| | Poèmes sur les loups et/ou la lune | |
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Auteur | Message |
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Reine-Louve Crocs de lait
Nombre de messages : 2 Age : 30 Localisation : Assise sur un rocher au milieu d'un lac dans une forêt d'arbre en cristal, j'observe les voyageurs en analysant leur âme dans l'espoir de trouver celle que je cherche... Famille : Date d'inscription : 18/11/2009
| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune Jeu 19 Nov 2009, 16:42 | |
| Ben moi j'ais fais un poème, mais le language est un peu familier, il doit aussi avoir des faute d'orthoqraphe, alors désoler... c'est l'un de mes favori dans mes poèmes dites moi ce que vous en pensez... Les LoupsLe hurlement de ces créatures de la nuit Me donne la force de me relever De marcher Jusqu’à ce que les ombres me nuisent Leur mâchoire puissante Et implacable Leurs muscles saillants et durables Ne sont rien à la force de la Lune naissante Une âme ne pourrait jamais se libérer De la roche qui l'a emprisonnée Le soleil brule ta peau fraîche et belle Ce morceau de chair qui pend sur ta blessure nouvelle La mort est douce Comparaît à la souffrance De la vie attachait à la lance De la folie et à la douleur des éclaboussures de ma douce La paix un monde de torture Laissant place aux ténèbres Qui lâche sur nous des chiens de l’ombre Qui t’ont servis espèce de pourriture Ces loup pourtant fidèle à leur honneur Tu les as brisés Pour ne plus laissait que des morceaux de leurs peurs En ne dévorant que leurs fiertés Tu les manipules Ils meurent pour toi Tu les laisses crevé de faim pour me faire directement du mal à moi Tu les insultes et ils te réclament autan que leurs familles Ils veulent mourir Et tu les maintiens en vie par plaisir Ils cherchent une fin sans combats Et ils meurent pendant que tu les bats Reine-Louve | |
| | | L The Lycan Crocs de lait
Nombre de messages : 11 Age : 30 Famille : Date d'inscription : 09/11/2009
| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune Ven 20 Nov 2009, 19:06 | |
| - Maïtouk a écrit:
- Spoiler:
Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçus les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine Ne poussait un soupir dans les airs; Seulement La girouette en deuil criait au firmament; Car le vent élevé bien au dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçait la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse; Mais les enfants du loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Le père était debout, et plus loin, contre un arbre, Sa louve reposait comme celle de marbre Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus. Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées, Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées. Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris, Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante, Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu, qui traversaient sa chair, Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde, Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang; Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant. Il nous regarde encore, ensuite il se recouche, Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche, Et, sans daigner savoir comment il a péri, Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser, et n'est pu me résoudre A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois, Sans ses deux louveteaux, la belle et sombre veuve Ne l'eut pas laissé seul subir la grande épreuve; Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, A ne jamais entrer dans le pacte des villes, Que l'homme a fait avec les animaux serviles Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher, Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous , débiles que nous sommes! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez sublimes animaux. A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse, Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse. --Ah! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur. Il disait: " Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche Dans la voie où le sort a voulu t'appeler, Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler."
Alfred de VIGNY
De VIGNY, oui. Ce poème, La mort du loup, est évoqué dans le film de " L'affaire Farewell". Ceux qui ont vu le film après avoir lu et aimé le poème ont dû sacrément chialer... Nimedhel... Purée... il est ouf, le poème ! C'es décidé, je me mets en tête de l'apprendre ( je fiche rien en anglais, il faut bien que je me donne des objectifs ) ! J'avoue... j'avoue qu'il est trop beau. Il a failli ( oui, seulement failli ) me tirer des larmes des yeux. Reine-Louve Bon... on sent que c'est pas un grand auteur ! Mais surtout, ne le prends pas mal : ce que je veux dire, c'est que, effectivement, le langage n'est pas des plus soutenus. Cependant, l'idée que tu as voulu faire passer à travers ces vers est assez claire ( Wow, l'assonance en "ère" ). C'est pourquoi je te conseille de le retravailler. Franchement, ça pourrait donner quelque chose de vraiment stylé ! Parce que là, je dirais que tu n'est pas assez dans l'implicite. Parfois c'est bien, parfois, il vaut mieux pas. Mais si tu trouves que ce sont ces vers et ces vers seulement qui traduisent l'émotion que tu as ressentie, ben... garde-les ! ^^' | |
| | | Akeera Crocs de lait
Nombre de messages : 1 Age : 27 Famille : Date d'inscription : 06/11/2011
| Sujet: Les soldats de la Lune Dim 06 Nov 2011, 17:37 | |
| Quand la pleine lune se lève, Elle devient une Harpie qui demande ses soldats...
Les soldats, Les hommes abandonnent leurs chaires pour retrouver leurs fourrures, Pour les envoyés au combat, Ils chassent dans les forêts avec leurs parures,
La lune haut dans les cieux, Les hommes véreux par à la chasse aux loups, les loups clament leurs Dieux, Pour que la chasse saisse au mois d'Août,
Le regard glauque et vermeil, Le loup par pour combattre la Mort, La lune fait des merveilles, Elle corrige les torts,
La lupiote a la main, Une jeune fille entend un loup blesser, Sur son cou ensanglanté elle posa la main, Le soldat laissa la jeune fille le soigner.
Petit poème pour un dev en francais! Alors dsl si sa ne colle pas tout ensemble ce que j'ai ecrit!:S
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| | | darkstar Loup Alpha
Nombre de messages : 160 Age : 41 Famille : Date d'inscription : 12/08/2010
| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune Ven 25 Nov 2011, 23:23 | |
| - Akeera a écrit:
- Quand la pleine lune se lève,
Elle devient une Harpie qui demande ses soldats...
