Entrée de la Tanière [extérieur] [RP]

Je me débattait pour réussir a volé jusqu'a ce qu'une Yellowstone s'approche de moi,a son approche je commence a prendre crainte.

-Croaaa! CROAAAA! (Traduction: C'est Moi me bouffe pas.)

La Lycan s'arrete et prononce mon Nom pour garantir mon identité.

-Croaaaaaa (Traduction: Nann le père Noel...)

Je me décide a lui montrer le mot en sautillant,elle le vois,le lis et me demande si je sais volé.

*A ton avis...Je me suis peté 2 fois la tronche ça veux dire que nan...*

Je bondit et bat des ailes pour tenté un décollage raté,Yelli s'accroupie meme si ça ne ce vois pas sous ma forme de Corbeau,mais je sourie a son aide,je saute sur son bras je n'aurai jamais pensé qu'un jour je sauterai ainsi dans les bras de Yelli,je me place pret a m'écras...Hum je voulais dire volé.

-CROAAAAAAA! (Tradu:GOOOOO!)

Je décolle je bat des ailes le vent s'engouffre dessous,je vois le sol qui arrive a toute vitesse,je réflechi vite et me rappel des corbeaux j'ouvre les ailes au Maximum l'aire me porte je plane,je bat deux fous dans l'air je remonte un peu et fini par me posé avec maladresse sur une branche.

-Croaaaaaaa (Trad:Youpiiiii)

Je me retourne en sautillant et saute pour me laissé plané jusqu'a ma sacoche de fiole,mon atterisage au sol est mieux réussi,je passe ma tête dans le sangle et ma sacoche contenant mes fioles pendouille a présent autour de mon cou,je sautille a nouveau frappe l'air très rapidement,je prend de l'altitude avec du mal mais j'arrive au niveau de yelli réussi a m'accroché a son bras quelque instant comme pour lui précisé que je partait enfin,je redécolle aussitot après direction l'autre meute.

[ H.R.P:ça vas faire des atterisages cocasse ^^]

Je regarde le corbeau s'éloigner jusqu'à sa disparition de mon champ de vision et chuchote "Fait attention à toi..."
Je revient vers l'entrée de la Tanière, Tylur s'approche de moi, oreilles baissées, je m'accroupie et lui caresse le crâne. Il s'assoit, je me relève alors, Bahamut était toujours à sa place, en bon gardien.

Je sentais l'odeur de l'étrange lycan encore là où il se trouvait et j'attendais avec impatience le retour de la louve shamanka et des nouvelles qu'elle apporterais, bonnes je l'espérais.

Des craquements de brindilles firent sursauter Yelli . A quelques mètres d'elle se tenait debout une louve blanche aux pattes rouges.


"Bonjour Yelli , je suis revenue !"

Je me tourne vers la louve avec surprise, le bout de ma queue remue légèrement.

"Diane, quel plaisir de te revoir ici"

Tylur, à mes côtés, est toujours assis et fixe la louve, oreilles baissées. Il a bientot atteind sa taille adulte et semble puissant et sage. Je pose une patte sur lui, ses oreilles se baissent d'avantage et annonce.

"C'es Tylur, tu as vu comme il a poussé?"

je le regarde et souri

" les miens aussi . Mais je ne les est pas vu grandir et c'est bien dommage'"

J'arrive sans bruit, accompagné d'un vieux lycan gris qui parait tout usé et qui trimballe avec lui un tas de gris-gris et d'amulettes de toutes sortes

Tiens donc! Qui voilà! Une revenante! Comme je suis contente de te revoir!

Je vous présente Wotan, un Uktena du clan du Vent sauvage...C'est un ami très cher, et surtout un grand sage. Il va nous aider.

A mes compliment, Wotan se marre doucement. Il a tout à fait l'allure du vieux grand père bienveillant et plein de savoir qu'on aurait voulu avoir pour nous apprendre à découvrir Gaia.

En attendant le retour de la louve, je m'étais adossée à la roche qui faisait office d'entrée à la Tanière. Le coude sur les genoux je patientais.
Quand je senti son odeur, je redressai d'abord mes oreilles et me levai d'un bond.
Ma queue remuait doucement, un sourire se dessinait sur mon visage.

Je m'adressai au sage : "Bienvenue parmi nous et merci d'être venu"

Je jetai un regard à louve traduisant mon remerciement puis j'indiquai à tous l'entrée de la Tanière.

"Allons parler à l'intérieur"

Cela faisait déjà quelques heures qu’un vieux bonhomme en toge bordeaux marcher dans cette étrange contrée en s’aidant de sa Faux bien aimée. Aleban s’arétat en entrant dans la prairie, il pouvait voir de loin l’amas de rochers qui devait a son avis de présenter l’entrée de la tanière. Il invectiva quelque peut les lieux aux alentours…il commençait a avoir mal au jambes.
Il s’avança dans la prairie boitant de sa jambe droite, beaucoup d’aura et beaucoup de morts étaient passé par ici.
Il s’aretat a une vingtaine de mètre juste devant l’entrée de la tanière, pas âmes qui vivent a par dedans peut être, de toutes façons il pouvait attendre, il avait le temps de son cotés.
Il regarda sa faux.

« Dernier soupir, il est temps. »

Un éclat perfide pouvait se voir dans l’œil unique de la Faux.

« Oui maître libère moi ! Liibeeeeere moi»

La faux ut un rire sadique. Aleban prit la Faux à deux mains, sa toge s’ouvrit sur son vieux torse décharné, il souleva l’œil de la Faux en face des siens.

« Dernier soupir je te libère !!! »

Il lança la Faux en l’air, elle se stabilisa à quelques mètres aux dessus du sol et tournoya sur elle-même. Un cris bestiale sortit de la gorge du vieux bonhomme, il se cambra de façon a ce que sont dos soit totalement parallèle au sol. Sa cage thoracique s’ouvrit dans un craquement terrifiant, la faux retomba et se planta dans ce qui devait être son cœur. La faux disparut entièrement a l’interiere de l’homme, ces membres s’allongeait, sa peau tombait, ces os se rompaient dans des craquement d’outre tombes. Une cage d’ossement sortit du sol et entravât la créature qui sortait d’Aleban le vieux fossoyeur.
La cage retomba d’un coup, un immonde lycan décharné noir se tenait debout au milieu de la dépouille d’Aleban, la toge bordeaux toujours sur le dos, la faux se rematarialisa dans sa main. La bête s’ébroua, quelque lambeau de peau se détachât de son corps, une longue faux argentée apparut le long de son coup. Il s’étira et ouvrit les yeux, un œil bleu, l’œil d’Aleban, un œil translucide, Dernier soupir.
Il prononça d’une voie gluturale et rauque :

« Venaient mes enfants, venaient mes chéris, je vous appelles du plus profonds des abysses, revenaient dans ce monde, pour recréer mon trône. »

La terre commencat a grouillé sous Dernier soupir. Des ossement sortirent du sol tandis que des cadavres d’animaux communs aux forets sortaient de la lisières des bois pour rejoindre leur maître de l’après vie. Un trône commençait a se formait derrière la créature, il s’étira de nouveau est s’assit dessus. Il s’éleva des les aires soulevait par un monticule d’ossements, et de cadavres en putrefaction.
Il prononça ces mots dans un murmure, que l’on put entendre à des kilomètres à la ronde :

« Louve Alfa … Mère de la Meute… Un gardien réclame ta présence… »

Quelques heures etaient passer depuis qu'il avait fait rejaillir sont trone.
Le temps etant de son cotés Dernier soupir s'installa confortablement dans son trone. La patience ne lui a jamais fait defaut...