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 Grand Livre des Légendes Urbaines

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Fedrest
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MessageSujet: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 10:08

Commencons par une petite définition :

La légende urbaine est à la base un mythe ou une rumeur qui prend pied dans une population. Elle peut être tout à fait véridique ou avoir une tendance superstitieuse, paranoïaque ou conspiratrice. Un exemple des plus amusants mais pas tellement inquiétant est de répondre en philosophie à la question "'qu'est-ce que le culot ?" et de se taper un 19/20... j'irai pas tester Mr. Green

Voilà quelques exemples un peu plus sérieux...

La rumeur d'Orléans selon laquelle des jeunes femmes seules auraient été endormies au chloroforme dans des cabines d'essayage de tailleurs, un sous-marin (!) venant les chercher de nuit dans le cadre d'un réseau de traite des blanches. Mais celle là j'en avais moi même entendu parler par ma grand mère quand j'étais plus jeune, ça m'a toujours foutu la frousse !

Des crocodiles vivraient dans les égouts de Paris ou de New York après que des propriétaires les aient fait disparaître dans les toilettes. On en a toujours entendu parler mais jamais personne n'en a rapporté la preuve alors je sais pas trop ce qu'on doit en penser !

En voilà un qui va bien nous dégouter mais je le met quand même, c'est pour la bonne cause : la viande des hamburgers de Mac Donald serait constituée de chair de lombric (Keno fait dans le Mc Do ? lol) et de globes oculaires de vaches.

Les chewing-gums de la marque américaine Bubble Yum contiennent des oeufs d'araignée. Neutral

La dépouille de Walt Disney serait conservée et congelée sous un de ses parcs d'attractions.

Des seringues infectées par le sida traîneraient sur des bancs publics, distributeurs automatiques et sièges de cinéma de grandes villes. Egalement je sais pas si vous l'avez reçu mais un petit mail à trainé y'a pas si longtemps dans nos boîtes pour nous prévenir contre ça !! C'est rassurant !

Le Coca-Cola contiendrait des acides assez forts pour dissoudre une dent dans un verre en une nuit. Tiens ça c'est bien vrai, d'ailleurs il me semble qu'ils ont tester avec un morceau de steack haché et le lendemain y'avait plus rien :)

Les bonbons américains Pop Rocks auraient été retirés du marché après que Little Mikey (l'égérie enfantine des publicités de céréales LIFE) soit mort d'une explosion carbonique intérieure après avoir consommé six sachets de Pop Rocks avec une bouteille de soda. Cela expliquerait l'absence de l'enfant acteur dans les publicités plus tardives. Ha encore quelque chose de rassurant...

Quelques "anti-légende" qui peuvent s'avérer utiles :

http://www.hoaxbuster.com/ :arrow: site francophone vérifiant les légendes circulant par courriel
http://www.hoaxkiller.com/ :arrow: moteur de recherche francophone anti-canulars
http://www.secuser.com/hoax/ :arrow: liste des faux (et vrais) virus circulant sur Internet
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Fedrest
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 10:14

Le Booguie Man


Cette légende m'a été conté il y a environ quinze ans. Elle se situait à Brownsburg, mon patelin d'origine. Brownsburg est un petit village de 2500 habitants qui est situé au pied des Laurentides et chaque village voisin est séparé par une très vaste forêt inhabité, mais infesté de chantier pour tous les sports comme le motocross, le ski de fond, la moto-neige, etc.

Il y a aussi un grand «pite» de sable où les jeunes se réunissait le soir tard, s'allumait un feu et se contait toutes sortes d'histoire.. Dont celle du Booguie man...

Lors d'une nuit sombre, Julie prenait une marche derrière la cour de l'aréna de Lachute, la ville voisine, avec son chien. Dans cette cour, il y a un vaste terrain et des dizaines de vieilles granges qui servent uniquement pour la foire annuelle et le reste de l'année, elles sont laissés à l'abandon.

Elle avait l'habitude de laisser son chien courir, mais après un moment, elle s'inquiéta du fait que son chien ne donnait pas suite à ces appels, elle fit le tour de chaque grange, pour enfin trouver son chien entrain de renifler des gros sacs de vidange.

Elle fit très attiré par l'odeur répugnante qui se dégageait de ces sacs qu'elle pouvait sentir même si elle s'en tenait éloignée.

