Poèmes et belles phrases

"Faisons de la mort une délivrance pas un châtiment" tiré du film Coeur de Dragon

L'Amour, la vie et la mort sont trois reflets d'une même image.

J'aurais voulu naître incomprise au lieu de ça je suis née aveugle.

voici un poême que j'ai fais il y a une semaine alors que je m'ennuyais...

L’éternité

Elle est ici dans ce vaste néant
Où seule et éplorée elle doit demeurer
Endurant au fil des ans
La solitude glacée de l’éternité

Elle est ici depuis tant d’années
Triste et froide créature du soir
Errant parmi les âmes damnées
Le cœur empli de désespoir

Elle, qui, depuis sa naissance aux ténèbres
Pleure sur la beauté du jour,
Entame chaque soir un chant funèbre
Evoquant ses premiers amours

Ô combien de fois a-t-elle rêvé
Marcher à nouveau parmi les vivants
Abandonnant ses malheurs à jamais
Quelque part sur les berges du temps

Mais elle est cloîtrée dans ce monde en mouvement
Alors que pour l’éternité la même elle restera
Contemplant son reflet immuable au fil des ans
Car, poupée de porcelaine, à jamais elle demeurera
:flower:

tu devrais t'ennuyer plus souvent ;)

C'est vrai, il y a quand même des gens doués dans le monde, pas besoin de déboursser des sommes folles :). On pourrait appeller ça de la poésie underground ;)

tout à fait... en fait on pourrait rassemblé tout les poèmes et les publiés ensemble dans un receuil... :)

Sophi@ a écrit:

tu devrais t'ennuyer plus souvent ;)

merci !! vous êtes les premiers à qui je le montre celui- là !!!

si tu en as d'autres comme ça... ou même d'un autre genre poste les!!

poème qu'on ma offert avec un bouquet de fleurs

A MON AMIE

Une véritable amitié
c'est une fleur qui prend
ses racines dans le coeur
et qui grandit au fil des saisons,
au fil des années sans jamais se faner .

Pour s'épanouir pleinement,
elle a besoin de confiance ,de complicité et d'encouragement

Avec le temps
Elle devient si précieuse
que rien ne peut se comparer
à la joie merveilleuse de partager une si belle

Amitié .

o c joli :cheers:

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare

Il n'y a pas d'amour heureux.

Louis Aragaon reprit en chanson par G.Brassens

Les
.........Roses
....................Continuent
..............De
Saigner
...........Tout
..................Comme
............................Mon
.......................Coeur
.................. Ne
..........Cesse
.......De
Pleurer

Roses
...........Fanées
......................Par
.................Des
Souvenirs
Par
.......Des
..............Douleurs
..............................Qu'
..........................On
....................Ne
...........Peut
Guérir

Louve Noire a écrit:

Les
.........Roses
....................Continuent
..............De
Saigner
...........Tout
..................Comme
............................Mon
.......................Coeur
.................. Ne
..........Cesse
.......De
Pleurer

Roses
...........Fanées
......................Par
.................Des
Souvenirs
Par
.......Des
..............Douleurs
..............................Qu'
..........................On
....................Ne
...........Peut
Guérir

Tres original louve! Bravo j'adore :cheers:

Les mots qu'on n'a pas dits
sont les fleurs du silence

Proverbe Japonais

Une phrase à méditer :

"L'idée que je me fais de toi m'empèche de te connaitre"

qu'importe ma vie,
mes envies;
qu'importe mes peurs,
mes ardeurs;
qu'importe ce jour,
pour toujours
puisque enivrée,
j'épouse l'éternité.
(une amie)

Exquise douleur

Je n'attend plus que toi
Mon idéal imparfait
Mon deuxème moi
Étenel insatisfait

Trainant dans ton dos
Des aîles abimées
Sans le moindre sanglot
L'esprit calciné

Pour que dans mon coeur
Tu enfonces en pieu
Sans le moindre malheur
Sans doute irais-je mieu

