[JEU] Cadavre exquis

Je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-ont droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidais à n'en rien laisser paraître et tâchait de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ....

Je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois.

Je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

Mais rapidement une sensation désagréable me remis les pieds sur terre . C'était encore cette satané étiquette ! Maintenant que mon esprit revenait petit à petit à lui même , je me dépecha de rouler sur le coté , tombant du fauteuil de velour . Je rampais sur le sol , la respiration haletante . Mais que ce passe t-il ? .
Et pourtant l'homme ne semblait pas perxplexe face à la situation , mais au contraire amuser de voir que je voulais fuir.

je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

Mais rapidement une sensation désagréable me remis les pieds sur terre . C'était encore cette satané étiquette ! Maintenant que mon esprit revenait petit à petit à lui même , je me dépêchai de rouler sur le coté , tombant du fauteuil de velours . Je rampais sur le sol , la respiration haletante . Mais que ce passe t-il ? .
Et pourtant l'homme ne semblait pas perplexe face à la situation , mais au contraire amuser de voir que je voulais fuir.

C'est alors qu'un autre homme entra. Je me retrouvai à quatre pattes, à ses pieds... comme un toutou! je me relevai d'un bon pour lui faire face.

je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

Mais rapidement une sensation désagréable me remis les pieds sur terre . C'était encore cette satané étiquette ! Maintenant que mon esprit revenait petit à petit à lui même , je me dépêchai de rouler sur le coté , tombant du fauteuil de velours . Je rampais sur le sol , la respiration haletante . Mais que ce passe t-il ? .
Et pourtant l'homme ne semblait pas perplexe face à la situation , mais au contraire amuser de voir que je voulais fuir.

C'est alors qu'un autre homme entra. Je me retrouvai à quatre pattes, à ses pieds... comme un toutou! je me relevai d'un bon pour lui faire face.

Le chat, pendant ce temps riait et exhalait " qu'on lui coupe la tête" !!!
La référence fit sourire les deux hommes..
Pantin dans cette mascarade, je décidais d'infliger a sa majestueuse crinière les volts de mon taser..

(...)
C'est alors qu'un autre homme entra. Je me retrouvai à quatre pattes, à ses pieds... comme un toutou! je me relevai d'un bon pour lui faire face.

Le chat, pendant ce temps riait et exhalait " qu'on lui coupe la tête" !!!
La référence fit sourire les deux hommes..
Pantin dans cette mascarade, je décidais d'infliger a sa majestueuse crinière les volts de mon laser...

mais, à mon grand dam, le deuxième homme - celui qui venait d'entrer dans la pièce - s'interposa à temps et m'obligea à le regarder dans les yeux... Lui aussi avait les yeux de couleur changeante...

quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

Mais rapidement une sensation désagréable me remis les pieds sur terre . C'était encore cette satané étiquette ! Maintenant que mon esprit revenait petit à petit à lui même , je me dépêchai de rouler sur le coté , tombant du fauteuil de velours . Je rampais sur le sol , la respiration haletante . Mais que ce passe t-il ? .
Et pourtant l'homme ne semblait pas perplexe face à la situation , mais au contraire amuser de voir que je voulais fuir.

C'est alors qu'un autre homme entra. Je me retrouvai à quatre pattes, à ses pieds... comme un toutou! je me relevai d'un bon pour lui faire face.

