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 Vos textes II

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Stavroguine Oulianov
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMar 28 Juil 2009, 01:39

Fraîchement éjecté.

en-dessous des lits pour enfant avec leurs mots inutilisables mais innés à utiliser la sagesse dans l'agglomération télévisuelle entre les voix d'une enfant qui pleure l'enfant mort de son enfance et de rayons X Y tZars d'anarchistes chevilles qui chassent l'artiste comme une preuve d'être ou de ne pas être par reflet de miroirs c'est la nature qui se soupçonne suspect pacte de paquetage abstrait vifs et évasifs entre des planètes qui tournent autour d'un soleil vert-de-gris qui tourne dans un espoir de brûle m'en sortir pour plonger bouillir une soupe de lyre et de lard dur à avaler quand on l'apprend en haussement d'arcade sourcilière qui chauffe à blanc entre les plaintes du violons notre terre trop douce trop triste trop trop trop trop d'écritures du dessus qui disent en voulant dire et qui ne disent que ce qu'ils veulent dire sans savoir ce qu'ils veulent comme une coquille vide ou une maladie de pourriture dans l'haleine et ses vers blancs de contact lunaire nerf d'une guerre en lui qui luit même à l'œil déshabillé sans propriété nu de toutes propriétés privées
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMer 16 Sep 2009, 14:30

Bon... Comme je suis quelqu'un qui lis beaucoup de topic mes posts peu ... Je vais tout de même poster Un ou deux extrait de mes "petits poème'" Inconnue dodo

Oui bon traite de bavardage... :

Larme noir:
Larme noir
Sur une lame
Existe une larme
Sur le sang
Existe l’âme brûlant

Dans le noir, une lumière
Dans une foret morte, une fleur

le plongeoir vers un cimetière
La vie d’un tort vers un bonheur

La tache rouge tomba
La tache noir tomba

La vie s’écrasa
La mort s'écrasa

Entre la vie et la mort

La veine pleurent
Les yeux saignants

Comme maintenant j'essaye de faire des poèmes bien différent les uns des autres, je vais vous présenter mon dernier poème :
L'amour du malheur :

J'aime la voir sourire

Mais ce que j'aime le plus ces la voir souffrir

J'aime quand elle est une heureuse fleur

Mais ce que j'aime le plus ces quand elle pleure





J'aime quand elle me dit je veux t'aimai

Mais ce que j'aime le plus ces quand elle me dit je veux te tuer

J'aime quand elle m'embrasse

Mais ce que j'aime le plus ces quand elle me frape





Heureuse je t'aime

Malheureuse je t'adore





J'aime quand elle me dit je veux vivre avec toi

Mais je préfère quand elle me dit quel veux mourir avec moi

J'aime quand elle me dit on se mariera ensemble

Mais je préfère quand elle me dit je veux que on sois dans le même cercueil ensemble



Heureuse je t'aime

malheureuse je t'adore

Bon aillant eu un ancien "site web" qui as était supprimer par les créateurs de la plateforme (grrr)... J'utilise donc maintenant un autre système d'exploitation
http://antietrehumain.over-blog.com/
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyDim 04 Oct 2009, 19:38

ma douce demoiselle
laissez moi vous faire découvrir mon doux univers
un monde de sang et de plaisirs
merveilleuse enfant
votre peau de lait devrait avoir un gout des plus divin
mes crocs s'enfonceront en vous comme un dard
vous injectant mon vice avec le plus grand des plaisir
tendre victime
laissez moi vous enlacer et vous donner l'absolution pour votre vie de vertu
prude,belle,terriblement atirante
la jeune vierge que vous ete frémi sous mes carresses
vos vêtements a vos pieds et la peur au lèvres
je vous bafoues
votre corps et vos sens
votre porte interdisant la venus de votre avènement en femme
vole en éclat sous les coups de mes assauts
les larmes aux yeux vous cessez le combat
et a votre réveil vous serez mienne
bien plus que cette nuit ou vous perdis votre honneur pour mon plus grand plaisir
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MessageSujet: Confession d'un Vampire   Vos textes II EmptyDim 25 Oct 2009, 12:44

Aux âmes tourmentées qui ont perdu l'espoir.
A ceux dont la vie est plongé dans le noir.
J'entends vos prières du fond de ma crypte.
Eveillant en moi la soif maléfique.
Vous m'invitez pleinement à gouter votre sang.
A corrompre vos esprits et vos rêves innocents.
A faire de vous des enfants de la nuit
aux canines acérées aux visages blêmit.
Je vous vois à travers le vitrage embué
sur un lit d'ennui,noyé dans l'obscurité.
Vous cherchez du regard la brume sous la porte.
Annonçant la venue du prince des non morts.
Il m'arrive parfois de vous regarder dormir.
Il serait si facile de vous mordre sans désir.
Vider votre énergie jusqu'au seuil de la vie.
Devenant ainsi votre maître votre guide.
J'entends facilement battre votre coeur.
Je perçois aisément vos pensés vos frayeurs.
J'ai le pouvoir de vous laisser un souvenir
Celui du souffle glacial de l'ombre du vampire.
La nuit prochaine je serais près de vous.
J'entrerais dans vos rêves sous la forme d'un loup.
Il sera temps de faire vos adieux à la lumière
et prendre le chemin de la crypte au fond du cimetière.
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MessageSujet: Confession d'un Vampire de Lucas de Borgo   Vos textes II EmptyDim 25 Oct 2009, 19:49

J'aime à me retrouver les nuits de pleine lune dans un cimetière ancien.
Le vieux portail en fer rouillé grince hideusement chaque fois que je le pousse,me faisant penser aux rires de quelques sorcières égarées.
Les tombeaux de pierre semblent des bateaux échoués à terre,dressant
vers le ciel noir leurs mâts en croix.
ça et là quelques sépulcres abandonnés aux dalles brisées laissent entrevoir leurs entrailles de terre.
Au clocher de l'église voisine,les douze coups de minuit sonnent.
Là-bas,entre deux tombes une silhouette pâle se dirige vers moi .
Enveloppée dans un manteau de brume la créature laisse s'échapper de ses lèvres blêmes une douce mélodie mélancolique.
Elle est le seul vampire avec qui j'aime partager ces instants de sérénité.
Elle se prénomme Florencia.
Elle fut autrefois victime de l'attaque d'un nosferatu.
Lors de nos rencontres,je lui enseigne la maîtrise du don.
Mon expérience et mon grand age font de moi un excellent professeur.
De temps à autre je la courtise si maladroitement,qu'elle ne peut
s'empêcher de rire.
J'aime l'entendre rire.
Quelques fois nous chassons ensemble dans les grands bois.
Et après avoir copieusement dîner,nous nous assoyons au pied d'un
chêne ou nous contemplons la lune,alors elle me fredonne en sourdine une
chanson de son pays natal et je reste là à l'admirer,son visage ne montre
plus de tristesse,un sourire illumine sa paleur...je suis bien.
Bien que d'une lignée de sang impure,Florencia porte avec aisance
la noblesse et le charme du romantisme.
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyDim 01 Nov 2009, 14:12