Dans cette exquise douleur

Que tu prenne dans le creux da ta main
Le reste de mon âme cassé
Et dans un craquement anodin
Tu puisse à jamais l'avaler

Qu'elle brûle des poumons et ton corps
Comme elle brûle mon être sans le moindre remord
Tu réalisera que ton moi
Était avide et incomplet de mon toi

On sera une complexe entité
On atteindre des sommets puissants
Et on condamnera le monde a perpetuité
Dans le plus grande éternité à jamais.

x Frère de nuit x

Dans ce champ de roses pourpres
Je te cherche à travers les temps
De mon sang je les empourpre
Tous les jours comme mes amants

Montre moi l'echappatoire
De ce labyrinthe éternel
Au moins une rose noire
Un péché originel

Sur ces montagnes de contraintes
Je sens ses odeurs
sucrées, épicées, fleuries
Tellement enivrantes
Parfumées à l'interdit

J'avance à travers des forêts de désirs
Mon corps respire cette odeur fruité
Envouté de sens aprodisiaques pour me devetir
Avec des fruits défendus delicieux remplis de suavité

Je traverse les océans de malice
Le calme des profondeurs avides
L'intelligence noire des abysses
Le fluide de caresses morbides

les sirènes enchantées avec leurs voies envoûtantes
Qui t'emmenent dans les profondeurs de la tentation
Dans cette rare ivresse
Desnudées et flamboyantes

Je marche dans ce désert d'oubli
Asséché par la soif de l'inspiration
Je t'aperçois comme un mirage terni
Qui disparait et blesse mon obssesion

Ces serpents qui rampent autour de moi
Sans bruit et avides de m'avoir dans leurs pièges
Je suis seule, je suis la proie
Devant le sables mouvants ou les laches siègent

Éclairées par un soleil noir`
Les sables éternels qui t'avalent dans l'oubli
Dans les temples glacées du dessespoir
Sous la crainte, enseveli

Accepter de prier au dessus de sa sepulture
Adopté comme un orphelin
Par une douce luxure
Qui te tendra la main

Je te cherche frère de nuit
A travers les temps futurs et anciens
Durant toutes mes vies,
Dans le rien

Jusqu'a la seconde diluvienne
Juqu'a ce que tu te souvienne...

L'oiseau noir

Je contemple passive le pourpre de ses nuages
À l'horizon ton image es floue
Comme ton épais plummage
Que tu a parcemé de clous

Accroupi tu es fixe, calme, absent
Suspendu en haut de la plus grande falaise
Intouchable toi idéal stoïque avec ce poison dans ton sang
Qui es pour ce monde un malaise

Tu regarde dans le vide et tu vois tout le monde
Tu nous vois de l'exterieur et de l'interieur
Toi créature mystèrieuse non féconde
Qui sème le malheur

Tu es un enfant naïf et innocent
Tu es une muse merveilleusement sublime
Tu es un vieillard, tu es le grand serpent
Qui remonte de l'abîme

Ou les ténèbres éclairées par un soleil noir
S'agrandissent à chaque seconde
Plus brûlant que le purgatoire
Et deviennent chaque chose en ce monde

Tu vole dans les lîmbes
Libre comme l'air
Pour choisir ton ère
Tu domine l'enfer

Les océans et les rivières
Tu est la immobile, éternel
Ange noir aux yeux clairs
Avec un air paternel

Tu nous surveille
Et tu veille sur chaque merveille
Sans âmertume
Pendant que le temps nous consumme

Dans l'idéal
Dans ce spleen final.

x FLEUR DU MAL x

Ton âme es semblable à l'immortel
Ton corps es fragile, tes actes dangereux
Tu es l'illusion mortelle
Ton regard souvent absent lontain et ténèbreux
Il peut être une arme destructrice
Tu es perdue dans les clans des mortels si simples
Tu donne une fausse image de toi ,une image protectrice
Ton éternel souffle glace tes amants
Et les brice délicatement
Ton odeur es si fraîche et si sucrée
Donne envie de te goûter
Mais quiquonque osant te toucher
Verra son corps se tordre et se brûler
Tu viens d'ailleurs, un ailleurs perdu
Tu cherche ton amour à jamais perdu
Tu es poussière de lune
Tu es semblable à la perfection
Tu es la fleur du mal
Tu es l'ange de la destruction
Tes yeux transparents sont malins
Et ton sourire diaboliquement séduisant
Ton charme et ton envoûtement sont immediats et mortels
Ne pas s'approcher de toi es le pire péché qui soit
Mais ce n'es possible qu'une fois.