Le chat, pendant ce temps riait et exhalait " qu'on lui coupe la tête" !!!
La référence fit sourire les deux hommes..
Pantin dans cette mascarade, je décidais d'infliger a sa majestueuse crinière les volts de mon taser..

mais, à mon grand dam, le deuxième homme - celui qui venait d'entrer dans la pièce - s'interposa à temps et m'obligea à le regarder dans les yeux... Lui aussi avait les yeux de couleur changeante...

quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

J'avais beau me débattre, j'étais prise au piège par ce lourdeau , bien que très mignon , enfin ses yeux .. pas tant que ça ...
Mais que ce passe t'il ? Une voix ... une voix s'infiltre dans mon esprit. Ma tête me brûle .. une image apparait c'est .. c'est ... celle d'un lapin tout blanc.
Où est le Maître des lapins blancs ??? Nous savons que tu le protèges !! Hurle cette voix qui résonne comme un écho dans ma tête.

je m'appelle Aurore, j'ai 17ans, et ma vie est un enfer. pourtant tout allait bien:une famille super,un petit ami à tendance non psychopathe. Mais quel est ce chat au sourire intransigeant à l'horizon qui me fixe de ses yeux jaunes depuis plus d'une semaine ?

Cette étiquette me gratte !

Plus qu'une heure et déjà me lever... Pfff! Que j'aimerais être encore une petite fille! La vie serait tellement plus facile !

Mais bon, on ne peut pas tout avoir.La crémière sent bon mais ce n'est pas le moment de penser à elle. Où sont passés mes vêtements? Je vais encore être en retard et je ne peux plus me le permettre.

Toc! Toc! un chariot qui grince. Lumière blanche qui agresse mes pupilles; où suis-je ?
J'ouvre la porte de ma chambre pour déboucher dans un endroit que je ne connais absolument pas. C''est quoi ce délire ?

Ce n'est pas la maison, je n'ai jamais eu de cheminée! Et en plus, il y a plein de chandelles partout au lieu des lampes électriques dont j'ai tant l'habitude!

La chaleureux foyer familial a laissé place aux pierres. Ill fait sombre. J'ai froid. Heureusement pour moi, il y a plein de jolies images qui tournent dans ma tête : des dragons épileptiques, des demi-dieux anorexiques, des tiques épisodiques et autres joyeux pourfendeurs de réalité qui, lentement mais sûrement, me détournent de plus en plus de la conscience; m'aurait-on droguée ?

j'allais m'asseoir dans l'un des fauteuils recouverts de velours quand la porte d'entrée s'ouvrit devant un homme tout de noir vêtu.

Cette homme me sourit et dévoila de terribles crocs... Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je n'osais pas bouger, plantant mes ongles dans le velours du fauteuil...
Quelque chose m'irritait atrocement le bas du dos me détournant un instant de cette vision plus que douteuse. Encore cette étiquette... en relevant la tête, une lumière diffuse et rassurante solaire envahissait la pièce, tout n'était à présent que Luxe, Calme et Volupté.. Mon esprit en était perplexe.

M'a-t-on droguée, ou suis-je en train de sombrer dans la folie ? Pourtant, je me sens bien. Paisible.

Relevant la tête en direction de l'homme sombre, je me rendis compte qu'il s'était imperceptiblement rapproché de moi. La peur revint en force, mais je me décidai à n'en rien laisser paraître et tâchai de reprendre contenance en affichant l'un de ses sourires dont les femmes ont le secret ...

L'homme me sourit à son tour, révélant encore une fois ces canines disproportionnées. Qu'était-il réellement?

Sans rien y comprendre, sans même saisir que tout mon corps en tension se mouvait, je m'approchais de lui; ma peur anesthésiée par un 'je ne sais quoi" de troublant et séduisant à la fois. J'étais à présent tout près de lui... Je voyais ses yeux à la couleur changeante; un instant ils étaient d'un bleu limpide, et peu après, ils devenaient aussi sombres qu'un océan en pleine tempête. J'étais à la fois fascinée et angoissée.

Mais rapidement une sensation désagréable me remis les pieds sur terre . C'était encore cette satané étiquette ! Maintenant que mon esprit revenait petit à petit à lui même , je me dépêchai de rouler sur le coté , tombant du fauteuil de velours . Je rampais sur le sol , la respiration haletante . Mais que ce passe t-il ? .
Et pourtant l'homme ne semblait pas perplexe face à la situation , mais au contraire amuser de voir que je voulais fuir.

