[Taverne] Le Spadassin: au sous-sol

Je l'accueillais dans mes bras,
accompagné d'un sentiment
depuis longtemp oublié.
*Que m'arrive t'il je me sens bizare avec elle*
Les yeux me piquèrent et une larme rouge s'échappat.
Je me coupais la levres d'un coup de canine.
Je posait mes doigts sur sa joue, soulevat son visage
et l'embrassa tendrement.
Le temp s'arrêtas.
*Magnifique sensation !!!*

Je m'abandonné dans ses bras et sur ses levres le delicieux nectar qui en coulait m'exaltait. Je savai que quand Il le serait Il nous tuerai surement mais meme l'idée ne m'empechai de continuer. Je me perdai dans la dureté de son regard voyant au dela. La symbiose de nos pensées amplifié nos sens et nos capacités
*Pourquoi avoir attendu aussi longtemps et avoir du etre separé de la sorte...*

Nous ressentions tous deux cette "fusion"
*Bizarre depuis mon trépas, cela n'étais pas arrivé*

Citation :

*Pourquoi avoir attendu aussi longtemps et avoir du etre separé de la sorte...*

J'interceptais cette pensé
plonger dans ce tourbillon.
-"Je n'en sais rien, peu être que
notre destinné devaient être ainsi réalisé".

Puis le triste rapèle à la réalité brute.
Le rire de ma hyène.
-"HoOoo, zut !"
Lachais je échaper d'un ton désespéré.
Je plongeais une dernière fois mes yeux dans les siens,
et la libéra de mes bras.

Je pénétrai dans les sous-sols dans le but de visiter les lieux et rencontrer d'autres vampires ou créatures surnaturelles, en mesure de m'aider à connaître cette ville dans laquelle je venais d'échouer, et également pour glaner quelques informations sur les éventuels "nouveaux venus", dont "un" en particulier !

* Oups, je tombe mal apparemment !*

Je surpris le vampire étrange qui s'était littéralement volatilisé dans la taverne de la lune d'argent, en train d'elnacer une chat-rmante demoiselle ! Je me fis aussi discret que possible et rebroussa chemin aussitôt, pour ne pas les déranger ... Mais il avait tout deux disparus, dans un nuage de poussière encore une fois ( j'appris plus tard qu'ils s'étaient rendu à l'Arène pour une " joute amicale"

* Il faudra que je visite cette arène un de ces jours, Lysisca semble particulièrement apprécier ce lieux !*

Exit Shanoir

"Ma pauvre petite, ils ne t'ont pas assés nourrie durant mon absence !"
Dis je en regardnt la hyène amaigrie.
Par télépatie j'apellais cette guoulle qui devait s'en charger.
Je retournas dans la grande salle avec un carton
remplie de décorations ainsi qu'appareils
et entrepris de décoré la salle par une magnifique boule-à-facette.
Puis continuant l'arrangement avec quelques friolités macabres,
je me retournais vers Ombra et:

-"Dit moi, pourais tu me remplacer quelques minutes pour déposés cet attirailles ?
-Oui bien sur sa me changeras !"
Je descendit de l'escabot utilisé, me précipitat vers l'entrée principale,et revint tenant du bout de mes doights l'oreille rougeit de cette fainéante de guoulle.

Nous n'enttendament qu'un hurlement passé l'autre pièce,
et je resortie me frottant les mains, le sourire non moin sadique aux lèvres.
-"Régales toi ma belle"

Je rejoignis La plus charmante des deux et la guidat pour placer un spot lumineux convenablement.
-"Boodhie vat venir te filer un coup de main"

Je repartie dans mes quartiers privés apelant mon animal domestique et fermant la porte à double tour.
Des hurlements se firent entendre, puis plus rien pendant des heures à par des craquement osseux et des bruits de scie.

Je resortie de mon bureau l'air inquièt.
Perdus dans mes pensés je déposait trois livres sur l'un des canapé face à l'entrée,
prenant un pinte de sang au passage, je revint m'assoire devant mes livres.
Je sortie un cahier et une plume d'or gratant les feuilles et lisant à basse voie,
relevant certain passage des reliures.
"Peu de gens l'on réelement connue...le Maraudeur...monstrueux chiroptère bipède...ultime...crache le feu...renforcé par la thaumaturgie élémentaire..."

Je me mis à fouillé frénéqement dans l'une des autres reliure devans moi.
Puis relevant la tête les yeux fermé, les sourcilles froncés, je marmonait
un texte incompréhensible.
Rabachant les phrase sacrées, ma main se mis à rougir
et d'un coup pris feu.
-"Haaaaa, ça picotte !"
Je me précipita derière le contoire et plongeat ma main dans un des bac à vaiselle.
Les flammes se rétrécies et s'éteind aux bout d'une petite minute.
Je resortie ma main meurtrie par les brûlures.
-"Ouaiii c'est dangeureux ce truc là !"
La main cramé devant mes yeux, je la lèchais pour appaissée la douleur.
Je me réinstala devant mes livres et continua mes lectures.