x PRINCE x

Oh toi ! Mon seul désir
Je te cherche dans ta nuit
Remplie de ténèbreuses envies
Mon coeur es à toi je ne fais que languir

Mon chagrin es une fontaine de flammes
Mon sang brûle dans mes veines
Comme une lave carressant toutes mes peines
pleure toi qui entends mes prières infâmes

Ton feu noir est une danse macabre Me l'accorderai tu?
Cette luxure cet abandon à tes plaisirs mortels si purs
Toi qui d'en bas
Observe mes ébats

T'amuse tu bien avec tes pentins?
Ils sont si naïfs et ignorants
Mais tu veux autre chose que ses humains
Autre chose que ces pentins ou ses putains

Ton parfum es partout
Ce poison si terrible et si doux
Tu répend ta sémance en ce monde avide
Pour remplir toutes ses coquilles vides

De ton souffle vorace
Et avec toute ta grâce
Pour réanimer ses morts vivants
Qu'ils portent a jamais te flamme comme deux amants

Oh toi prince des ténèbres
Avec tes grands appétits funèbres
Prend pitié de tes semblables
Ces esprits si malins impalpables

Je te sens parfois dans mon sommeil
Tu attend mon reveil
Tu me regarde avec tes grands yeux noirs
Moi qui ignore l'enfer comme le purgatoire

Sous les soleils malsains
Je te regarde oh toi grand serpent
Avide de l'enfer ou mon coeur se plaît tel un enfant
Les hurlements qui déchirent mon sein

Oh toi viens me chercher
Moi qui ai tant prié
Oh toi qui a été privé de louanges
Oh toi le plus savant et le plus beau des anges.

secret maléfique

Je détiens en ma main maléfique
Le secret des pays enchantées
La ou les déeses et les muses
Dans des danses magiques
Avec leurs corps enflammées
Dans des rires perpetuels
Te font signe de les suivre
Dans leur monde pour des rituels féeriques
Ou l'orage gronde
Les âmes de la forêt t'emmenent
Dans cet oasis merveilleu
Ou les secrets et délices
Se prommenent les regards malicieux
Elles te prendront par la main et t'emmeneront
Avec leurs longues cheveulures et totalment nues
Elles danseront autour de toi
Une ivresse enchanté te berçera
Remplie de rires et de danses magiques
Tu réalisera ton destin tragique
Quand tu verra leurs vrais visages
S'avancant vers toi
Pour que dans ce lai pysage
Composé de rituels malèfiques envers toi
Elles te turont dans un plaisir enivrant
Tu sera leur esclave
Tu sera à jamais condamné
L'heure sera éternelle et grave
Tu sera à jamais leur damné.

x La berçeuse de ton coeur x

Je t'ai maudit car tu était pour moi une douleur
J'aimai tant sentir ta vie, ta chaleur
Je voulai être berçée pat le battement de ton coeur
Mais dans cette berçeuse j'entendai la vie
Cette chose si prècieuse qui me donnait tant envie
L'envie de sentir le brise du matin, je languis...
Mais cette éternité meurtrie est infinie
Je voudrais te prendre dans mes bras et te dire tout bas
Je t'envie mais la seule chose d'ont j'ai envie es ta vie
L'éternelle berçeuse de ton coeur,
Cette douleur qui m'obsède, qui m'empoisonne
Goûter a ton odeur, ta chaleur
Je suis amoureuse de toi car tu es vivant
Cette chose si fragile qui es ta valeur
N'ai crainte n'es pas peur
Une fois le sentiment perdu tu verra
Que tu m'a déja connu...