C'est alors qu'un autre homme entra. Je me retrouvai à quatre pattes, à ses pieds... comme un toutou! je me relevai d'un bon pour lui faire face.

Le chat, pendant ce temps riait et exhalait " qu'on lui coupe la tête" !!!
La référence fit sourire les deux hommes..
Pantin dans cette mascarade, je décidais d'infliger a sa majestueuse crinière les volts de mon taser..

mais, à mon grand dam, le deuxième homme - celui qui venait d'entrer dans la pièce - s'interposa à temps et m'obligea à le regarder dans les yeux... Lui aussi avait les yeux de couleur changeante...

quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

J'avais beau me débattre, j'étais prise au piège par ce lourdeau , bien que très mignon , enfin ses yeux .. pas tant que ça ...
Mais que ce passe t'il ? Une voix ... une voix s'infiltre dans mon esprit. Ma tête me brûle .. une image apparait c'est .. c'est ... celle d'un lapin tout blanc.
Où est le Maître des lapins blancs ??? Nous savons que tu le protèges !! Hurle cette voix qui résonne comme un écho dans ma tête.

Mais que me raconte t-il ? me demandais-je .
Le maitre des Lapins blancs ? ...
Une image s'impose à mon esprit et là je me retrouve dans une salle noir , des bougies éclairent faiblement cet endroit qui sent l'humidité . Mais mon attention se pose sur le centre de cette pièce car là se trouve une grande table rectangulaire et autour sont assis des dizaines de personnes tous vétus de Blanc , un lapin dessiné dans leur dos avec de l'encre de chine. Ces personnages sont tous d'une immense beauté.
Je ne les connais pas .. Mais qui sont t'ils ?

(...)
quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

J'avais beau me débattre, j'étais prise au piège par ce lourdeau , bien que très mignon , enfin ses yeux .. pas tant que ça ...
Mais que ce passe t'il ? Une voix ... une voix s'infiltre dans mon esprit. Ma tête me brûle .. une image apparait c'est .. c'est ... celle d'un lapin tout blanc.
Où est le Maître des lapins blancs ??? Nous savons que tu le protèges !! Hurle cette voix qui résonne comme un écho dans ma tête.

Mais que me raconte t-il ? me demandais-je .
Le maitre des Lapins blancs ? ...
Une image s'impose à mon esprit et là je me retrouve dans une salle noir , des bougies éclairent faiblement cet endroit qui sent l'humidité . Mais mon attention se pose sur le centre de cette pièce car là se trouve une grande table rectangulaire et autour sont assis des dizaines de personnes tous vétus de Blanc , un lapin dessiné dans leur dos avec de l'encre de chine. Ces personnages sont tous d'une immense beauté.
Je ne les connais pas .. Mais qui sont t'ils ?


- Mais qu'est-ce que vous foutez! sortez de ma tête... c'est quoi ce cirque, je pige que dalle à ce que vous me dites, m'exclamai-je. c'est quoi ces histoires de lapin blanc? et c'est qui les types qui viennent d'apparaître dans ma tête? je les ai jamais vu...

le deuxième homme me regardait pensivement. allaient-ils me tuer?

( ... )

quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

J'avais beau me débattre, j'étais prise au piège par ce lourdeau , bien que très mignon , enfin ses yeux .. pas tant que ça ...
Mais que ce passe t'il ? Une voix ... une voix s'infiltre dans mon esprit. Ma tête me brûle .. une image apparait c'est .. c'est ... celle d'un lapin tout blanc.
Où est le Maître des lapins blancs ??? Nous savons que tu le protèges !! Hurle cette voix qui résonne comme un écho dans ma tête.