Tourmente de l’esprit
Larmes du cœur
Ho combien son âme est troubler
Ses yeux enfler de larmes
Ses sentiments lui étreignent la gorge comme une corde
Il pense
A ses penser si noir
Que même ses démons les ont abandonné
Il ère seul
Ame souiller par la colère, par ses hurlements
Il rêve
Pleure sur ses désirs
Les tortures
Déchirant son âme et scarifiant son cœur
Il regarde la pluie tomber
Comme tombe sur le sol ses larmes
Créant un océans de souffrances
Où se noient ces espoirs
Il disparait dans la nuit abandonnant derrière lui ces regrets
Cacher par la nuit
Maitresse, complice de son évasion
Amante de ses nuits d’errance
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMar 10 Nov 2009, 11:36

Cinq heures de train c’est long ! Surtout quand il en reste encore deux à faire ! J’ai tout eu : le bébé qui pleure bien trop fort bien trop longtemps, les jeunes qui parlent bien trop de cul mais qui semblent l’avoir bien trop peu pratiqué, le jeune qui écoute sa musique bien trop mauvaise et qui chante bien trop mal. Je les ai tous eu sauf un… Ou plutôt une : la mamie qui revient d’aller voir ses petits enfants bien trop petits et bien trop mignons ! Je ne l’ai pas eue pour une raison simple : Je l’ai en ce moment même !
Pourquoi a-t-elle choisi cette place ? J’en vois sept où elle n’aurait pas eu de voisin. Mais non, elle s’est assise à coté de moi. Quand elle a demandé si la place était libre j’aurais du l’envoyer chier !
Elle me sort une photo de ses petits enfants avec ses parents.
Oh comme ils sont mignons vos petits enfants, Matis et Clara ? C’est super mignon mais Monet et Tabata aurait été bien mieux, non!
C’est trop mignon Matis tire les cheveux de son père, laisse les tranquille, il est déjà bien assez dégarni ! Oh oui madame elle ressemble beaucoup à sa mère, elles sont bien rondes toutes les deux ! Ceci dit je vois d’où elle le tiennent… Dites moi votre fille en attend déjà un troisième ? Non, vous êtes sûr ? Vous savez le sport ça peut faire du bien, et je ne parle pas de lever de coude parce que le nez du papa est bien coloré !
Assez parlé de vous ? Parlons de moi ? Je suis un jeune qui aimerait bien bosser un peu mais il paraît que la crise fait mal aux entreprises… Et nous elle nous facilite la vie vous croyez ? Oui, ce n’était pas comme ça de votre temps, il y avait du travail, les gens étaient humains et avaient de la considération pour les autres ? Regardez au hasard : Hitler, un grand humaniste, n’est ce pas ! Oui, c’était mieux avant ! Je vous comprends madame, quand vous étiez jeune on était plus près de la nature, on chassait le dinosaure à mains nues
Oh, vraiment ? Vous faites du tricot ? Si ça m’intéresse ? Bien évidemment, c’est économique et bio en plus ! Oh, oui comme vous dites il y a plus de saison… C’est la faute aux voitures ? Bien sûr ! C’est pour ça que vous n’en avez plus ? Vraiment je croyais que c’était parce que vous n’y voyez plus grand chose et que vous tremblez comme une feuille, moi. Ah beh, oui quand on se déplaçait à pied on polluait moins et les gens avaient plus la forme. Oui, ça fait longtemps que vous ne marchez plus ? Parce que vous avez sans aucun doute une forme mais la forme sûrement pas ! Ce sont vos articulations, quand vous étiez jeunes le vieux avait moins de problèmes de santé ? Ils étaient surtout vieux bien plus tôt !
Ah beh oui, c’est la vie ma pauvre lucette c’était mieux avant ! Les gens ne divorçaient pas ? Oui mais ils ne s’aimaient quand même pas…
Ah pardon de devoir vous laisser mais je descend ici ! Merci, bonne fin de journée, ça a été n plaisir de vous parler !

Et maintenant que je suis descendu trop tôt je fais comment pour rentrer ? Elle avait raison c’était mieux avant, quand on se déplaçait à cheval et que les vieux mourraient à 50 ans !
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DarkMagou
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyLun 16 Aoû 2010, 21:34

Petit dépoussiérage de poésie...Registre grotesque-burlesque

ATTAQUE NOCTURNE

Une jeune fille toute innocente
Court dans la soirée naissante
Ses effluves féminines
Caressent les narines
D'un vampire local

Il sent le sang
Le sang qu'il sent
C'est bien du sang!
Du bon...du sang...
Perds pas ton temps!
Saute lui dessus!
Tu comprends
occasions comme ça
Y en a pas tous les jours...

Bon...Il se gratte
La vieille nuque
Avec un doigt crochu et pourri
Il claque les dents d'un air distrait...
N'attends plus!
Saute lui dessus!

Et le vieux mort-vivant
Le coeur plein d'entrain
Disparait dans la nuit
Pour lui mordre le cou
De ses dents pourries

Sa jupe ondulait dans le noir...
Rondes courbes taquinaient à souhait
Le regard assoiffé
De ce comte bizarre.

Filets de bave coulaient
De sa bouche caverneuse
Des flammes brûlaient
Dans ses pupilles perceuses

Tel une ombre fidèle
Il ne la lâchait pas d'une semelle...
Un remugle soudain
Excita les narines de la petite..

Elle s'arrêta un instant
Et se dit 'J'ai envie de frites'
Le comte triomphant, l'accosta
Dans la brume du soir
La tendre victime riposta...
Mais l'étreinte et le désir de boire
Saisirent le vieux vampire...

Pour calmer sa nourriture
Il fit scène de friture
'Regardes, de belles frites
Que je mettrais dans ton cou...
Tu ne sentiras rien, petite!
Mais nom de...tu as des poux!"

L'agresseur se retira, horrifié
Par la petite bestiole que s'est collée
Au seul cheveu qu'il avait..
Et en hurlant, tel un loup de la nuit
Le vieux comte s'enfuit...