Les soldats, Les hommes abandonnent leurs chaires leur chair pour retrouver leurs fourrures leur fourrure, (chacun la sienne, ils n'en ont pas plusieurs) Pour les envoyer au combat, Ils chassent dans les forêts avec leurs parures,
La lune haut dans les cieux, Les hommes véreux par partent (?) à la chasse aux loups, les loups clament leurs Dieux, Pour que la chasse saisse cesse au mois d'Août,
Le regard glauque et vermeil, Le loup par part pour combattre la Mort, La lune fait des merveilles, Elle corrige les torts,
La lupiote a à la main, Une jeune fille entend un loup blesser blessé, Sur son cou ensanglanté elle posa la main, Le soldat laissa la jeune fille le soigner.
Petit poème pour un dev devoir en de francais! Alors dsl désolé si sa ça ne colle pas tout ensemble ce que j'ai ecrit écrit !:S
Je trouve ça déjà mieux sans faute. Je me trompe où la charte du forum demande de ne pas écrire de langage SMS ? Ne le prends pas mal, je suis très content que tu postes mais pour mon confort visuel et rendre plus agréable le fait de te lire, auras-tu la bonté de faire un effort ? Merci. (tout le monde fait des fautes, j'en fait aussi bien sûr, l'idée n'est pas de tirer sur tout le monde, mais de faire un effort ensemble) | |
| | | Lysisca Grande Louve
Nombre de messages : 5067 Age : 40 Localisation : Bonne question...Où suis-je? Famille : Date d'inscription : 21/04/2005
| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune Mer 09 Jan 2013, 11:29 | |
| Je vous mets également les deux poèmes en question:
L'incantation du loup, Leconte de Lisle
Les lourds rameaux neigeux du mélèze et de l'aune. Un grand silence. Un ciel étincelant d'hiver. Le Roi du Hartz, assis sur ses jarrets de fer, Regarde resplendir la lune large et jaune.
Les gorges, les vallons, les forêts et les rocs Dorment inertement sous leur blême suaire, Et la face terrestre est comme un ossuaire Immense, cave ou plat, ou bossué par blocs.
Tandis qu'éblouissant les horizons funèbres, La lune, oeil d'or glacé, luit dans le morne azur, L'angoisse du vieux Loup étreint son coeur obscur, Un âpre frisson court le long de ses vertèbres.
Sa louve blanche, aux yeux flambants, et les petits Qu'elle abritait, la nuit, des poils chauds de son ventre, Gisent, morts, égorgés par l'homme, au fond de l'antre. Ceux, de tous les vivants, qu'il aimait, sont partis.
Il est seul désormais sur la neige livide. La faim, la soif, l'affût patient dans les bois, Le doux agneau qui bêle ou le cerf aux abois, Que lui fait tout cela, puisque le monde est vide ?
Lui, le chef du haut Hartz, tous l'ont trahi, le Nain Et le Géant, le Bouc, l'Orfraie et la Sorcière, Accroupis près du feu de tourbe et de bruyère Où l'eau sinistre bout dans le chaudron d'airain.
Sa langue fume et pend de la gueule profonde. Sans lécher le sang noir qui s'égoutte du flanc, Il érige sa tête aiguë en grommelant, Et la haine, dans ses entrailles, brûle et gronde.
L'Homme, le massacreur antique des aïeux, De ses enfants et de la royale femelle Qui leur versait le lait ardent de sa mamelle, Hante immuablement son rêve furieux.
Une braise rougit sa prunelle énergique ; Et, redressant ses poils roides comme des clous, Il évoque, en hurlant, l'âme des anciens loups Qui dorment dans la lune éclatante et magique.
La mort du loup, de Vigny
I
Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement La girouette en deuil criait au firmament ; Car le vent élevé bien au dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçait la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse ; Mais les enfants du loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Le père était debout, et plus loin, contre un arbre, Sa louve reposait comme celle de marbre Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus. Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées. Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde, Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ; Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant. Il nous regarde encore, ensuite il se recouche, Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche, Et, sans daigner savoir comment il a péri, Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
II
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois, Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ; Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, A ne jamais entrer dans le pacte des villes Que l'homme a fait avec les animaux serviles Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher, Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes ! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux ! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse. - Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur ! Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler, Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. | |
| | | Shavy Goule
Nombre de messages : 33 Age : 43 Localisation : Europe de l'est. Famille : Date d'inscription : 03/12/2010
| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune Jeu 17 Jan 2013, 09:50 | |
| J'ai brûlé mon sang sous la nuit Un loup-garou aux crocs blancs à minuit
J'ai tanné ma chair sous la lune Un loup d'un coup et sous cette fortune
Pelage et crocs ce n'est pas si inhumain De pleurer sous la nuit avec ce pelage d'airain
Couleur noire et yeux couleur de lunes Je glisse mon corps dans ce corps de loup Un pleur sous la nuit, parlées ô anciennes runes Je fond en moi ce loup glisse à patte de velours
Terrain de Paris, forme trés singulière Odeur et envoûtements, ma trés particulière C'est un loup que tu caresse non autre animal cet automne Hypnotisée, de gentil chien à gentil loup même ta peur fredonne
A me lancer ces oeillades moi le loup solitaire Je part pattes à pattes et ces balcons de fer Cette nuit de Novembre où la magie soufflait la musique C'était en loup noir que j'entamais la possesssion de la métamorphose musique
Ô nuit du 31 où tout semblait possible Le loup reviendra pour moi il y a ici des petites spirales indicibles Indicibles à ma chair mais pour le loup pas de misère Fourure et ciselée bouche d'ivoire la prochaine nuit sera un mystère | |
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| Sujet: Re: Poèmes sur les loups et/ou la lune | |
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