Mais que me raconte t-il ? me demandais-je .
Le maitre des Lapins blancs ? ...
Une image s'impose à mon esprit et là je me retrouve dans une salle noir , des bougies éclairent faiblement cet endroit qui sent l'humidité . Mais mon attention se pose sur le centre de cette pièce car là se trouve une grande table rectangulaire et autour sont assis des dizaines de personnes tous vétus de Blanc , un lapin dessiné dans leur dos avec de l'encre de chine. Ces personnages sont tous d'une immense beauté.
Je ne les connais pas .. Mais qui sont t'ils ?


- Mais qu'est-ce que vous foutez! sortez de ma tête... c'est quoi ce cirque, je pige que dalle à ce que vous me dites, m'exclamai-je. c'est quoi ces histoires de lapin blanc? et c'est qui les types qui viennent d'apparaître dans ma tête? je les ai jamais vu...

le deuxième homme me regardait pensivement. allaient-ils me tuer?

Celui ci ouvrit finalement sa bouche pour me répondre.

- Les lapins blancs, les maîtres de ton vrai monde. Tu ne te souvient pas ?

J'était complètement perdue. De quoi me parlait-il ?! Soudain l'homme me pris dans ses bras, mais son entreinte ne me paraissait pourtant pas chaleureuse... J'observais, et vit que sa bouche s'approchait de mon cou...

quelle horreur! je suis entourée de types bizarres...

J'avais beau me débattre, j'étais prise au piège par ce lourdeau , bien que très mignon , enfin ses yeux .. pas tant que ça ...
Mais que ce passe t'il ? Une voix ... une voix s'infiltre dans mon esprit. Ma tête me brûle .. une image apparait c'est .. c'est ... celle d'un lapin tout blanc.
Où est le Maître des lapins blancs ??? Nous savons que tu le protèges !! Hurle cette voix qui résonne comme un écho dans ma tête.

Mais que me raconte t-il ? me demandais-je .
Le maitre des Lapins blancs ? ...
Une image s'impose à mon esprit et là je me retrouve dans une salle noir , des bougies éclairent faiblement cet endroit qui sent l'humidité . Mais mon attention se pose sur le centre de cette pièce car là se trouve une grande table rectangulaire et autour sont assis des dizaines de personnes tous vétus de Blanc , un lapin dessiné dans leur dos avec de l'encre de chine. Ces personnages sont tous d'une immense beauté.
Je ne les connais pas .. Mais qui sont t'ils ?


- Mais qu'est-ce que vous foutez! sortez de ma tête... c'est quoi ce cirque, je pige que dalle à ce que vous me dites, m'exclamai-je. c'est quoi ces histoires de lapin blanc? et c'est qui les types qui viennent d'apparaître dans ma tête? je les ai jamais vu...

le deuxième homme me regardait pensivement. allaient-ils me tuer?

Celui ci ouvrit finalement sa bouche pour me répondre.

- Les lapins blancs, les maîtres de ton vrai monde. Tu ne te souvient pas ?

J'était complètement perdue. De quoi me parlait-il ?! Soudain l'homme me pris dans ses bras, mais son entreinte ne me paraissait pourtant pas chaleureuse... J'observais, et vit que sa bouche s'approchait de mon cou...

Il me lécha le cou par peur je fus paralysée.
Puis son regard croisa le mien je ne savais pas ce qu'il me voulait.
Soudain la raison me fus revenu.
Je m'agitais et hurlais l'air qui avait encore dans mes poumons.
Puis je le poussais, il perdit équilibre et recula j'en profitais pour partir en courant le plus loin possible que je pouvais en fonçant dans tous ce qui trouvais devant moi..du moins j'essayais...

- Mais qu'est-ce que vous foutez! sortez de ma tête... c'est quoi ce cirque, je pige que dalle à ce que vous me dites, m'exclamai-je. c'est quoi ces histoires de lapin blanc? et c'est qui les types qui viennent d'apparaître dans ma tête? je les ai jamais vu...

le deuxième homme me regardait pensivement. allaient-ils me tuer?

Celui ci ouvrit finalement sa bouche pour me répondre.