Derrière le petit parc,
Il y a une petite fille qui erre
Elle cherche à refiler des poux
A de vieux vampires
Si tu as des crocs, prends garde à toi!
Malheur à toi si tu la croiseras...

DarkMagou, un jour.
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MessageSujet: [i]Mauvais sort ou fatalité [/i]?   Vos textes II EmptyMer 10 Nov 2010, 21:16

Mes respects à toute la communauté.

C'est avec humilité que je m'engage à vous raconter une histoire authentique survenue depuis peu, pour les immortels que nous sommes, mais dont l'exactitude est vérifiable.

1983 : France , Drome , Romans /isère près de Valence.
Les balbutiements des escapades dans les cimetières afin d'assouvir de sombres et noirs désirs...
Je ne cotionne pas là les profanations, soyons d'accord sur le sujet développé içi
Mais cette nuit là fut plus que particulière. En tout les cas, sufisamment pour etre relaté.

Sébastien.D, agé alors de 16 ans, avait des vues sur Aline.
Sa "bande" n'était alors composée que de 6 membres, avant qu'il ne se jette à l'eau et ne lui demande de les rejoindre un soir vers le "Cimetière des Récollets".( Cimetière réservé depuis plus de 3 siècles aux gens d'église : nones, curés,prètres etc...)

Aline n'avait que 15 ans et faisait régulièrement des fugues , selon les rapports de police de l'époque. Donc elle rejoignait ce soir là des copains comme elle à déclaré.
Sac à dos, duvets, Vodka (je crois) , et autres substances beaucoup, beaucoup moins légales étaient de la partie.

Ils avaient prévu de dormir dans les caveaux de ce cimetière.(Je l'ai fait également mais une 10ène d'années plus tard).C'est un lieu magnifique, qui n'est malheureusement plus accèssible aujoud'hui. Certains caveaux restaient ouverts et nous pouvions y passer la nuit ! Un véritable havre de paix entre ciel et terre !!!

Mais pour Sebastien.D, ce soir là, c'était une autre attirance qui le motivait : Aline.
Vetus de grandes gabardines noires, très peu en vogue pour l'époque surtout dans ces coins reculés des grandes villes, ils étaient,lui et ses potes, pour ainsi dire des originaux...
Mais il est rare que les choses se déroulent comme on les prévoit !

Aline ne succombait pas au charme de Sebastien.D, Mais plutot à celui d'un copain plus quelquonque de la bande.
La nuit prit ses aises, et l'alcool finit par plonger tout le monde dans une torpeur peu flatteuse.
Sebastien, malade de jalousie, essaya d'attirer l' attention de la demoiselle. En vain...
Il décida alors de frapper un grand coup : profaner une sépulture implanté à meme le sol en terre battue.A l'aide d'un pieu de fortune et d'une masse en bois, après avoir marmoné quelques psaumes, il enfonça violement le pieu sur la tombe à l'aide de la masse.

Leurs effervescences naissantes finit par alerter le voisinage.
Mais Sebastien continua a enfoncer le pieu de toute ses forçes.
Quand des lumières apparurent à l'entrée du cimetière, tout le monde déserta les lieues .
Sebastien voulu en faire de meme, quand soudain, une force incroyable le retint . Prit de panique, il lutta, se débattit pour s'enfuir, mais resta cloué à la tombe.

J'imagine aisèment les pensées qui ont dut l'assaillir à ce moment présis...Une monté d'adrénaline incroyable, le sang qui déserte les veines.
Grand, Maigre et fluet, son coeur a cédé et il et décédé d'un infarctus. Il avait 16 ans ...

Le rapport de police des archives est édiffiant . Ils confirme la mort de S. comme accidentelle, mais inexpliquée !!!
En effet, sa gabardine de cuire s'est prise dans le pieu qu'il était en train d'enfonçer.

Sa mort reste donc suspecte mais non-élucidée .
MAlchance ? Punition divine ? Vengeance d'outre tombe ? A chacun son appréciation je crois...
Je pense encore souvant à lui et par ce témoignage, je souhaite lui rendre hommage...

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War
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMer 10 Nov 2010, 21:39

Heuuuuuuuuuuuu heu eeeeuh

.
Vous passerez par la case départ et ne toucherez pas 10 000 euros!
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Diane
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyJeu 11 Nov 2010, 06:35

Si tu passais par la case " accueil des nouveux" pour te présenter .......
Une petite coutume qui nous tient a cœur par ici...
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyJeu 11 Nov 2010, 12:34

Désolé vous n'étiez pas cessé savoir....

Je suis sur le forum depuis un petit mois déjà !

Donc rassurez vous, ce n'est pas un oubli et je ne manque pas de savoir vivre. beu

Tess a effacé mon ancien compte pour réouvrire celui ci. Mon pseudo était mon nom de famille !!
Et oui : je suis polie, mais très tete en l'air !! splach

Voila, le mal est réparé....
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyDim 14 Nov 2010, 21:17

EN-CA-TA-NES !
Putain ça fait du bien , suis toute humide ...
Merci ...
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Maharet
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMer 17 Nov 2010, 23:02

Texte de Fanshy14

Citation :
(En espérant ne pas être trop choquant )



CHAPITRE PREMIER : « Espoir »

Oui la mort est une salope gourmande, et elle espère bien ne faire qu’une bouchée de moi.
On pourrait croire avec mon ton déprimant, que je n’attends que sa, mais non.
Certes ma vie n’est qu’un ramassis de tristesse, de choix déplorable, d’éternelles solitudes.
Je n’aime pas ma vie, mais j’aime la vie.
Je ne suis pas comme tous ces gens qui flirt avec la mort, qui la défie, non j’en ai presque peur, j’aime mieux l’ignorer.
Je n’ai pas voulu sa et pourtant elle me condamne.

Je me pose en victime et je ne me présente même pas, c’est tout moi sa.
Donc, voilà je me prénomme Mathias Lounge, j’ai tout juste trente ans, je suis le fils unique d’une famille franco-belge et juive de surcroit. Mon père paix à son âme a surement lui aussi eu une vie aussi morose que la mienne.
Ma mère elle bien vivante, épouse très castratrice, lui en a fait voir de toutes les couleurs. Mon père était une larve, une merde, soumis à ma mère, lui, réalisant tous ses caprices, le fatiguant avec tous ses sarcasmes… il en est mort.
Je ne l’ai pas trop connu il est décéder quand j’avais à peine 16 ans, il était le plus souvent sur la route à travailler qu’à la maison pour s’occuper de nous.
Mais ma mère s’est bien chargée de me faire sa pub ainsi que sur les hommes en général.
Ça doit être la raison pour la quel je hais tant les hommes, mais ça n’empêche pas de me mélanger a eux parfois, pas que je sois gay, non. Juste que le seul plaisir sexuel que je peux ressentir passe par la douleur des coups et la pénétration de mon cul. Mais je n’aime pas pour autant les femmes, je l’ai trouvé tellement intéressé, fier et vénal.