Stavroguine ne se laissa naturellement pas toucher, il recula dans un craquement de jambe. Sa voix dérangée et offusquée prit la parole, il sembla contrarié mais sans réellement savoir pourquoi. Il serra son livre avec force.

Mais non, il ne faut pas toucher. Il ne faut pas briser l'état des choses verdoyantes... Lente d'agonie. Douceur désincarneé. L'esprit immaculé d'un verre de vodka sanguinolent. La chance du perdant. La pièce coagulante du puzzle...

Sa voix se calma pui s'érailla, devenant plus fragmentaire, voir désarticulée. Il se dirigea, non sans convulsions, vers une table où il s'affaisa. Un murmure instable se fit entendre.

Tic Tac, Toc? Aride ou sèche? Le numéro 7 pour Bridgetown n'arrivera qu'à l'heure du pendu. Le cruciverbiste murmure toujours lorsqu'il image la terre explosé. Exquis Cucu Usées

Je relevais la tête et regarda Stavroguine Oulianov d'un drôle d'air.
*Pourquoi il dit toujours des trucs incompréhensible ce gars ?*
Puis je replongeais mes pensées dans les livres.
-"...que le corp soit la matière de l'esprit...dans la douleur du sang brulant tu vivra...Qu'est ce que c'est ça ?"

Son épaule craque, il se leva et murmura à l'intention de Craoud. Sa voix était fébrile et exécutrice. Sa main droite trembla.

Le corp ne peut être la matière de l'esprit, sinon il viendrait à se tordre. Car l'esprit est essentiellement déviant si on veut en comprendre la profondeur. Sinon, tout les esprit (donc ici, les corps) s'envoleraient au ciel et deviendraient obligatoirement des cumulonimbus zarkzioumant. La terre n'est pas obligatoirement ronde puisque la conception est entièrement humaine. En fait, tout être sexué est obligatoirement mortel. Donc... Oui, pourquoi? OUI! OUI! Nous, monter, lentement. Arnk! Un verre, mainte. Nanti comme un burlesque vendeur de bonheur. Mais l'heure n'a plus rien avoir avec la joliesse de la charnelle passion.. Morphine auto-suggérée... Dents étriqués... Celsius magistralement orchestré. Tronche de queique. Oui?

Il se dirigea lentement vers les escaliers. Tremblant avec douleur. Il serra son livre avec convulsions. Un murmure silencieux s'éleva doucement. Il replaça ses lunettes absinthiennes.

La caféïne explosive n'est pas si dangereuse lorsqu'on la renifle. La clareté sera démontrée par le mélange cérébral. Умершие Для Обеда!

Je refermais mes livres et rangeait au plus vite mes écrits.
-"Que dis tu, pauvre de toi ? Ton corp ne peut être la matière de l'esprit,
sinon il viendrait à se tordre. Nous n'avons pas se problème là, nous autre Tzis.
Puisque notre esprit est changeant et maléable à notre guise, la bête nous a aprris à faire de même avec notre propres corp,
et si nous ne pouvons changer, comme toutes choses l'ultime mort est assuré. nous évoluont donc nous nous adaptons et nous nous transformons."
Je regardai Stavroguine et lui proposat de s'assoire à ma table.
"Jeune malkav, assis toi donc et discutons".

Il se retourne lentement vers Craoud et l'observe d'unregard un peu nerveux, voir névrotique. Il écrase la main sur son torse, la faisant craquer par le fait même. Sa voix est faible bien qu'épileptique. Il jette un regard noir à son livre, le hargnant particulièrement en ce moment. Le problème ne venait pas de l'extérieur. Sa main gauche se porte à son crâne, traversant sa chevelure, et trouva l'utilité de son mouvement dans un frottement frénétique de ce dernier.

On peut changer le contenu d'un bol, mais cela restera toujours un contenu de bol. Une enveloppe et un contenu sont intrinsèquement lié; ils sont la matière de la barre tendre. La barre dépend de son enveloppe commerciale et son enveloppe dépend de la tendre. Tendre jaunissement des papilles gustatives. Gustave? Rien n'est perdu, rien ne se crée, tout se transforme. Donc, toujours même matière, seulement mélange. Mélange horrible et excommuniable. Les détermi. Nisme de la morphine auto-suggérée. La clareté de l'aube n'a rien avoir avec le remord du point rouge de l'écran. Huit.

