A vendre

Huuuummmmmm... je vais appeler mon banquier... on peut toujours rêver ! lol !

Merci pour l'info !!

(au fait ? C'est chauffage au gaz ?)

ils prenent les cheques ?

... ouais enfin ca c'est le château de Dracula pour touristes ceci dit, même si ca reste un très beau château, et même si j'investirais sans hésiter si j'avais les sous :-)

Ceci dit : 100.000.000 $ c'est très cher, c'est sûr, mais pour une surface de combien ?

Vous avez vu les loyers sur Lille ou Paris ?

Au mètre carré, ça se vaut peut-être, non ??

J'ai vu l'annonce aussi ce matin.
Quant au chauffage, le système ne fonctionne plus.
Attention aux frileux...

Dracula va pas être content...

Pour ceux qui veulent plus de visuels de l'endroit, y'a une galerie photo qui y est dedié sur mon blog (lien sur le www).

interressant. Très interressant même. Moi qui cherchais justement un endroit pour y faire mon nid. Et puis j'aime po quand il fait trop chaud, ayant le sang chaud de nature préfère quand il fait un peu frisqué.

Donc question : peut-on payer en nature ce joli château futur tanière de la Louve Noire ?!

Remarquez si on se contise tous on peut se faire chacun notre apparte ^^.

J'ai vu mieux pour moin cher et en france. A la campagne.4 000 000 € pas cher et bien fait. par contre je n'ai pas de photos. désolé

P.S: Dis moi Kergan, Vincent ne t'a pas tué finalement ? Crains les Rougemonts alors car leur vengeance sera sans pitié. Bonne chance "Prince de la nuit"...

Bah il caille l'hiver et crame l'été !
Et puis c'est paumé comme coin.

Bin pour fait des rp en vrais sa doit être super
Bon maintenant désolé mais j'ai pas assez dans mon petit cochont temps pis.

Je me contenteré de mon jolie petit cimetiére

ps: A toussent se cotisé je diré pas non mdr. ( mais j'aime pas le foid je le suis déjà assez)

Paradis retrouvé au pays de Dracula
http://www.lefigaro.fr/reportage/20070406.FIG000000139_paradis_retrouve_au_pays_de_dracula.html


Depuis quelques années, la Transylvanie attire de toute l'Europe de nombreux amateurs de vieilles demeures à restaurer. Loin des sentiers battus, les professionnels de l'immobilier de charme, britanniques notamment, ont trouvé là une nouvelle terre de conquête.

PAR SA FENÊTRE, Lucy Abel Smith embrasse du regard la ruelle paisible. Un troupeau de moutons passe lentement, perturbant seulement un quatuor d'oies en goguette. Un chien aboie, laissant les palmipèdes imperturbables. « Vous voyez cela ?, sourit l'Anglaise de Gloucester, ravie. Comment pourrais-je me passer d'une telle sérénité. Ici, nous sommes au fin fond de l'Europe, loin de la civilisation. Pas une voiture à l'horizon, rien que des carrioles. » La sémillante quinquagénaire est arrivée presque par hasard, il y a cinq ans, à Richis, un ravissant village saxon de Transylvanie, loin des sentiers balisés, loin de la route reliant la médiévale Sighisoara à Sibiu, capitale culturelle de l'Europe en 2007. Victime d'une panne, elle cherchait un téléphone. C'est une maison qu'elle a trouvée. Cette maison de vacances tant rêvée, qu'elle n'eût pour rien au monde souhaité dénicher en France ou en Espagne : « Pour être cernée de compatriotes anglais, non merci! » Alors, elle a opté pour la Transylvanie. Un choix peu évident, a priori, dans cette région reculée, que l'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne, le 1er janvier 2007, n'a guère sortie de sa torpeur millénaire ; on se déplace encore en carriole à cheval sur des routes en piteux état. Et l'eau courante reste rare dans les villages peu éclairés, où des silhouettes d'enfants surgissent dans la lueur des phares, à la tombée de la nuit. À Richis - traduisez Reichesdorf, pour ses derniers habitants germanophones -, les hommes désoeuvrés s'éternisent au café, place de l'église, et discourent longuement sur l'arrivée de ces drôles d'étrangers : difficile de comprendre les motifs de « l 'Anglaise » ou de ces Hollandais si discrets, qui ont racheté le café uniquement pour éviter sa fermeture annoncée comme inéluctable, et qui s'affairent à restaurer des façades décrépies. Une autre rumeur se répand : allons bon, un couple de Suisses, cette fois, serait attendu. Un réparateur d'orgue et sa femme. Fantastique nouvelle pour les églises saxonnes, joyaux du patrimoine transylvanien, mais laissées à leur triste sort, faute de moyens.