Je suis de ces gens qui n’aspirent qu’a une vie d’Hermite, seul avec sois même, et tellement heureux de l’être.
J’aime tout contrôler des simples banalités de la vie, aux personnes qui ont l’infime chance de partager ma vie, ce qui est quasiment nul.
Mais malheureusement, on ne contrôle pas la mort et encore moins la manière dont elle nous arrachera si subitement à la vie.
Pour ma part elle me laisse le temps, elle aime me regarder de loin, me laisser le temps de me faire à la chose, essaient une chance de me faire à sa, ou une malédiction ? Je ne saurais répondre.

Les médecins et il faut savoir que j’en ai vu des médecins, n’ont pas vraiment réussi à donner un nom au mal qui me ronge.
Ce serait une sorte de dégénérescence sanguine, en gros mon sang se bat contre lui-même.
Le résultat ? Mon corps se bouffe de l’intérieure tel un zombie et dans quelques semaines il ne restera qu’un corps vide, vide et sans vie.

Je ne perds pas espoir, je perdrais espoir je ne serais pas mieux que ces lâche et égoïste suicidaire, qui choisissent la simplicité au lieu de se battre.

Oui j’ai espoir, je dois rencontrer un médecin qui lui aussi est plein d’espoir.
Oui d'accord il est beaucoup critiqué par ses confrères, mais les grands de ce monde, les hommes de lettres, de science ou de l’art n’étaient-ils pas des renégats de leurs époques si critiqués et controversés par leurs pères ?
Je suis peut-être fou de laisser le peu de vie qu’il me reste entre ses mains, mais tout le monde a le droit à sa chance, à son heure de gloire.

Le rendez-vous est pour demain.
Peur, excitation, appréhension tant de sentiments pour un rencard.



CHAPITRE DEUXIEME : « Guérir par la mort »


Chaque matin c’est le même rituel, 7 h le réveil qui fait entendre sa sonnerie stridente, moi bondissant du lit tel un lion sur sa proie, sauf que ma proie à moi n’est autre qu’une cigarette sans filtre et américaine, c’est ma seule et unique cigarette de la journée.
J’aime en sentir les cotés néfastes, le gout du goudron m’arracher la gorge, la fumer m’irritant le nez… sa me rappelle à quel point il serait peu judicieux pour moi d’en fumer plus qu’une… comme je vous les dis j’aime tout contrôler.

Après cette cigarette, je passe sous l’eau glacer d’une douche, j’apprécie quand je sens mes poils qui s’irisent sous la froideur du liquide, mon cœur bâtant plus vite qu’à l’accoutumer, serré les dents pour m’empêcher de hurler.
Contrôler le débit d’eau, tourner le robinet d’eau chaude, un peu, moyennement complètement.
Pouvoir gérer la douleur, cette douleur qui me rappelle que je suis bel et bien envie.
Je ne m’essuie jamais, j’attends que l’eau ruissèle tranquillement sur mon corps, je reste assis dans la quart du mur de la salle de bain et j’attends.
Ensuite je m’habille de la plus simple manière, à part la couleur, mes vêtements se ressemblent tous : caleçons écossais, chaussettes courtes 100 % coton, pantalon en tweed et chemise cintrée.
J’aime mes habitudes, ça a un coté rassurant, reposant.
Je ne prends jamais de petit déjeuner.
Normalement après tous sa je vais dans mon bureau et débute ma matinée de dur labeur (je suis programmateur de logiciel à domicile), mais se matin est un matin différent, j’ai rendez-vous a 10 h avec le docteur Nelson.
La veille j’avais étais harceler une bonne partie de la soirée par des coups de téléphone insistants de ma mère. Je n’ai pas répondu, car je savais la raison pour la quel elle m’appelait, elle voulait m’accompagner chez le toubib, il en était hors de question.
Ma mère est ce genre de femme qui aime détourner le malheur d’autrui à son avantage.
Si elle m’accompagnait, elle passerait devant le docteur comme la pauvre mère effondrée, déchirée par la maladie de sa flotte de fils, alors qu’elle s’en fout cette morue.
Elle n’a aucun amour pour moi, elle m’a expulsé de son utérus, comme on gerberait des huitres avariées.
Mais dans la suite logique de son statut social, il vaut mieux paraitre bonne mère aux yeux des gens que de l’être réellement en secret.

9 h il est temps pour moi de partir direction le centre-ville, destination guérison.

9 h50, Me voilà enfin arriver dans le cabinet à l’allure de tombeau, sans fenêtre, avec pour seul lumière un allogène sifflant et clignotant par moment.
Avec grand soulagement le cloitre était vide, je n’aurais pas aimé tomber sur une vielle défrichée ou une mère avec son môme crachant ses poumons ou pire puant dans sa couche pleine.
10 h Enfin la porte s’ouvre une femme qu’on pourrait caractérisé de charmante, blonde, des yeux de biche, des lèvres rouge sang. Elle était faite comme une brindille, si fragile, rehausser de talon qui lui donner une démarche de funambule peu sur d’elle.
Je me suis surpris à la désirer, pas d’une façon chaste non, mais avec folie et sauvagerie la déchiqueté, la dévorer.
J’en ai senti ma queue se gonfler de plaisir dans mon caleçon, que j’ai tout de suite essayé de camoufler comme je pouvais.
La succulente secrétaire médicale me lança d’une voix légère et douce presque comme un souffle.
« Le docteur vous attend, voulez-vous me suivre s’il vous plait. »
J’aurais pu me trainer, refuser d’entré dans se long couloir qui m’emmenait peut être a une mort certaine, la médecine alternative a ces dangers, mais je partais confiant, serin sans savoir réellement pourquoi.
C’est surement ce qui nous reste quand on n’a plus rien à perdre, le « self-control ».
Le médecin me sert la main comme tout médecin qui se respecte, légère, sans fermeté, comme si ma main était un nid à microbes.
Il m’invite à m’assoir, sur une de ces chaises de cuir aux accoudoirs de chêne brut, ces chaises qui ne son en rien confortable, mais qui donne de l’âme à la pièce.
Le doc rentre alors dans des explications des plus complexes dans un jargon médical, je fais mines de suivre la discussion, mais je m’évade.
Je ne veux qu’une chose, que tout se termine, que le traitement fasse son effet, guérir et retourner à ma vie.

