Vos textes

c'est choupinou comme texte ^^

tu as bien expliquer le concept d'irrésistible et destructeur pour le thème de l'amour, et tel le vent ont ne sais pas il est toujours la quelque part =)
(bon c'est mon avis, et j'ai appris que ma vision des chose est spécial alors men vouler pas svp)

jolie poème ^^

c'est mignon..dommage qu'il y ait pas mal de fautes d'ortho.,mais je t'encourage à perséverer.

L'aube d'un nouveau jour:

Alors que le soleil se couche ,
Et que les diurnambules s'effacent ,

Je me réveille ,
Encore une nouvelle nuit ,
Encore un nouveau jour ,

Éternellement jeune ,
Éternellement damné ,

Pour moi seuls les spots ,
Ma face pourront éclairer,

Éternellement condamné ,
Éternellement assoiffé ,

Une jeune fille passe ,
Nos regard se croisent ,

La voila damnée ,
Me voilà rassasié ,

Dans une ruelle elle m'aimait ,
Dans une ruelle son corps ensanglanté j'ai laissé ,

Chaque nouvelle nuit ,
Chaque nouvelle aube ,

Je me rassasiais ,
Jusqu'au jour où dans une ville illuminée,

Sous les flocons éthérés ,
Une lueur s'est allumée ,

Ton visage m'est apparu ,
Et la question qui pour moi fut :

"Un vampire peut-il aimer ?"
Tu m'en donna la réponse ,

Car lorsque tu t'approchas ,
Tu me regardas ,

De ta main gantée ,
Un signe tu m'as fait ,

Dans une ruelle mal éclairée ,
Tu t'es approchée ,

Tu m'as embrassé,
Et lorsque ma chair fut lacérée ,

Par ton pieu aiguisé,
La réponse tu m'as donné ,

Tu m'as libéré ,
Tu m'as aimé.

Invité

J'aime assez aplaudit

Merci .. voila un de mes poèmes favori ( parmis les miens )

la voie de la liberté:

devant mes pas la route s'efface ,
devant mes pas l'avenir se trouble ,

je ne peut m'arrêter,

je dois courir ,
je dois survivre ,
m'arrêter serais dépérir,

me retourner serai tout abandonner,
car la voie de la liberté,
n'est jamais tracé ,

chaque jour nous devons la réinventer,
chaque jour nous devons nous forcer,

a ne pas abandonner,

a combattre ,
pour nous ,

a combattre,
pour que dans le ciel albâtre,

la grande liberté ,
celle que tous nous avons cherché,

puisse illuminé de sa clarté ,
le cœur de nos âmes damné,

et que enfin nous soyons libéré,
de nos destin emprisonnés,
puissent être libéré ,
de cette voie toute tracé,

Invité

Vive les rimes ! ^^
Le style est pas mal !
Souvent ce thème de liberté ...

oui la libeté ... tème recurrent dans notre jeunesse bafoué ^^

pour les rimes merci .. mdr c'est la seul regle de la poésie traditionnelle que je respecte

Invité

tu en respecte au moin une ^^

merci ^^

en voici encore un autre ( j'ai encore 3 ou 4 "bon poeme " pour moi en reserve )

l'étape :

Une nuit sombre ,
Dans une vie sombre ,

Une ruelle sans lumière ,
Un raccourci sans aire,

Une ombre ,
Un son:
Une déflagration

Aucune douleur ,
Aucun flash back ,

qui normalement a cette heure ,
Aurai du étreindre mon cœur ,

Devant mes pieds
un long chemin pavé ,

Des mots dessus gravés ,
Au début aucun sens ne m'est révélé,

Puis finalement quand sous mes yeux l'Ankou apparait ,
Ce n'est pas une faux qu'il tien dans sa main ,

Mais le monde entier …
La vie n'est qu'une étape vers la mort ,

Vers un autre monde

Ce texte date de l'époque de mes 16 ans, donc soyez indulgents héhé...Je l'ai sorti de mon cahier rempli d'une cinquantaine de poèmes...
A l'époque nous étudiions le surréalisme en cours. J'ai beau ne pas aimer la littérature surréaliste, mais j'avais voulu moi aussi tenter quelque chose dans le même goût que Breton ou Aragon... Et voilà le résultat.

Combien ai-je espéré vous revoir
Vous inconnu que je n’ai jamais vu
Qui vivez dans mes rêves
Et qui sans relâche et sans trêve
Arpentez la charpente de mon esprit
Aujourd’hui sans vie.
Tant de mots écrits
A l’encre rouge
Sur les murs de mes sombres songes.
Combien de nuits perdues
A vous chercher en éperdue
Je vous avais tellement cru !
Trahie jusqu’au fond des entrailles
Il faut à présent que je m’en aille,
Ce monde n’est pas le mien
Je n’y comprends plus rien.
Vous m’aviez juré que vous m’aimiez
Puis juré à en blasphémer.
Mais pas une seule trace
De ces écrits faussés
Tout s’efface,
Plus de place !
Ni pour vous, ni pour moi.
Les chercher dans vos songes
Serait quelque peu mortel
Mortel à en perdre les ailes.
La Mort vous ronge
(C’est écrit entre les lignes)
Alors que vous errez dans ces pages
Que sont les écrits
Laissés par un mortel sans vie
Autrefois passé par ici.
Il a ri !
Il a ri ! avez-vous dit.
Mais me voyez-vous ?
Vous, au fond de ce trou,
Par cet œil caverneux
En orbite autour de votre terre
Cette terre sans R.
Atrophié, asphyxié, étouffé,
Vous mourrez à en perdre la vie !
Etes-vous rongé par la folie ?
Réponse négative !
Suis-je négative ?
J’erre sur ces boulevards
Étroits trottoirs de mes déboires.
Bercée par les vents,
Courants d’air de mon esprit
Confronté à l’extérieur.
C’est à prendre peur !
Comme une île au milieu des mers
Plongez dans l’océan de mes pensées
Mais pensez à remonter !
Car n’oubliez pas,
Je ne désire rien d’autre
Que de vous voir apparaître
Ici bas !

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