Ô toi la femme Stradivarius, relâche tes cordes, desserre tes dents !
C'est un choix bien trop complexe !
Dois-je porter la faux humainement ? Ou me ranger derrière le nombre pour ne laisser après mon passage, que le poids de mes entrailles sucrées ?
Je ne peux choisir de camp, que la Vigne embrasse mes pieds, je ne suis ni taon, ni abeille.