Le médecin me demande de me mettre nu et d’enfiler une blouse, je le regarde s’éloigner, me laissant un peu d’intimité.
Je me regarde dans la glace tout en déboutonnant ma chemise.
Mon corps n’est plus le même, il est creux et pale.
La maladie a laissé place à un corps de vieillard, seul mon sexe est resté le même long et vigoureux.

Me voilà gisant sur cette table qui me glace les reins, le Doc Nelson me rassure en m’injectant un liquide bleuâtre dans le creux de mon avant-bras gauche, tout en me disant que tout se passera bien… et pourtant
Et pourtant à peine le liquide en moi ma vue s’affaisse, la silhouette du docteur devient flou, les sons extérieurs s’affaiblissent, j’ai froid.
J’ai froid, je suis glacé, je ne sent plus mon corps, il est devenu lourd, il m’abandonne et je ne peux rien faire, je me sens partir, je sens le produit en moi, je le sens atteindre mon cœur férocement, comme si une force extérieur l’empoignait, le serrant fort de plus en plus.
Celui-ci ralentit… jusqu'à ne plus battre… je me meurs… je suis mort…







CHAPITRE TROISIEME : « Renaissance sanguine »

Je n’ai pas vu l’éternel halo de lumière qu’on nous promet tant, non juste un néant, apeurant et glacial.
Alors que je me croyais vraiment parti pour ne jamais revenir, une voix au loin, une voix douce et familière me siffla.
« Reviens, rien n’est fini, ce n’est que ton commencement »
Mes poumons se remplirent alors d’oxygène, et c’est avec douleur que je toussai et repris vie devant les yeux apeurés du médecin.
— Monsieur Lounge tout va bien ? Sa ne devais pas se passé comme ça.
Son visage était devenu livide, il lui perlé des goutes de sueur sur son front blême.
Je n’avais jamais observé une personne ainsi, je l’observais comme si je le voyais pour la première fois.
Je sentais son parfum enivrant, un mélange si subtil entre sa sueur et sa peur, oui il sentait la peur et ça me plaisait, ça m’existait même.
Sans me contrôler, je bondis sur lui, le plaquant contre le mur tout en le tenant fermement par sa blouse blanche.
J’humé sa peur grandissante, sons cœur s’emballant.
De ma main devenue si puissante je lui déchirai d’un geste animal sa blouse, laissant apparaitre un torse velu et à ma grande surprise bien dessiné.
Je le désirais avec force, je lui griffai de mes ongles ses pectoraux, je sentais émaner de la chaleur de son corps.
Du sang jailli de ses écorchures, que je léchai avec un naturel étonnant et surtout avec un surprenant plaisir, ce doux nectar envahit mon corps, le réchauffant comme revitalisant.
Il y en avait que trop peu, j’en voulais encore, encore plus.
Le toubib était à ma grande stupeur silencieux comme hypnotiser, il exprimer un léger sourire de contentement.
J’attrapai avec fougue son entre-jambes, massant à travers son pantalon sa longue queue naissante.
Tout en gardant ma main gauche durement plaquée contre son torse, je m’abaissai, sortant son sexe dur, rempli de sang comme un boudin.
Je le pris entièrement dans ma bouche tout en aspirant, telle une tique s’abreuvant de sang.
Un long moment passa avant que le sang arrivât enfin dans ma bouche, ruisselant dans ma gorge.
J’aspirais encore et encore sans donner d’importance au gémissement de douleur du pauvre condamné.
Le sang prit peu à peu un gout différent, désagréable.
La pièce tourna autour de moi, j’en lâchai l’emprise du doc, je le vis doucement tomber contre le mur.
Mon ventre me fit mal, une atroce souffrance, comme mille poignards m’arrachant les entrailles.
Un immense jet de sang dégueula de ma bouche, je tombai à genou, les larmes à l’œil priant dans mon for intérieur pour que cette torture s’arrête.

Un cri strident me ramena à la réalité, tournant la tête avec douleur je vis la secrétaire hurler avec force, voyant son patron ensanglanté gisant à terre la tête contre le mur de la porte.
Elle recula en me voyant, ma gueule pleine de sang, elle se battait pour ne pas tomber dans les vapes.
D’une voix tremblante elle me cria.
— N’approchez pas ! Je vais appelais la police, je la vie arpenté d’un regard le bureau du médecin, elle attrapa d’une main tremblante le coupe papier en le pointant vers moi.
J’aurais pu lui arraché des mains la tuer d’un seul geste, mais ma force m’avait abandonné.
C’était à mon tour de scruter la pièce, pour trouver un moyen de m’enfuir.
Je n’étais plus apeuré par la mort, mais par l’enfermement tel un animal sauvage me glacer d’effroi.
Je ne pouvais sortir par la porte d’entrée, il n’y avait que la fenêtre qui s’offrait à moi, même si six étages gisaient sous mes pieds c’était la seule manière pour moi de m’échapper.
Je profitai d’un égarement de la belle blonde pour courir et m’effondrais dans la fenêtre.
L’impacte fus plus douloureux que je ne le penser, je senti les éclats de verre m’arracher la peau.
La chute fus courte je senti mes os se brisaient par l’impacte et plus rien, encore ce même abyme sombre qui m’aspire : « la mort ».




CHAPITRE QUATRIEME : « Dents de scie »