Il y avait 6 énormes sacs noirs en rang près du mur. Obsédée de curiosité, elle choisie d'ouvrir le premier sac et y découvrit le cadavre d'une femme en décomposition avancé et complètement mutilé.

Son corps rempli de frayeur, elle courra jusqu'à chez elle pour alerter la police.

Une fois arrivé sur les lieux, l'inspecteur de police était abasourdi par l'horreur de la scène qui comptait 6 victimes dans 6 sacs différents et toutes des femmes . Il ordonna à Julie de ne parler à personne de ce qu'elle avait vu, pour ne pas installer un climat de paranoïa au sein de la population.

Julie sentait bien que l'inspecteur en savait plus qu'il ne voulait le prétendre, alors elle le menaça de tout révéler à la population si elle ne connaissait pas toute l'histoire.

Finalement, l'inspecteur désemparé décida de lui raconter tout ce qu'il savait.

Il affirma que ce n'était pas la première fois que ça se produisait.

et que l'homme qui effectuait ces meurtres sanglant vivait dans les bois près de Brownsburg et qu'ils n'ont jamais réussi à lui mettre la main dessus, ni même à trouver sa cachette.

Seulement une personne avait trouvé sa cachette. il y a quinze, vingt ans, c'est à dire dans les années 70, le jeune Thierry Mallette entreprit une longue marche dans les bois, il habitait à deux pas d'un sentier qui s'enfonçait loin dans la forêt. Un jour, il décida de ne pas suivre le sentier et de se promener dans la forêt vierge.

Après près de 2 heure de marche, il arriva sur le bord d'une butte et décida de la descendre avec précaution, mais il trébucha et se mit à la débouler.

Il est finalement atterri au sol en tombant du toit d'une cabane camouflé, en parti, à l'intérieur de cette butte.

Un homme en sorti, s'approchait de lui et lui cria: « qu'est-ce que tu fais ici, c'est privé...»

Selon le jeune, l'homme avait les cheveux long et sales, il était grand comme un ours debout, sentait très forts l'alcool, il avait une voix à la «mad dog vachon» avec un accent anglais.

Comme il était blessé à une jambe et avait un peu de difficulté à marcher, il demanda à l'homme de l'aider pour revenir au village.

L'homme lui a dit de se tenir près de l'arbre et de ne toucher à rien, et surtout de ne pas entrer chez lui ni dans son atelier.

et l'homme quitta les lieux avec sa carabine et disparu au-dela de la colline.

Le jeune a prétendu qu'il avait quand même jeté un oeil à l'intérieur de l'atelier. Il y avait comme du sang sec au sol et un énorme couteau de boucher sur sa table de travail. Au fond de la pièce, un congélateur artisanal s'y trouvait. Il ouvrit la porte du congélateur et une odeur très forte en sortait.

Le contenu du congélateur était recouvert d'un plastique transparent tellement sale et plein de sang que l'on ne pouvait pas voir au travers. Naturellement, il souleva le plastique et découvrit une femme et un petit garçon mort et horriblement mutilé.

Malgré tout, il a réussi à regagner sa maison, mais ne se rappellait plus du chemin qu`'il avait prit. Depuis ce temps, il est traité en psychiatrie et ne veut pas révélé ce qu'il lui est arrivé en détails. il dit que le booguie man le hante et qu'il viendra le chercher s'il en dit trop...

Il hante les bois de Brownsburg et la région depuis plus de 40 ans et personne d'autre ne l'a vu ou n'est resté assez longtemps en vie pour l'identifier. Ceux qui connaissent la légende ne veulent pas trop en parler, de peur de l'attirer. Car ce peut être n'importe qui, il fait peut-être bien son épicerie en même temps que vous, il est peut-être même quelqu'un de connue.

Si vous êtes seul le soir près d'un bois de Brownsburg, tenez-vous une arme ou courrez!! Il est peut-être entrain de vous observez....



source : http://membres.multimania.fr/nik27/mario/legende.htm


Dernière édition par le Mar 12 Juil 2005, 10:23, édité 2 fois
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Fedrest
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 10:18

Les alligators à NY


La nouvelle est connue : il y a des alligators dans les égouts de New York. A l'origine, ces charmants petits animaux de compagnie ont été rapportés de vacances en Floride. A l'étroit dans leurs studios new-yorkais, ils ont ensuite été évacués par les toilettes.

