Citation sympathique

J'ai trouvé cette citation très sympathique et très juste, elle m'a ravie, je vous en fait part :

"La courtoisie chez les bêtes est instinctive et totale, et la courtoisie chez l'homme est partielle et raisonnée. L'animal est civilisé jusqu'aux tréfonds de son être. L'homme est sauvage au fond et courtois en surface."

Malcolm de Chazal.

J'aime beaucoup, c'est très vrai comme citation. Ah, si l'Homme avait un peu de sagesse...

C'est vraiment pas mal comme citation mais pourquoi toujours séparer l'homme de l'animal? L'homme est un animal aussi. Mais au moins cette citation à le mérite de le départager des autres animaux (il faut toujours qu'il cherche la différence entre lui et les autres avec des trucs du genre:"Le rire est le propre de l'homme". "La croyance est le propre de l'homme", etc)

"Tous les hommes sont perdus. S'il n'y avait pas les femmes, on serait dans les forêts à hurler comme les grands loups sous la lune..."
Voila une bonne sitation qui prouve que L'homme ressemble beaucoup au Loup...

"Où se situe la sente de gibier, où trouver de l'eau fraiche et qui sont nos frères de meutes. Voila ce qu'il est important de retenir, le reste n'est que détail"
Phrase prononcée par un loup dans une série de roman que j'adore

" Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vache, c'est un troupeau. Un groupe d'hommes, c'est souvent une bande de cons." Phillipe Geluck (whoua les references ! Bon ca va hein -_-)

"Nous, les hommes, nous sommes tous séparés. Dans le ciel fraternisent les oiseaux, et les loups sur la terre." Fazil Daglarca, Plein le monde

Sinon je suis désolé, je vais demander ici car je ne sais pas exactement ou le poster, mais il y a quelquechsoe qui m'a toujours un peu interpellé. Sans doute n'ignorez vous pas cette citation de Hobbes "L'homme est un loup pour l'homme". Ce qui m'intrigue ce n'est pas ce qu'a voulu dire l'auteur, mais pourquoi un loup et pas autre chose ? Croc blanc me disait la derniere fois sur palace qu'au quebec, par exemple, aucun homme n'avait jamais ete attaqué par un loup...

C'est pcq autrefois, on prenait le loup pour une créature diabolique, une des pire espèces qui soit. On craignais même moins l'ours que le loup. On a donc voulu dire qu'il n'y avait rien de pire pour l'homme qu'un autre homme. Pas d'autre prédateur à part lui.
En fait on ferai mieux de dire que l'homme est un homme pour le loup :)

Lysisca a écrit:

on ferai mieux de dire que l'homme est un homme pour le loup :)

Arf ca ca a deja ete dit ! Je vais faire un effort de memoire insurmontable pour essayer de me souvenir de l'auteur... Si je m'en souviens vous le dit lol

Surement un lycan, ces bêtes là radotent :)

Je connais un chouette proverbe arabe: "Si tu demande au loup pourquoi il suit ton troupeau, il te dira que la poussière qu'il soulève soigne ses yeux malades"

darkstar a écrit:

J'ai trouvé cette citation très sympathique et très juste, elle m'a ravie, je vous en fait part :

"La courtoisie chez les bêtes est instinctive et totale, et la courtoisie chez l'homme est partielle et raisonnée. L'animal est civilisé jusqu'aux tréfonds de son être. L'homme est sauvage au fond et courtois en surface."

Malcolm de Chazal.

comme on dit (surtout moi en fait lol) "l'intelligence est une vertu animale"

Shin a écrit:

"Où se situe la sente de gibier, où trouver de l'eau fraiche et qui sont nos frères de meutes. Voila ce qu'il est important de retenir, le reste n'est que détail"
Phrase prononcée par un loup dans une série de roman que j'adore

Shin, on peut savoir quelle est cette série ?


