Les loups du monde : visite guidée

Je vous propose de lister ici, en s'aidant des topics déjà existants ici et là, tous les loups (sous-espèces), leurs caractéristiques (+ une photo pour illustrer) et de dire où ils sont visibles à l'état naturel (région du monde, plus on est précis sur le lieu mieux c'est) et en captivité en France (parcs : lieu, prix, réputation, avis si on l'a déjà visité).

Pour vous faciliter la tâche, voici un formulaire à remplir :

Nom du loup :
Nom latin :
Photo :
Caractères :
Habitat naturel :
Visible au(x) parc(s) :
-> adresse :
-> prix :
-> avis personnel :

Je vous mets ce passage de mes archives, qui peuvent servir de base pour des recherches :

Tous les scientifiques s’accordent sur l’existence de deux espèces de loups : le loup roux, aussi appelé loup rouge (Canis rufus) et le loup gris (Canis lupus ; c’est avant tout cette espèce qui nous intéresse). Le loup roux possède des pattes plus longues, des oreilles plus grosses et un pelage plus ras à la teinte roussâtre. Bien plus léger que le loup gris, cette espèce dépasse rarement les 35 kilos. Il lui arrive de se dresser sur ses pattes arrière pour observer les alentours, ce qui est inhabituel chez un loup. Il était autrefois très répandu dans le sud des Etats-Unis, d’où il a quasiment disparu dans les années 70, victime des persécutions de l’homme et des changements de son habitat. Il a malgré tout été réintroduit dans l’Etat du Wisconsin avec succès. Cette espèce est très protégée.

Par contre, il y a de nombreuses controverses sur le nombre de sous-espèces du loup gris, qu’on estime à une trentaine. On peut les classer par répartition géographique ; cependant, il est plausible qu’il y ait eu plusieurs vagues de migrations entre les loups d’Eurasie et d’Amérique du Nord. En outre, de récentes recherches génétiques ont permis de regrouper plusieurs sous-espèces en une seule. Le loup européen, généralement d’une hauteur au garrot moins élevée que celles de ces congénères américains, est également doté d’un pelage plus court, plus foncé et plus touffu.

Les espèces apparentées au loup sont les suivantes :

- Canis mesomelas : chacal à chabraque (Afrique de l’Est et du Sud).

- Canis aureus : chacal doré, chacal commun (Afrique du Nord et de l’Est, sud-est de l’Europe, sud de l’Asie).

- Canis simensis : loup d’Ethiopie (montagnes d’Ethiopie).

- Canis adustus : chacal à flanc rayé (Afrique centrale).

- Canis latrans : coyote (Etats-Unis, Sud du Canada).

- Canis lupus familiaris : chien.

- Canis lupus familiaris dingo : dingo (Australie, Sud et Sud-est asiatique).

Et les sous-espèces (ou formes) de loups en Amérique du Nord sont :

- Canis lupus arctos : loup arctique.

- Canis lupus occidentalis : loup d’Alaska.

- Canis lupus nubilus : loup du Minnesota.

- Canis lupus baileyi : loup mexicain.

- Canis lupus lycaon : loup du parc d’Algonquin.

Complément de ta liste : http://ours-loup-lynx.info/spip.php?article134

LE LOUP DU CANADA ET DE L’ALASKA (Canis lupus occidentalis )



Décrit pour la première fois par Richardson en 1829.

Les Loups du Canada, région du Mackenzie (Canis Lupus Machenzii):
Ils sont noirs, blancs ou gris.
Noir pour le loup de la taïga (forêts de conifères du nord canadien et de l'Eurasie).
Blanc pour le loup de la toundra (grandes prairies enneigées au nord de la taïga).
Gris pour le loup commun, appellé aussi Timber Wolf ou Gray Wolf au Canada.
Sa taille est haute, environ 80 cm au garrot. Les soles plantaires sont larges, facilitant la déplacement de l'animal sur la neige.
Leurs oreilles sont courtes afin de minimiser la déperdition de chaleur.

Habitat naturel : Alaska, Yukon, Mackenzie, Colombie Britannique, Alberta, Saskatchewan, sud du Manitoba, nord du Montana. A étendu son aire de répartition et a été réintroduit dans le nord du bloc américain.

Visible au(x) parc(s) : Parc à loups du Gévaudan
-> adresse : PARC DES LOUPS DU GEVAUDAN Sainte-Lucie 48100 Marvejols
-> prix : 7.50 euros par personne
-> avis personnel : C'est plus un secret, c'est un réel plaisir de retourner à ce parc, les loups y sont très bien traités, on peut les voir et les entendre hurler et c'est le plus grand parc à loups d'Europe.

Wowwww pour la deuxième photo Yelli!

Crocblanc21 a écrit:

Wowwww pour la deuxième photo Yelli!