Depuis son entrée dans l'Union européenne, la Roumanie suscite un intérêt grandissant auprès de plus en plus de touristes en mal de nouveauté : 1,4 million d'entre eux ont visité le pays en 2006, et ce chiffre devrait croître de 25 ou 30 % cette année. Le pays donne aussi des idées aux investisseurs immobiliers. À Bucarest, la capitale, le prix du mètre carré s'envole, tout comme sur les bords de la mer Noire, qui drainent les blasés de la Côte d'Azur, de la Costa Brava, des rivages croates.

Et puis, il y a la Transylvanie. Sauvage, reculée, mythique, depuis un certain roman de l'Irlandais Bram Stoker, Dracula. Mais les touristes qui empruntent les routes défoncées de cette région du nord-ouest roumain ne viennent pas seulement pour les vampires. Le bruit court que la Transylvanie regorge de merveilleuses bâtisses à l'abandon, de paysages à couper le souffle - et de légendes, bien sûr. Depuis quelques années, sans bruit, les initiatives se multiplient pour sauver l'héritage architectural. À Viscri, un autre splendide petit village saxon situé à l'ouest de Sighisoara, le Mihai Eminescu Trust, une fondation aux capitaux britanniques, s'est attelé à la rénovation de quarante maisons. Elle bénéficie du soutien d'un illustre parrain, le prince Charles, qui a acheté plusieurs maisons à Viscri. À quelques lieues de là, dans le village de Miclosoara - entendez Miklosvar pour ses habitants magyarophones -, le comte Tibor Kalnoky a ouvert une maison d'hôtes, et rassemble patiemment des fonds pour restaurer son manoir familial. « Une des grandes traditions de la famille, sourit-il, c'est de reconstruire nos maisons.... après le passage des Turcs ou des Mongols. » Cent vingt de ces familles de haute lignée se sont rassemblées au sein de la Fondation Castellum, qui tente de sauver les plus belles demeures de la région, en respectant patrimoine culturel et tradition locale. Les membres de Castellum s'appuient également sur le programme communautaire Fares, grâce auquel les projets contribuant à améliorer le tourisme vert agricole peuvent être subventionnés. « Jusqu'à 200 000 euros », note Thierry Meurou, responsable de l'agence immobilière franco-roumaine Transilvania, fondée en 2006.



Les projets de développement rural ne sont cependant pas légion. Mais leur nombre croît, en partie grâce à la notoriété du « château de Dracula », à Bran, à 30 km au sud de Brasov. Restitué en 2006 aux descendants de la famille royale de Roumanie, ce manoir fortifié, qui attire 500 000 visiteurs par an, est mis en vente pour la coquette somme de 75 millions d'euros, alors qu'il était auparavant estimé à 25 millions. « Les prix flambent, confirme Thierry Meurou. Bientôt, dans trois ou quatre ans au plus, une fois que les gros investisseurs auront jeté leur dévolu sur elle, la Transylvanie sera aussi chère que la mer Noire. » L'agence Transilvania, avec vingt propriétés inscrites à son carnet, n'a encore vendu aucun lot, mais entretient de nombreux « contacts personnels » . Même son de cloche chez Romanian Properties, une agence britannique qui dispose de clients potentiels, tous anglais et irlandais. Pour Damien Thiery, son directeur commercial, la Roumanie constitue « le premier pays en Europe en termes de rentabilité des investissements immobiliers pour les années à venir ». « Qu'ils viennent le plus tard possible », s'amuse Lucy Abel Smith.

lol nimporte quoi j'adore XD.
Mais bon a mon gout c'est trop grand un château...il aurait pas un manoire? Ou une residence segondait le comte?

J'ai une amie qui l'a visité .... La chance ... !