Il resta deboût, immobile en l'endroit où il s'était arrêté. Sa deuxième vertèbre supérieure craqua. Il exhala un râle et serra son livre avec plus de tenacité. Sa main avec coulé jusqu'à se lunettes et les avait presque fait tomber (il les avait replacé au bon moment). Son murmure discordant apparut, timide et déliquescent.

L'astre lunaire se. Rat Mien a une technique de chasse particulièrement frivole. Poudre de granit et dents de coléoptère hypocondriaque.

J'aplodit de lourd clap de mes mains.
-"Avez vous entendut Monsieur, hein les filles ?
Je me redressait et pris les livres, rengeant les manuscris dedans:
"attendez moi ici quelques instants je vous pris, prenez donc place.
Je vous ramène un produits de mes propres réserves,
nous avons longuement à nous dire de nos idées, chère monsieur".
Le voyant ésiter je lui montrit mon enthousiasme au dialogues

Le Puma descend les marches qui mènent de la Taverne de la Lune d'Argent au sous-sols baptisés " le Spadassin", et s'arrêtte un instant pour lire ceci:

Citation :

Ce lieu, ou les marchands d'armes
Les trafiquants de drogues en tous genres
Les maqueros et leurs bétails prostituées
Et toutes personnes mal-vue sera la bienvenue.
Les plus grosses affaires Underground peuvent être signer ici bas
Des contrats terrifiants sur tels ou tels tête(s) (en engageant un Sabbat)
Des échanges de bons procédés entre mafieux de hautes ou basses réputations.
Le refuges des repris de justice en cavale.

Le Barman en chef est Craoud et notre ravissante serveuse est Boodhie.


Bienvenue dans l'endroit le plus mal famè de Vampire City.

* Ouf ! A force de voir tous ces bons sentiments mielleux entre Vampires et Lycans de la taverne, j'avais peur d'être entré dans le village des Schtroumpfs ! Voilà enfin un lieu qui me rassure sur la nature exacte des créatures qui hantent cette ville !*

Le Gangrel amérindien effectue quelques pas en direction des vestiaires et y dépose son sac à la préposée en vacation

Tu seras mignonne de faire attention à mes affaires ! Dit-il d'un ton ironique, se doutant que la préposée est probablement " tout sauf mignonne" !

Il se dirige ensuite vers le comptoir, où le barman est en grande discussion philosophique ( pour autant que l'on puisse philosopher avec un "dingue dyslexique et de l'alcool dans le sang), pendant qu'une jeune serveuse - Immortelle, elle aussi- prépare quelques pintes de sang !

Bonsoir, servez-moi une pinte de sang frais je vous prie, et la " carte des cuvées" si vous en avez, histoire de m'allécher ![/i]

Je fit un signe de tete a Boodhie pour lui indiquer ma pensée, puis je me dirigeai vers le nouveau venu
"Je m'occupe de l'inculte..."
Je m'approchai avec legereté de la table avec la boisson commandé et la carte. Je m'arretai et en me penchant je m'adressai a lui
"pour info ici il n'y a pas de mignonne et surtout pas moi..."
Je me retournai et degainai mon Saï de l'arriere de mon pantalon et le lancai. Il s'arreta au nez d'un serpent et lui bloquait le passage alors qu'il se dirigeai vers la porte de l'arriere salle
"Boodhie si tu veu garder tes animaux en vie evite de les laisser aller n'importe ou..."
revenant a Shanoir je lui lancait en retournant derriere le comptoir
"Si jamais tu a besoin de quelque chose n'hesite pas..."

[hors RP : Il ne s'agit pas de Shanoir, mais du " Puma", le "Père Vampirique de Shanoir" ...Plus vieux et plus caustique que le " gentil et timide Shanoir"]

Le Puma admire l'adresse avec laquelle l'hôtesse à " émasculé" le serpent ! Il prend sa pinte, se lève et s'en va examiner le travail de précision de Ombra la Tueuse ! Il retire le saï de la poutre et verse quelques gouttes du sang de l'animal dans sa pinte, avant de la vider d'un trait !

Et bien ... Il se pourrait bien que j'ai besoin de quelque chose, en effet ...

Le Puma se dirige alors vers le comptoir, à la rencontre de Ombra la tueuse et lui rend son arme

Il semblerait que je puisse trouver ici beaucoup de choses qui me combleraient ! Des armes et des mains habiles qui sachent les utiliser !


Il ponctue sa dernière phrase en passant son regard de Ombra la tueuse à la " brute" qui fait office de serveur : Craoud !

Mais avant de parler affaires, montre moi avec quelle adresse tu sais remplir les pintes ! Et sers toi donc au passage ... ainsi qu'à tes collègues !

Son regard se pose ensuite sur une horloge, et l'heure l'interpelle ...