Il s'agit de deux loups du parc du Gévaudan, au première plan c'est la première femelle de la meute (décédée il y a quelques années) et au second plan,son fils, Hottah en personne (qui s'est éclaircie aujourd'hui et qui est plus gris que noir)

Le loup arctique (Canis Lupus arctos )



En période hivernale, il est très difficile de voir les loups arctiques car leur pelage blanc leur permet de se camoufler. De plus ils limitent leurs mouvement et restent immobiles sur leurs observatoires, en hauteur, au dessus des vallées.
L'ouïe et l'odorat sont excellents. En revanche la vue est moins performante.
La faible densité de proies fait qu'il a un immense territoire d'une superficie allant jusqu'à 3 000 km².

La femelle est monoestrienne (qui ne peut se reproduire qu’une fois par an) – ceci est certainement une des adaptations au froid car des louveteaux qui naîtraient peu de temps avant l’hiver n’auraient aucune chance de survivre. Elle met bat en mai-juin, après 9 semaines de gestation, une portée de 4 à 8 petits, pesant 400 à 500 grammes.

Habitat naturel : Il ne reste que très peu de loups arctique dans le monde. Les seuls endroits où il est encore possible de les observer sont l'île d'Ellesmere, l'île de Banks et le nord de la Sibérie.

Visible au parc : La Maison des Loups
-> adresse :
Les Forges
09110 Orlu
-> prix :
adultes : 6,20 / enfants : 4 euro
-> avis personnel :
Un parc vraiment extraordinaire, où les loups sont bien traités, avec de grand espace.

Un loup qui n’a pas supporté le dégel

L’un des grands prédateurs de l’Amérique du Nord, le loup d’Alaska, se serait éteint à la fin de l’âge glaciaire, il y a 11.000 ans, sans laisser de descendant.

De nombreux animaux, parmi lesquels de gros mammifères comme les mammouths ou les félins à dents de sabre, ont disparu il y a environ 11.000 ans, à la fin du Pléistocène, au moment où le climat se réchauffait. Les loups gris d’Alaska auraient eux aussi fait les frais de la fin de l’âge glaciaire, selon une étude combinant des analyses morphologiques, génétiques et isotopiques d’os fossiles. Ces redoutables prédateurs, qui s’attaquaient à des proies beaucoup plus grosses qu’eux, se sont éteints, selon Blaire Van Valkenburgh (UCLA, USA) et ses collègues.

Les chercheurs ont récupéré de l’ADN mitochondrial sur des os fossilisés de loups du Pléistocène conservés dans le permafrost de l’ancienne Béringie (bande de terre qui reliait la Sibérie et l’Alaska). Etonnement, les chercheurs n’ont pas trouvé de points communs entre l’ADNmt des loups d’Alaska et celui des loups actuels, qu’ils soient d’Asie ou d’Amérique. De même, la comparaison des dents et des crânes montre que les loups du Pléistocène avait un museau plus court, un corps plus robuste et des dents plus grosses, adaptées au dépeçage de proies très grosses. Ils se nourrissaient de mammouths, de bisons, de caribous ou de bœufs musqués.

Ce loup d’Alaska se serait totalement éteint sans laisser de descendant, probablement victime des animaux dont il se nourrissait, concluent Van Valkenburgh et ses collègues dans la revue Current Biology (édition électronique du 21 juin). Leur ancien habitat a sans doute été colonisé après la grande extinction de la mégafaune par des loups qui vivaient plus au sud, sur des territoires qui n’avaient pas été recouverts par la glace, supposent les chercheurs.

Selon vous, de quelles façons les loups, d'une région à une autre, ont évolué pour survivre aux conditions de leurs milieux? Quelles conditions?

Loups en Scandinavie

L’estimation annuelle est de 141-160 individus, distribués en 15 meutes et 14-15 couples. La plupart (102-119 individus) sont en Suède ; 15-17 en Norvège. Les autres loups sont transfrontaliers.

Sur la piste du loup de Chabrières..

Le Limousin... ancienne terre d’un grand nombre de loups, où s’éteint en 1940 le dernier Canis lupus.

C’est dans cette région que germe l’idée de rendre hommage à ce grand prédateur, en créant, comme dans le Gévaudan, un parc à loups. En 2001 , naquit donc sur les hauteurs de Guéret, dans le massif de Chabrières, le « Parc à loup de Chabrières ». La communauté de communes de St Vaury peut être largement satisfaite du projet et de sa réalisation sur la commune de Ste Feyre.

La présentation du loup au public est une approche originale, loin des petits enclos austères de certains zoos et parcs animaliers. L’entrée du parc est un bâtiment en bois, aux allures de village gaulois et de fort Apache réunis, qui s’intègre à merveille dans la forêt.