- Les lapins blancs, les maîtres de ton vrai monde. Tu ne te souvient pas ?

J'était complètement perdue. De quoi me parlait-il ?! Soudain l'homme me pris dans ses bras, mais son entreinte ne me paraissait pourtant pas chaleureuse... J'observais, et vit que sa bouche s'approchait de mon cou...

Il me lécha le cou par peur je fus paralysée.
Puis son regard croisa le mien je ne savais pas ce qu'il me voulait.
Soudain la raison me fus revenu.
Je m'agitais et hurlais l'air qui avait encore dans mes poumons.
Puis je le poussais, il perdit équilibre et recula j'en profitais pour partir en courant le plus loin possible que je pouvais en fonçant dans tous ce qui trouvais devant moi..du moins j'essayais...

Mais c'était loin d'être évident avec cette étiquette, ce chat riant, ces pantouffles immenses, ce plancher recouvert de mouche que j'écrasais faisant ainsi un joli bruit... smouch, smouch, smouch...

- Mais qu'est-ce que vous foutez! sortez de ma tête... c'est quoi ce cirque, je pige que dalle à ce que vous me dites, m'exclamai-je. c'est quoi ces histoires de lapin blanc? et c'est qui les types qui viennent d'apparaître dans ma tête? je les ai jamais vu...

le deuxième homme me regardait pensivement. allaient-ils me tuer?

Celui ci ouvrit finalement sa bouche pour me répondre.

- Les lapins blancs, les maîtres de ton vrai monde. Tu ne te souvient pas ?

J'était complètement perdue. De quoi me parlait-il ?! Soudain l'homme me pris dans ses bras, mais son entreinte ne me paraissait pourtant pas chaleureuse... J'observais, et vit que sa bouche s'approchait de mon cou...

Il me lécha le cou par peur je fus paralysée.
Puis son regard croisa le mien je ne savais pas ce qu'il me voulait.
Soudain la raison me fus revenu.
Je m'agitais et hurlais l'air qui avait encore dans mes poumons.
Puis je le poussais, il perdit équilibre et recula j'en profitais pour partir en courant le plus loin possible que je pouvais en fonçant dans tous ce qui trouvais devant moi..du moins j'essayais...

Mais c'était loin d'être évident avec cette étiquette, ce chat riant, ces pantouffles immenses, ce plancher recouvert de mouche que j'écrasais faisant ainsi un joli bruit... smouch, smouch, smouch...

La prochaine fois je la coupe , cette démengaison est intennable ...
Le décor passait à vive allure , je ne peux reconnaitre aucun détails . Tout ce qui me passait devant les yeux était des arbes , des rires et leurs visages .. sa langue à quelques centimètre de ma peau ..
Pourtant , au fond de moi cela ne me répugnait pas ? pourquoi ?

Moi, je dis que c'est terminé.

Donc, je le recommence.
Et, bon sang, ne posez pas de questions.
Pour les récits, moi j'opte plutôt pour un paragraphe chacun.

_____________________

L’écran éclairait la salle, comme un phare dans la nuit. Dans l’obscurité, les corps inconscients bougeaient malgré eux. Ils rêvaient tous du même songe. De la même pensée collective. Leurs corps étaient froids, mais ils étaient vivants. Ils ne respiraient plus, mais ils étaient vivants. Mais ils étaient perdus, loin de la conscience. Tous reliés par ce complexe de fils et d’aiguillages qui menait jusqu’à l’écran. Émanant de ce dernier, une lumière blanche et crue qui venait blanchir leurs chairs. Le silence inondait l’endroit depuis maintenant une éternité.

Et puis, l’éternité prit fin et un craquement retentit.

Le plus jeune de tout les corps ouvrit les yeux d'un seul coup,il semblait terrorisé.
C'était un garçon à l'allure plutot hiératique,aux longs cheveux couleur de brume.
Quelque chose clochait mais je ne parvenais pas à saisir ce qui n'allait pas.
Recroquevillée dans mon coin,je savais qu'elle reviendrai pour me punir de ce que j'avais fait...