Je me réveillai avec cette même douleur persistante de ma première renaissance, je pensais émerger de mon sommeil dans la ruelle en bas du cabinet médical, mais je me trouver sur une moquette de se qui semblait être une chambre d’hôtel.
Une chambre d’hôtel des plus miteuses, il n’y avait qu’un lavabo et un lit ou on pouvait apercevoir des fientes de cafards tout autour de celui-ci.
Cette pièce était puante, un mélange d’alcool et foutre, la chambre devait servir pour la plus part de temps de lieu de passe pour les putes du coin.
La porte s’ouvrit laissant entrée une chaleur étouffante, j’avais du rester assommé pendant un bon moment, car l’après-midi était bien entamé.
Le soleil me brula les yeux, je dus passer ma main sur mon front pour pouvoir apercevoir se qui semblait être un homme.
L’individu rentra tout en fermant la porte d’un geste de la main, il dédaigna me regarder.
Il enleva son mentaux et le mis avec une gestuelle presque féminine sur le lit, il me tourné encore le dos.
La douleur de la chute m’obliger à rester allonger, mes jambes rester engourdi.
L’homme avança vers moi, il s’agenouilla pour mieux me scruter, il était si prés de moi que je pouvais sentir le souffle de son haleine fétide sur mon nez. Il sentait l’ail et le mauvais vin.
Il balaya sa tignasse d’un revers de la main et laissa apparaitre enfin son visage.
Je ne le reconnus pas tout de suite, mais c’est avec effroi que je découvris sous ces traits vieillis mon père.
Oui mon père qui aux dires de ma mère était mort a mon sixième anniversaire.
Sa ne me surprenais pas vraiment de ma pute de génitrice.
Il me prit mon visage entre ses mains rêches, tournant ma tête de gauche à droite et de haut en bas surement pour voir les dégâts de la chute sur mon visage.
Je ne savais que dire, alors je me tus, lui devait être dans le même état d’esprit que moi, car il ne dit aucun mot.
Il sortit de sa poche une petite bouteille en verre avec un liquide rougeâtre flottant à la surface. Il l’ouvrit et renversa la moitié de son contenu dans un verre en cristal qu’il me tendit d’un geste presque affectueux.
— Tiens boit, c’est dégelasse, mais ça t’aidera. Murmura-t-il d’une voix caverneuse .
— c’est du sang ? Dis-je avec stupéfaction
— bois, tu verras.
A peine mes lèvres avaient touché le goulot de la bouteille, que mon estomac ne fit qu’un tour.
— C’est quoi cette merde ?
— Du vin mélangé à de l’ail, ça t’aidera à reprendre des forces.
Je m’exécutai à boire la mixture tout en me forçant pour ne pas tirer au cœur.
Tout en essayant d’oublier l’infâme potion que je venais d’absorbé, je regardais mon père sortir une valise de cuir de sous le lit, il l’a posa sur la moquette et l’ouvrit, il en sorti une longue et sombre enveloppe de tissu, qu’il apporta jusqu’a moi.
Il en sortit de minuscules crayons d’acier au bout acéré.
Il s’éclaircit la voix et me dis.
— Penche ta tête en arrière et ouvre grand ta bouche, ça va faire mal.
En voyant mon visage apeuré, il continua.
— Pour limer tes canines en dents de scie.
En voyant ma stupéfaction, il continua.
— Tu ne croyais pas qu’il te sortirait des canines par magie. Il marqua une légère pause.
Ne crois pas que tu es devenu un vampire de cinéma, loin de là, le mal qui te ronge n’es en rien une bénédiction, mais plus une putain de malédiction.
J’ouvris ma bouche comme on me l’avait indiqué, en m’obligeant à retenir ce gout de bile qui monter dans ma gorge.
Il commença le limage de mes dents dans un bruit strident des plus insupportables, je ne sentais rien, mais je savais au fond de moi que la chose ne durerait pas.
Et j’avais bien raison…
Une douleur insoutenable m’envahit, me lassèrent les gencives, qui commencèrent à pisser d’un sang tellement rouge qu’on l’aurait cru noir.
Je me retenais de hurler pour alléger ma souffrance, et prouvant à se père absent que j’en avais des couilles.
Mais à voir ce regard des plus concentrés il s’en foutait royalement.
Quelques quinze minutes plus tard, des minutes qui croyaient moi étais les plus pénibles de ma vie, il me retendit ce verre, calice de cet affreux breuvage.
- reboit encore du Lexire… allez cul sec.
- Du quoi ? à peine avais-je prononçais ces mots que je me sentais déjà honteux du ton ignare que j’avais pris.
- Le Lexire c’est la boisson qui nous aides à nous, les entres deux à survie aux maux qui est se terrible soleil et ses putains de rayons qui nous rendraient sans se breuvage, cramoisi en quelques secondes.
- Mais je pensais que les vampires. Je me repris rapidement. euh je voulais dire les entres deux, avais en horreur l’ail ?
- Simple légende, surement que nos anciens avaient peur qu’on connaisse la recette de leurs protection face à la grande boule de feu, comme ils l’appelaient à l’époque.
- Ok d’autre légende que je dois oublier ? je ne comprenais que la moitié de se qui m’arrivais.
- Non, sans le Lexire tu ne supporterais pas le soleil, tu en crèverais au bout d’une heure à peine, que ce soit un pieu en bois ou une lame de métal la blessure ne serait pas moins mortelle. La seule chose bénéfique à notre mal si je puis dire, est notre capacité de régénération cellulaire.
- Mais pourquoi alors je suis tombé agonisant se matin ?
- Tu as du boire trop de sang, quand la victime est morte depuis un moment son breuvage devient lui-même mort et sa notre corps ne le supporte pas.
Je compris alors pourquoi la vie que j’avais insufflée au toubib était devenue d’un coup noirceur et abyme.
La fatigue soudain me gagna, il faut dire que ma transformation, ma chute et toutes ces révélations avaient fait de moi un zombie en proie au sommeil.
Sans dire un mot mon père compris ma requête et m’invita à me reposer dans le sinistre lit unique de la chambre.
À peine mes yeux clos, je m’endormis d’une traite, balayant mes anciennes peur de cette maladie qui me consumaient jadis. J’étais en vie et pour longtemps…








CINQUIEME CHAPITRE : « Diner familial »


Je me réveillai tout en sueur, des lames de rasoir me martelant le ventre, comme si un démon réclamer sons festin du jour.
La faim voila se qui m’arrivais, elle me tirailler de l’intérieure, transformer tout mon hêtre en un estomac géant.
Je voulais du sang, j’en voulais maintenant.
J’ouvris mes lourdes paupières, ne vis qu’une fine lueur, surement la lampe de la table de chevet.
Je levais avec effort la couette qui semblait pesais une tonnes, et essaya de cherchez des yeux cet étrange bruit que j’entendais et qui m’avais surement réveillais en plus de ma putain d’envie de vider un homme, une femme ou un même un gosse de son sang.
Je baissai la tête, assez pour entrevoir se qui se passer en bas sur la moquette, je vis mon père
Nu comme un ver, allongé sur ce qui semblait être une femme, qui elle aussi étais à poil, mais bien moins vivante.
La pauvre étais morte, mais sa n’empêcher pas mon paternel de la pénétré avec force et de lui pomper son breuvage couleur pétrole à son sein.
Sentant le sang encore chaud de la morte, la bête qui sommeiller en moi se réveilla et pris les commandes.
Je me glissai hors du lit, me laissant tomber tel une feuille d’un arbre, et timidement m’approcha de mon pagre, comme un lionceau quémandant les restes à son lion de père.
Je léchai la moquette qui était inondée du sang de la défunte, les yeux baissés n’attendant qu’un geste, d’un signe du chef de la meute, pour moi aussi me sustenter à cette étrange source.