Leurs propriétaires s'en étaient fatigués... Loin de succomber à cette épreuve, les alligators ont grandi et ont fait des égouts leur domaine.

Une légende

Tout le monde a entendu cette histoire. Elle se déroule parfois à Paris. Il peut s'agir de crocodiles, mais une chose est sûre : nous tenons tous cette histoire d'une source fiable. L'ami d'un ami, le frère d'un collègue,le fils du concierge, etc. Il s'agit pourtant d'une légende urbaine, création collective et anonyme, rumeur structurée prenant la forme d'un récit riche en détails.

Un fond de vrai

Ainsi, il n'y a pas d'alligators dans les égouts de New York. Du moins, pas de colonie. « Mais,comme souvent, avec les légendes urbaines, il y a un fond de vrai. Il n'y a qu'une simple déformation de la réalité », avance Véronique Campion-Vincent, chercheur au CNRS et spécialiste des légendes urbaines. La réalité ? C'est en 1935 qu'il faut la chercher. Le 10 février, un groupe de jeunes de la 123ème Rue tombe nez à nez avec un alligator sortant d'une bouche d'égout. La même année, sur l'île de Manhattan, d'autres alligators sont aperçus dans les fleuves Bronx et East River. Un autre dans une station de métro de Brooklyn. En 1936, une campagne d'éradication permet de les faire disparaître. Un détail que beaucoup omettent. Car l'histoire est réapparue des années après, amputée de sa conclusion moins romanesque. Une si jolie histoire ne s'éradique pas...

La réalité d'aujourd'hui

Contre toute vraisemblance, romans, bandes dessinées, films et articles de journaux reprirent cette idée. En 1963, Thomas Pynchon fit des colonies d'alligators un thème majeur de son roman "V". L'histoire prit ensuite de l'ampleur. Sans preuve. « On trouve encore quelque fois des alligators en zone urbaine. Aucours d'une enquête faite en mars 1988, le directeur du zoo de Vincennes m'a indiqué que trois crocodiles étaient ainsi remis chaque année aux zoos parisiens », rapporte Véronique Campion-Vincent. Ils ne viennent pourtant pas des égouts. Ils sont emmenés là par des propriétaires lassés. Ou récupérés par des pompiers comme en février 1998 où un client africain a tout simplement oublié un crocodile dans sa chambre d'hôtel. Mais peu importe... La rumeur gronde. Et l'information suffit pour voir réapparaître la légende : des colonies d'alligators ont pris les égouts pour repaire. L'anecdote ponctuelle est devenue réalité permanente.

Les non-dits de l'histoire

Depuis 1935, l'histoire circule et alimente les conversations car elle camoufle des angoisses et des fantasmes.« Dans notre bestiaire symbolique, l'alligator représente l'agressivité pure. Un caricaturiste sera universellement compris s'il représente l'animal par une gueule dévorante », affirme VéroniqueCampion-Vincent. Dans la légende, c'est par les toilettes qu'il rejoint les bas-fonds de la ville, et non directement par une bouche d'égout (ce qui semblerait plus simple). Parce que les toilettes font peur, c'est par là que s'échappe « ce qui effraie ». Enfin, l'alligator vit dans les égouts, lieu inquiétant où se concentrent les rejets de la ville. Car « les égouts sont l'équivalent artificiel des marécages boueux et pourrissants ».

Une fable morale

Cette légende est ainsi « une histoire morale sur la revanche d'un animal maltraité par l'homme, jeté dans les toilettes, abandonné de manière répugnante ». C'est aussi une métaphore : l'homme ne peut dominer totalement la nature sauvage. « Elle est toujours prête à resurgir à nos portes ou sous nos pieds ». C'est un récit qui « commente les dangers de la grande ville inhumaine, une métaphore de la ville comme jungle ». Pas étonnant alors d'avoir pris pour scène New York.


source : http://membres.multimania.fr/nik27/mario/legende.htm


Dernière édition par le Mar 12 Juil 2005, 10:22, édité 1 fois
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Fedrest
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 10:22

Mort dans un cimetière...


Dans une petite ville du sud du Québec, lors d'un party bien arroser ou tout le monde étais bien réchauffer un des gars présent sur place décide de faire un pari: "si il y a quelqu'un qui va enfoncer la porte de (c'est l'endroit ou on entrepose les mort l'hiver) je lui donne 100$". Alors trois gars décident de s'y rendre et ils enfoncent la porte.