* Ah ! Mon " Fiston" ne devrait pas tarder !*

[HRP : Sauf erreur de ma part, il me semble qu'Ombra ait fait s'arrêter son Saï au nez du serpent, donc il n'y aucune raison qu'il ait été blessé et aucune que "Puma" ne lui prenne de son sang...]


Boodhie avait tout d'abord commencé a vouloir se lever pour servir le monsieur, puis finalement, se rassit puisqu'Ombra était en train de le faire... Ensuite, elle lui adressa ces quelques paroles :

"Sauf mon respect Ombra, mes animaux sont tout à fait capables de rester en place, Akim faisait seulement une promenade... Mais je veillerai à ce qu'il se trouve des endroits plus apropriés... Et je compte bien à ce qu'il reste en vie, lui comme les autres..."

Stavroguine fut projeté avec stupeur de la phase de confusion où la demande de Craoud l'avait fait plonger. Il reprit pied avant de s'effonder au sol et réussit à rester debout, mais agité de tremblements. Il observa, un peu dérangé, la scène à laquelle il pouvait assister. Il murmura, bref.

Comme des images mais en plus détruites.

Son regard se posa sur Craoud; il fut assailli de souvenir et la confusion engendrée de sa proposition revint elle aussi. Il prit la parole, faillible. Son épaule droite craque tandis qu'il replaçait ses lunettes sur son nez. Il restait immobile, il observa son livre et parla, discordant.

Oui, non... Ooi, nun... Le murmure n'est pas si habitué lorsqu'il se brise... Pas de boisson, pas de buvons. Seulement des paroles. L'encre peut teinter une voie nasale durant plusieurs semaines... L'ancre cesse de palpiter lorsqu'elle touche le fond. Tout a rapport avec ce cancre tentaculaire. Patibulaire. Une bulle d'air qui se perd dans l'eau. Un méat spongieux. Une comparaison d'existence, agitateurs de valences... Naissance et bris d'existence... Si le matérialisme était la réponse ultime... Le pourquoi se rapporterait au comment et le rat serait aussi ultime que le meurtre. Avez-vous dix nez?

IL trembla puit se renfrogna, observant le sol avec intérêt. Un murmure incompréhensible se fit entendre. Son cou craqua sous l'impulsion d'un mouvement.

Stavroguine

Citation :

Le pourquoi se rapporterait au comment et le rat serait aussi ultime que le meurtre.

Je le regardais bizarement un moment attiré par les propos du "Puma"
Hé ben.....par la consomation, le meutre n'en ai t'il pas un ?*si j'ai bien compris*
-Il semblerait que je puisse trouver ici beaucoup de choses qui me combleraient ! Des armes et des mains habiles qui sachent les utiliser !"
Il ponctue sa dernière phrase en passant son regard de Ombra la tueuse à la " brute" qui fait office de serveur, Craoud !
Retrournant le visage vers Stavroguine :
-"Veuillez m'escuser quelques instants".
J'entrait dans la réserve pour déposer mes livres et parchemins, je revint.

Citation :

Quant au Puma retourne au comptoir pour payer la tournée qu'il a promise avant l'arrivée de son interlocuteur.

-"Que désirez vous d'autre, monsieur ? Ici pas de mains d'oeuvres possibles sans cout".
dis je à ce dernier.

Le Puma fixe le regard de Craoud un bref instant, avec l'intensité du Fauve qui sommeille en lui, sans haine, sans douceur, juste une étude calme et passive, une analyse de la psyché, la perception de l'oeil du Tueur qui examine son "confrère" ! Puis il reprend:

L'argent n'est pas un problème pour moi ! Vous connaissez le mythe de Pandore ?

Le Puma n'attend pas vraiment de réponse verbale, il vide son verre d'un trait et le repose, tout en maintenant le regard de Craoud ! Puis, en poussant délicatement le verre vide vers la serveuse ( pour lui montrer qu'il souhaite qu'elle le remplisse), il poursuit:

Le Démon est sorti de la boîte, et c'est dans votre charmante ville qu'il a décidé d'élire domicile ! Mon Disciple et moi-même pouvont le traquer et le détruire, mais une attaque trop directe ne serait pas la bienvenue : l'ennemi est malin, il sait comment "cajoler" et se "faire cajoler" !

Dans les prochains jours, j'aurai besoin de toute l'aide disponible que vous pourrez m'apporter, j'entends en "armement" : un lance-flamme pour commencer, et une arbalète à carreaux inflammables, avec évidemment un carquois bien remplis !

J'ouvrirai un compte ici, et vous donnerez libre accès pour toute transaction effectuée dans les prochaines semaines ! Pour ce qui est de la main d'oeuvre, il me faut un combattant puissant, rapide et subtile : Un Tzimisce de préférence, car la maîtrise de la Vicissitude est nécessaire pour l'action que je réserve à " ma proie" !