"L'air, l'air est précieux à l'Homme Rouge, parce qu'il sait que toute chose partage le même souffle; la bête, l'arbre et l'homme. Ils partagent tous le même souffle." (chef Seatle)

J'adore.

Une que j'ai souvent sortie ici, qui est un dicton Touva :

Le loup ne se montre qu'aux hommes dont le destin est égal au leur.

'Murphy' aussi pour les chiens

"Une porte est ce dont un chien est toujours du mauvais côté."

Ont dis que les loups sont des anges
donc que sont les hommes.

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Le Louveteau de Audrée et serviteur de Laure.

La nature ne nous appartiens pas, ont la partage!

Quand on parle trop du loup, il finit par l'apprendre...

Crocblanc21 a écrit:

La nature ne nous appartiens pas, ont la partage!

Une variante que j'ai entendu dans la bouche de Nicolas Hulot mais qui est en fait de Lester Brown :

“la terre n’est pas un héritage de nos ancêtres, mais un emprunt à nos descendants"

Pourquoi haïr quand on peut aimer,pourquoi détruire quand on peut crée et pourquoi avoir des énnemis quand on peut avoir des alliers.Suivez le loup et vous pourrez voir la perfection.(Alors vous en dites quoi.)

spiritinblack a écrit:

Crocblanc21 a écrit:

La nature ne nous appartiens pas, ont la partage!

Une variante que j'ai entendu dans la bouche de Nicolas Hulot mais qui est en fait de Lester Brown :

“la terre n’est pas un héritage de nos ancêtres, mais un emprunt à nos descendants"

Qui est d'ailleurs elle même une variante (si je ne me trompe pas) d'une d'Antoine de Saint-Exupéry :
"La terre ne nous appartient pas, nous l'emprentons à nos enfants."

spiritinblack a écrit:

Crocblanc21 a écrit:

La nature ne nous appartiens pas, ont la partage!

Une variante que j'ai entendu dans la bouche de Nicolas Hulot mais qui est en fait de Lester Brown :

“la terre n’est pas un héritage de nos ancêtres, mais un emprunt à nos descendants"

il me semble que c'est un proverbe amerindien en fait

plus un poeme qu'une citation mais je le trouve magnifique:


Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions, sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois ni la plaine
Ne poussaient un soupir dans les airs; seulement
La girouette en deuil criait au firmament;
Car le vent, élevé bien au-dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant; bientôt,
Lui que jamais ici l'on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions, pas à pas, en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse,
Mais les enfants du Loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa Louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les Romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées,
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante,
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair,
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.


II


J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils, qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre; et, comme je le crois,
Sans ses deux Louveteaux, la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.


III


Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse,
Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au cœur !
Il disait : « Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le sort a voulu t'appeler,
Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler. »

Samaël a écrit:

"Il n'y a qu'une liberté, et son nom sera toujours écrit avec les lettres du sacrifice et du deuil."

"Chacun de nous prend la route qui lui est destinée. Pour certains elle est droite, pour d'autres, elle est tortueuse."

"Tu es toujours libre de changer d'idée et de choisir un avenir différent, ou un passé différent."

"Il est rare que la vérité rattrape le terrain perdu sur la légende."

"La discipline sans la liberté, c'est la tyrannie; la liberté sans la discipline, c'est le chaos."

"Savoir ce qu'on sera, c'est vivre comme les morts."

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Merci

il y a quelques jours je suis tombé sur un episode de yakari...

"il y a tres longtemps , lorsque les loups eurent foremer leur premiere meute, etant si heureux ils se mirent a chanter.le soleil n'aimant pas leur chanson se bouchat les oreilles avec les nuages.la lune apparut alors, et trouvant leur chanson si belle se fit toute ronde a cette occasion.
dès lors les loups chantent leur serenade a chaque fois que la lune est pleine."

je trouve que cette petite histoire pour enfant est une bien belle explication quand a l'origine du chant des loups...