Mon père poussa un grognement, mais retira sa grosse et longue bite de l’entre-jambes de la trépasser qui s’avérais être ensanglanté aussi (ne pas mètre en doute les coups de reins d’une vielle entre-deux).Et d’un geste de soumission de la tête me laissa la place.
Je ne me fis pas attendre et sauta au sein de la martyre pour moi aussi me nourrir de se mets si délicat.
Le sang ruissela dans ma gorge telle une mini vague sur une plage d’été, à peine avais-je entamé mon festin que le gout de mort annonciateur de fin pour moi se fit ressentir.
En repensant a se que mon père m’avais dit plus tôt, c’est avec regret et prenant sur moi, que je retirais mes nouveaux crocs, des deux petits trous que je venais de percé sur le nichon, me léchant les babines pour bien montrer que j’avais encore bien faim.

- faudra t’y faire gamin, si tu veux te nourrir il faudra chasser ta bouffe, si cette anorexique n’avais pas étais aussi fade, tu n’aurais même pas eu le droit a une goute de son sang.
Je me dis au fond de moi que tout ce que m’avait dit ma mère à son sujet n’était pas totalement faux.

Il entrouvrit sa bouche, mais dégluti aussitôt, il semblait chercher ses mots, comme si la chose étais compliquée pour lui, comme s’il ne savait comment s’y prendre.
Son visage pris une moue dubitative, il fronça ses sourcilles et rentrouvrit sa bouche, cette fois il en sortit un son rauque :

- si je vous ai abandonné ta mère et toi. La sueur lui perlé sur le front, il reprit. C’est que toutes créatures de notre espèce doivent vivre en solitaire, la soif est trop grande et incontrôlable.
J’aurais pu à tout moment te croquer toi ou ta mère.
Je le coupai :
- sa n’aurais peut être pas étais un mal pour elle, cette garce.
Le résultat escompter ne se fis pas attendre, sa fine bouche devenait sourire, d’un sourire pervers, il la détester autant que moi.
Il enchaina :
- on ne doit pas se mélanger aux humains, ils sont notre alimentation rien de plus.
Tout comme moi, tu devras vivre seul, si j’ai bien compris ce ne sera pas difficile pour toi.
On en vient à ce qui reste un déchirement pour moi, mais utile pour toi , « mon départ »
Tu dois apprendre pas toi-même, vivre ta nouvelle vie…
Je déglutis à mon tour, certes j’avais l’habitude d’une vie d’Hermite, mais je sentais l’envie, le besoin de garder encore un peu se père si longtemps absents.
J’avais envie de savoir se qu’il était devenu pendant toutes ces années, connaitre la manière avec la quel il avait fais croire à tout le monde qu’il était mort et tellement de choses encore.
J’appréhendais surtout l’après de son départ, la façon avec la quel je commencerais ma nouvelle vie, comment j’allais chasser, savais-je en quoi sa consisté réellement d’abord ? Non je le crains.
Mon père s’avança vers moi et plaqua sa main fortement sur mon épaule, ça devait être pour lui une façon affectueuse de dire, « t’inquiète mon grand ça va bien se passer »
-avant que je parte. Son ton était devenu grave tout d’un coup. Il y a trois règles que tu dois suivre pour pouvoir survivre dans ta nouvelle vie.
La première tu la connais déjà c’est d’éviter le soleil le plus possible, la deuxième ne pas garder une victime en vie tu en ferais un zombie, au contraire des légendes on née vampire on ne le devient pas, la dernière règles et pas des moindres, c’est de ne jamais au grand jamais boire le sang d’une personne qui porte ta trace.
Je tendis l’oreille pour vraiment assimiler ce que j’entendais.
- qui porte ma trace ?
- une personne portant le même sang que toi, de ta famille si tue préfère.
Mon père avait cette façon hautaine de parler parfois, qui me remettait tout de suite en place et me remettais bien a mon rang de sous merde que j’étais face à lui.
- si tu bois même une simple goute du sang portant ta trace, tu en deviendras sur-le-champ FOU A LIER. Il en crier presque.
Il reprit son calme, s’avança vers le lit, se rhabilla en vitesse, enfila sa sombre parka toussota pour s’éclaircir la voix.
- si tu respectes toutes ces règles, on fera de toi un vampire centenaire.
Il se mit à rire à gorges déployais, laissant apercevoir ses canines qui étais au contraire des miennes longues et acéré, le moment aurait pu être drôle comme il le pensait surement, mais croyais moi, que entre ses dents coupantes, son rire d’aliéné et le contexte, j’étais plutôt rempli d’effroi que d’euphorie.
Il me prit brièvement dans ses bras, cela aurais pu ressemblais à une accolade si j’avais ressenti un minimum de chaleur dans le geste, mais il émanait plutôt comme une action obligatoire de sa part.
Il ne se retourna pas quand il disparut de l’entre bâillements la porte, il m’abandonné à mon triste sort.
Je restais là, seul dans cette chambre à pute, ne sachant que faire de cette nouvelle vie pleine de promesses que j’attendais tellement.
Je décidais de rentrer chez moi, de quoi réfléchir.












CIXIEME CHAPITRE : « Quand la faim devient fin »

