant des doigts crochus et puissant.
Petit à petit lâ frome pris des couleurs et du corp se détachat un glaive d'un mètre et demi de long.
Un glaive de feu.

-"Qui etes vous libérateurs ? grondat il d'une voie d'outre tombe.
-Je suis Craoud, démon déscendant du Sabbat.
Nous t'avons libéré de ta prison infernal pour que tu respecte le pacte qui te lie à tes libérateur, Azar Grand Trépassé !"

Les visions et la douleur cessa, tout redevenais clair.
Je lui répondais par télépathie.

*Bien maitre je ferai selon vos désirs*

La mission était claire et mes souffrances ne faisaient que commencé, enfin...

Je courrait encore et encore j'était presque à bout de souffle, il ne me retait que peu de chemin à parcourir pour arriver aux territoir Lycan. soudain quelque chose m'envahis, une douleur qui m'était insupportable.

Gaya pleurait.
Je tombait à terre. je ne me relevait que bien des heures après, ne sac
hant pas où j'était ni pourquoi j'y allait.
quand je me reveilla, je sut que le mal était déjà parmis nous.
je me précipaitait donc de plus vive allure vers le territoire Lycan.
il y avait un danger auquel je ne pouvais pas donner de nom, mais c'était un danger mortel pour nous, les Lycan.

Ayant ressenti la douleur de la Mère de la Terre Gaïa, pendant j'étais à la Taverne, j'envoyais aussitôt un double sur le lieu d'où provenait cette souffrance

En voyant Murdoc allongé, je me dis qu'il avait encore du faire des siennes, me souvenant du sale tour qu'il m'avait joué (tout ce que je sais mes doubles le savent), je m'entourai d'une aura de protection

- Décidément, tu es de tous les complots

- Il est des choses qui ne devraient pas être

Je me penchai alors et posant ma main sur l'herbe brûlée, j'entrepris de guérir la Terre, sentant la force de la souffrance, j'eus beaucoup de mal, car pour guérir il me faut la partager, du coup j'en envoyai une bonne part à Murdoc, qui ne s'y attendait pas du tout, comme cela nous serions deux à souffrir

L'herbe redevient verte et la Terre s'apaisa

Avant que Murdoc n'ait eu le temps de se venger, je quittais cette dimension ne laissant que mon image, immatérielle et hors d'atteinte, mais pouvant quand même communiquer

- La douleur s'estompera cela ne durera que quelques jours

Perçevant une partie de ses pensées

- Il est des choses dont tu ne perçois pas encore la portée et les conséquences, mais cela viendra en son Temps

Sur ses mots, je disparus pour me réintégrer dans ma trame temporelle, non sans lui envoyer le reste de la souffrance que j'avais prise sur moi, après tout si cela le dérangeait si peu autant en profiter