Le gars qui a fait le pari dit: "je donne un autre 100$ si il y a quelqu'un de vous qui va planter un clou de 4 pouces dans un des cercueils." Un des gars se porte alors volontaire, il prend un clou et un marteau et entre à l'intérieur. On entend ensuite toc toc toc toc toc... puis on entend un cris de mort et plus rien... les gars s'adresse a leur amis, mais il ne répond pas alors les autres décident d'aller chercher le prêtre parce qu'ils ont trop peur pour rentrer dans l'endroit.

Ils explique la situation au prête qui décide d'aller voir se qui se passe. Il vient avec une lampe de poche quand il rentre il voit le gars étendu par terre... Mort. Il est mort de peur car en clouant dans le noir il a cloué par inadvertance la manche de son manteau et quand il est venu pour partir il s'est sentit retenu et il a sans doute pensé qu'un mort le retenait...



source : http://membres.multimania.fr/nik27/mario/legende.htm
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Fedrest
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 10:33

Encore une pour le plaisir... elles sont tellement bien ! study

Les appels de phares


Si vous conduisez après la tombée de la nuit et que vous voyez un véhicule les lumières fermées, NE FAITES PAS DE SIGNAUX DE PHARE!!!! NE CLAXONNEZ PAS et ne faites aucun autre signe au conducteur de ce véhicule.

Il y a un nouveau jeu à la mode dans les rues. Les nouveaux membre de gangs sont initiés par ce jeu. Ils doivent conduire leur auto les phares fermés, jusqu'à ce que quelqu'un signale avec ses phares. Le membre de la gang doit alors poursuivre l 'auto qui a signalé et lui tirer dessus à coup de carabine pour compléter son initiation.

Nous vivons dans un monde de fou !

Ceci n'est pas une blague. C'est arrivé à Trois-Rivière à deux reprises et à Pont-Rouge à trois reprises le mois dernier. On soupçonne le même gang pour les attaques.



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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 13:53

Fedrest a écrit:

Le Coca-Cola contiendrait des acides assez forts pour dissoudre une dent dans un verre en une nuit. Tiens ça c'est bien vrai, d'ailleurs il me semble qu'ils ont tester avec un morceau de steack haché et le lendemain y'avait plus rien :)

Ca n'est qu'en partie vrai : pas de quoi faire fondre une dent bien sûr, mais par contre, il est prouvé que le Coca a un pH très acide (de l'ordre de 3 sur l'échelle pH).
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Slash
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 12 Juil 2005, 17:09

Fedrest a écrit:
Les alligators à NY


La nouvelle est connue : il y a des alligators dans les égouts de New York. A l'origine, ces charmants petits animaux de compagnie ont été rapportés de vacances en Floride. A l'étroit dans leurs studios new-yorkais, ils ont ensuite été évacués par les toilettes.

J'ajouterai que c'est vrai pour Paris, j'en suis temoin.
Y'a 2 ans on nous a appelé pour un "crocodile" qui se baladait dans l'etang de Suresnes en plein Bois de Boulogne (je travailais pour un organisme qui gere les etangs du bois de boulogne).
On y a pas cru car c'etait autour du 1er avril... qq jours plus tard, on nous recontacte 2 fois pour nous signaler qu'une "bete" se promene dans l'etang...
On va y voir et oui, un beau caiman de 1m40 se faisait dorer au soleil sur la petit ile au centre de l'etang....
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On a fait venir les services de police qui s'occupent des animaux sauvages qui l'ont recupéré avec notre aide..
C'etait rigolo ce bestiaux qui ouvrait grand sa gueule !

J'en ai d'autres des histoires comme ca..... Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyLun 26 Sep 2005, 18:27

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Juste un clin d'oeil en passant...
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyMar 26 Déc 2006, 13:10

LA DAME BLANCHE


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La croyance dit que si l'on se rend dans une salle de bain lorsque l'horloge sonne les douze coups de minuit, que l'on colle une croix ou un petit crucifix dans la paume de notre main à l'aide d'un peu de savon et que l'on fixe le miroir intensement, une dame en blanc nous apparaitra.

On dit egalement qu'il est très important de regarder la dame en blanc dans les yeux jusqu'à ce que son mirage s'évanouisse sinon la personne procédant à ce rituel prendra la place de la dame blanche dans le miroir!