Il faisait nuit, une de ces nuits sans lune, ou l’obscurité vous envahit de toute part.
Une légère brise caressa mes cheveux me rappelant que l’automne était à nos portes.
Je longeais cette rue, que j’avais tant traversée dans le passé, je me souviens il y a fort longtemps, quelque temps après mon déménagement, je m’étais fait sucer dans cette même ruelle.
J’avais encore l’impression de sentir la sueur du môme, se fatiguant à sucer longuement et profondément mon énorme appendice pour en extraire le jus si abondant et épais.
Je chassais ce souvenir de ma pensée, j’étais à deux pas de mon hall d’entrée, quand je sentis une présence à l’intérieure même de chez moi.
Je ne sais pas qui étais cette personne et pourquoi elle était dans mon chez moi, mais elle n’avait vraiment pas choisi le bon moment, le peu de sang que j’avais mendié sur la proie de mon patriarche étais drôlement loin, la fin me reprit avec fureur.
Ni une ni deux j’ouvris à la volée ma porte d’entré, rentra dans le long couloir qui la précédait avança à tâtons dans le noir, jusqu'à apercevoir l’ombre de mon assaillant, il ne me faisait pas face se qui me facilitera ma toute première attaque, moi qui me demander en quittant l’hôtel comment j’allais bien pouvoir chasser une proie, voilà qu’elle venait à moi, quoi demander de plus.
J’étais encore à quelques mètres de ma victime que je sentais déjà les battements de son cœur, son sang brulant circulant à toute vitesse dans ses veines, hummm !!! je ne pouvais encore attendre, je devais la saigner.
J’agrippai d’une main son épaule la lui serrant bien fort, tel un chat ne voulant pas laisser sa proie se libérer et de mon autre main lui empoigna la bouche pour ne pas l’entendre hurler à la mort, rien de devais gâcher se moment de jouissance qui m’attendait, tout en gardant la pression que j’exerçais sur sa bouche je lui penchai violemment la tête pour que son appétissante jugulaire me fasse face, je me léchai les dents d’un revers de langue et croqua la peau, qui s’écarquilla pour laisser pénétré, mais crocs acérés. Le liquide tant attendu ne se fit pas prier pour jaillir des deux petites plait, je ne me fis pas attendre non plus pour bien aspirer le sang, sans en perdre une goute.
Le plaisir qui exultait de se festin étais une quintessence à coter de ma première fois, j’en bander dans mon pantalon.
Après avoir vidé de son contenu le corps sans vie, et me félicitant de m’être arrêter comme prévu, je lâchais ma proie la laissant tomber comme une poupée de chiffon.
Je m’essuyais la bouche d’un révère de manche je devais aller allumer la lumière pour voir quand même a quoi ressemblé mon festin, de toute façon il fallait bien que je fasse le ménage derrière moi, pour ne pas inquiéter le voisinage par une odeur pestilentielle que le corps sentira très vite.
J’enjambais le corps du trépassé, pour m’approcher vers l’interrupteur situé en bas de l’escalier. L’ampoule émit un léger grésillement et éclaira la pièce doucement, j’avançais tranquillement, pendant que mes yeux s’habituer à la lumière.
Mon regard se posa sur les pieds du cadavre, qui portait des chaussures rouges à mini talon, une femme donc, je dois dire que le sang féminin avait un gout plus subtil, plus sucré même.
Mon regard continua à se promené sur le bout de viande sans vie, il était habillé d’une longue jupe beige et d’un haut affriolant noir, je continuais à monter le long su corps, un coup ridé crouter de sang sécher, enfin son visage s’offrait à moi.
Je tressaillis, sentit la sueur perlée sur mon front, mon sang ne fit qu’un tour, devant moi, le corps de ma mère gisait sans vie dans mon salon.
Je venais de tuer ma mère, la peur m’envahit, pas la tristesse non, ma mère n’avait jamais compté pour moi, mais je me souvenais de se que m’avais dit mon père quelques heures plus tôt, sur se qui m’arriverais si mon corps contenait de ma trace, du sang d’un des miens : LA FOLIE.
La folie ne tarderait pas à venir me cueillir …


EPILOGUE MORTUAIRE

Mes pensées se mélanger, mes souvenirs s’échapper, je pris la direction de la porte et parti. J’errais dans les rues désertes de la nuit, j’apercevais au loin les lueurs rougeâtres qui annonçaient que l’aube montrerait bientôt le bout de son nez.
J’étais comme absorbé, attiré par le soleil levant, je ne savais pas pourquoi, mais il me fallait aller à sa rencontre.
Plus j’avancer vers la ruelle plus le soleil se lever, ma peau commençait à me chauffer.
Je regardais mon avant-bras, qui crépitait sous la chaleur brulante, le recouvrant de grosse cloque blanchâtre qui s’apprêterait à exploser et qui déverserait son pus dans peu de temps.
La ruelle semblait se finir à l’endroit où le soleil s’élevait, au fond de moi je savais qu’il n’y avait pas d’échappatoire, quand je serais au bout de la rue, le peu d’étincelle de vie qui me restait s’éteindrait à tout jamais.
La chaleur suffocante que je sentais se transforma, en une douleur insoutenable.
Mes pieds me brulaient, rien d’étonnant quand le cuir de vos semelles se met à fondre et commence n’a faire qu’un avec votre peau.
Mes vêtements prirent feu, telle une torche vivante je ralenti avec douleurs, chaque petit pas se faisait de plus en plus rude.
Mes jambes se dérobaient, je tombais sur mes genoux endoloris pour enfin m’écrouler allonger, la tête sur le coter.
Tout dansait autour de moi, tout devenait flou…
Mes paupières se faisaient lourdes…
Je me battais pour encore quelques secondes de vie si fortement voulue quelques jours avant…
Le froid m’envahit…
Une ombre passa…


Et plus rien …



FIN …
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Satine26
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptySam 20 Nov 2010, 15:01

Zé tt lu mon p'tit nougat !!!

Beaucoup d'imagination, mais tu te dévoiles pas mal également n'est ce pas ?!!

G + bloqué sur ton 1er chapitre avant que tu ne t'évades sur des sentiers + vaporeux et capiteux ( mais toutefois assez bien écrits !)

Il y aurais une foule de choses que j'aimerais te dire , tant ton "personnage?" et moi avons de traits en commun .........Mais est-ce bien necessaire ?

Après tt, une histoire reste une histoire ..PAs vrai ??! yoyo
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Asaliah
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptySam 20 Nov 2010, 15:49

Rage sur
doux silence
avec tristesse si grande
il entre en collision avec la pluie
Paradis seulement, mais
un espoir écrasé
dans les yeux
des cendres de velours d'ébène
Aveuglantes lunes
assez de la corruption avec des troubles
pour résister à la danse de
joli rêve
riens
écrasé dans les feuilles
des lendemains brisés
espère
Rage sur
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caro
Mathusalem
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyDim 30 Jan 2011, 13:09

VDN
Viens à moi maintenant
Dans ta sculpturale beauté
Nouer tes crocs aux miens
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caro
Mathusalem
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyLun 31 Jan 2011, 12:56

Insatisfaction criante
Mouvance décadente
Mélancolie lancinante
Ostracisme permanent
Rage
Tel est mon destin
Ensanglanté
Lunaire ...
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caro
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Mathusalem
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMar 01 Fév 2011, 19:40

Vision utopique et stérile
Absurde et érotique
Modelée par mon âme
Paroxisme du sang
Inconditionnel plaisir
Rouge
Encore ...
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MessageSujet: Re: Vos textes II   Vos textes II EmptyMer 23 Fév 2011, 00:22

l'adjectif ne laisse pas respirer le non-adjectif.
les concepts sont des couteaux trop affilés qui me coupe dans la respiration que ce lecteur tente de prendre avec ton texte.
ça ne me donne pas l'impression de couler
plutôt l'impression d'une structure
d'un squelette et d'une brume à côté
qui aimerait si mêler.

ce qu'on ma dit un jour c'était "montre plutôt que de dire"
ne pas me dire l'absurde et érotique
mais me le montrer puis que je me pense
"c'est si absurde et érotique"

tisser des images
mages du tissu
de parole
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