Est-ce que je méritais pareille punition? Oui. Est-ce que j'y prendrais plaisir? Voilà ce qui trottait dans ma tête. Il suffisait que le bourreau sache bien faire son travail pour qu'aussitôt je sente un fourmillement à travers tout mon corps. Le genre de frisson qui en redemande. Mais n'était-ce pas justement pour cette raison qu'on devait me punir?

Dans cette optique, il était possible que le bourreau décide cette fois de me punir d'une autre façon. Me punir de mon amour pour les punitions. Au loin, dans le couloir qui se cachait derrière l'énorme porte, j'entendis un long et macabre grincement. Pourtant, les lourds pas de l'homme qui nous punissait n'y étaient pas. Quelque chose de nouveau approchait.

L'obscurité fit alors place a une vision de crainte et de terreur...
Je vis d'abord ses etranges moustaches,si grandes.Puis ses deux petites dents proheminentes qui dépassaient de sa bouche,son regard malsain me flanquait la frousse,
ses oreilles dréssées captaient surement les battements halettant de mon coeur.

-"Ressaisis toi mon vieux,bouge,il va t'avoir toi aussi"me dit un personnage que je n'arrivais pas a identifier.Je tentais alors de me concentrer...

Ce fut avec une troublante fatalité que je pu mettre un nom sur cette chose,mais bien sûr je le connaissais...c'etait "le cochon d'inde"

Indophobe depuis ma tendre et croquante jeunesse, j'explosai en 42 morceaux. Ceux-ci ramassés et mis au chaud dans un sac de plastique, je décidai d'opter A) pour l'attendrissement B) le combat C) l'intimidation. Ne connaissant définitivement pas mon alphabet par poumon, je décidai de m'élancer vers la baie vitrée qui passait par là, sur un des murs. Le cochon d'inde siffla de fureur.

Imitation du cochon d'Inde en train de siffler:


"FUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRREUUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRR"

"FUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRREUUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRR"

"FUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRREUUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRR"

Puis il s'essouffla et son coeur s'emballant,une innatendue attaque cardiaque nous surprîmes tous les deux.
Etant fan du Docteur House je me devais de lui faire un résumé du dernier episode,celui ou Le docteur Cudy et House se retrouvaient a soigner un...euh je m'eloigne
Je me devais de LUI SAUVER LA VIE....ou de le laisser crever,j'ai jamais pu le blairer ce cochon d'inde,surtout depuis qu'il s'est tappé ma soeur

J'étais disparu - mais loin d'être mort. Mais déjà, un autre Je prenait ma parole.

Faisant un je-docteur de moi-même, j'opérai la pauvre petite bête à grands coups de scalpels et d'amour-propre-à-l'eau-de-javel. Dix minutes passèrent et, Je m'apprêtais à lui faire une incision du lobe temporal indochinois quand l'infirmière, qui avait prit l'étrange apparence d'un porte-manteaux, m'informa que le patient souffrait d'une attaque cardiaque. Malheureusement, la moitié de son cœur reposait déjà dans ma poche droite.

L'infirmière porte- manteaux ( !!!!!!!!??????) voudrait préciser au scalpel pressé que de sa poche droite sort tel un dard, un ...... poil !!!!! Un poil argenté qui dans le moouvement précipité a écorché l'Etre.
Ultime acte du hamster diabétique.

De mes yeux mort... de dégoût, je regardais cette bête en me demandant comment diable ce cochon d'Inde avait bien pu se transformer en hamster et que devrais-je faire quand il allait être temps de lui fournir de l'insuline? On dira que ce fut par négligence ou pas mauvaise foi, mais j'avais bu entièrement celle-ci dans un moment de paranoia ridicule et suspect. Mais en repensant à sa mort, j'éclatai de rire...