Alors les pollux, serez-vous assez courageux pour soutenir le regard de la Dame Blanche ?!

UNE BRAVE BETE


Grand Livre des Légendes Urbaines 139742337se5


C'est l'histoire d'un gars qui habitait dans un appartement. Tous les matins, il allait travailler et le soir lorsqu'il revenait, il soupait devant sa télévision ( jusque là rien de bien étrange ).
Un jour, il entendit un grattement venant de sa chambre..... Il alla voir, mais rien. Le lendemain en arrivant, ce fut la même chose.... Il déplaça ses meubles mais rien!!!
Le jour suivant ce fut pareil, alors il vida entièrement sa chambre et decouvrit, derrière son lit, un petit trou, et dans ce trou, il y voyait des yeux jaunes!!! Il alla chercher du lait et le mit devant le trou. Un jour, alors qu'il tenta d'approcher la chose, qui était en fait un chat, ce dernier se sauva. L'homme le suivit dans la forêt qui était sombre et sinistre. Il ne voyait rien, juste les yeux du chat qu'il suivait!! L'animal arriva devant une maison éclairer et il rentra dedans. L'homme regarda par les fenêtres, mais il n'y avait personne à l'interieur! Il entra, vit le chat et son bol de nourriture vide. Le chat alla alors dans la chambre du maitre qui demeurée dans le noir..... Il prit une lampe et entra... Sur le lit, il y avait le maitre en décomposition....!!

En fait durant tout ce temps, le chat venait pour que l'homme vienne en aide à son maitre qui était malade.....
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Louve Noire
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyLun 15 Jan 2007, 13:54

Allez remplissons un peu ce Grand Livre avec une touche d'humour

Les pilules


Grand Livre des Légendes Urbaines Pilulecv6


Une adolescente faisant l'amour avec son petit ami est surprise par sa mère rentrée plus tôt que prévu à la maison...

La mère de celle-ci, furieuse, la prévient des risques qu'elle a pris à faire l'amour sans contraceptif. La jeune fille la rassure alors en lui disant qu'elle utilise les pilules de sa mère depuis des mois. La mère est stupéfaite car elle ne s'est jamais rendu compte que ses pilules avaient disparu.

C'est normal, la jeune fille les remplaçait par des aspirines. Un mois plus tard, la mère se rendit compte qu'elle était enceinte.


Les bouquets de fleurs


Grand Livre des Légendes Urbaines Multiroses1yh6


Comme tous les jours depuis deux mois, une jeune femme reçoit des fleurs de son ami, celui-ci désirant la convaincre de l'épouser.

Mais depuis quelques semaines l'état de santé de la jeune femme se dégradait, et son médecin avait conclut qu'elle était trop stressée, trop fatiguée, mais rien de très grave.

Néanmoins, la jeune femme fût retrouvée morte quelque jours plus tard. Conclusion du légiste : celle-ci serait morte par empoisonnement à l'arsenic.

Ce que son ami ne savait pas, c'est que les fleurs qu'il lui offrait provenaient d'un champ situé près d'une usine rejetant cette substance nocive.


C'est balo quand même



tristounet
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Hermante
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines EmptyLun 15 Jan 2007, 14:04

Une autre légende urbaine (certes non vampirique)....

Elle était en cours après les attentats du GIA dans les années 90 à Paris :


Je sortais du métro lorsque j'ai vu un portefeuille tombé de la poche d'un homme devant moi. Je l'ai ramassé et j'ai rattrapé l'homme (il avait le type maghrébin).

Vous avez laissé tomber votre portefeuille monsieur !

L'homme (ravi de récupérer son portefeuille).

Merci, c'est très aimable à vous.... Si vous voulez un conseil, ne prenez pas le métro le XX Jour à XX heures.


Ce qui conforte cette légende urbaine, c'est qu'elle a commencé quelques années plus tôt à londres (sur un schéma identique) avec un "homme roux de type irlandais" (c'était lors des vagues d'attentats de l'IRA).

Le déroulement était le même et vous trouverez peut être des personnes qui connaissent cette "vérité" d'un ami qui la connait d'une connaissance.


Elle fait partie aujourd'hui des "Légendes urbaines" avérées.
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MessageSujet: Re: Grand Livre des Légendes Urbaines   Grand Livre des Légendes Urbaines Empty

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