Mon ressenti , la première fois que je me suis rendu au parc a été celui d’une atmosphère mystique . Après l’entrée, quelques grosses pierres vous accueillent, représentant l’âme de la région.

A gauche de la Maison du Loup se trouve l’observatoire astronomique, qui doté d’un matériel performant, dont un télescope de 450 mm, offre la découverte et l’approfondissement des connaissances du ciel aussi bien aux novices qu’aux passionnés d’étoiles , de nébuleuse et de galaxies.
Tout autour de l’Enclos des Roches des affûts situés à des points stratégiques permettent de guetter l’apparition éventuelle de Messire Loup .



Ce que j’aime dans ce parc, c’est l’esprit Loup. Ce n’est pas parce qu’il faut payer la modique somme de 7 € que les loups dansent la polka devant nous. Non, l’apparition de ces derniers est un privilège qui se mérite. Avec beaucoup de patience et de respect, le loup ne tarde pas à se montrer, quoique coquin, malicieux , parfois indifférent, il n’en ait pas toujours envie.

Je pense que le parc a su, grâce à tout ceci, trouver le juste équilibre entre l’observation du loup et sa tranquillité. Chabrières réveille en nous la joie de découvrir et d’observer

Partant du musée et délimitant l’enclos des Roches, le fameux chemin de ronde qui surplombe la palissade circulaire et qui se déploie depuis la Maison du Loup jusqu’à la tour, contribue ainsi à dissimuler les visiteurs au regard des loups de l’enclos. Après avoir monté les quelques marches qui vous mènent en haut de la palissade, une vue magnifique s’offre à vous sur les Monts de guéret à droite, le fanal de Peyrabout , la vallée de la Creuse devant, et dans le lointain le puy de Sancy et le puy de Dôme (Monts d’auvergne).. Cet enclos est, selon moi, un des plus abordable au niveau observation pour le grand public. On peut y voir évoluer 7 loups italiens en toutes quiétudes, la palissade permet de voir une grande partie de l’enclos. La meute composée du mâle Alpha Oural, de sa femelle Cassiopée, 1 mâle béta Thor de 2 mâles Amarok et Alfred , la petite femelle Luna et d’une femelle oméga Lyra....
Dans cet enclos, chaque jour vers 16h quelques « friandises » sont données afin que les visiteurs voient un peu mieux l’ensemble des loups et écoutent les commentaires des soigneurs....

En dessous de l’enclos des roches, se trouve l’enclos des sources 6 loups Européens y résident voici la composition de la meute :Roc et Pénéloppe couple Alpha, Lobo mâle beta et de 3 jeunes Osiris ,Isis et Nephtis...
Dans un décor, ou la main de l’homme est quasi inexistante, nous sommes plongé dans la forêt originelle Creusoise, pour apercevoir des loups , il vous faudra beaucoup de patience...Le parc a mit l’accent sur la tranquillité quasi total des loups.

Juste à coté se trouve l’enclos des 3 loups noir d’Alberta...composé de 2 mâles Buff, Denali et de la femelle Algina... Evoluant dans une sapinière, c’est loups viennent de temps en temps a votre rencontre dans ce que j’appellerai , « la danse de l’approche » ils font de large cercle pour venir voir qui vient troubler leur tranquillité...

En remontant le chemin nous arrivons dans un enclos en cours d’aménagement pour y recevoir 3 loups dont nous allons parler un peu plus loin...

Jouxtant cet enclos, nous se trouve celui de Roméo, Loup gris Européen, le seigneur de ces lieux, qui règne sur un bois parsemé de feuillu . L’observation y est facile et notre curieux camarade, ne manque pas de venir voir qui rôde aux alentours de son domaine....



Ensuite la visite se poursuit par l’enclos des loups blancs du Mackenzie ou vît le couple Alpha . Ce sont deux loups splendides qui viennent de deux parcs différents, de st Augustin et de Mulhouse. Fanzie est né en 1993 et Oumia en 1998.

Finissant la piste du loup, l’enclos d’Olaf, loup gris Européen... Phoenix et Imala viennent de l’enclos des sources. A cause de problèmes de santé le petit mâle et la petite femelle ont été retirés de leur enclos d’origine et ont ensuite été placés chez Olaf, qui les a pris sous son « aile ». Olaf tel un père et une mère en même tant, a su les aider à grandir...
C’est trois vont bientôt rejoindre l’enclos en cours d’aménagement, ils pourront alors évoluer dans un espace beaucoup plus grand...



Dans trois de ces enclos dont celui des roches, des sources et des loups d’Alberta , un heureux événement c’est produit....Des naissances ont eu lieu...prouvant le bien être des loups ! Dans l’enclos des roches des louveteaux ont vu le jour début mai... Dans la première semaine de juin, l’équipe des soigneurs, accompagnée du directeur du parc et du capacitaire se sont rendu dans l’enclos, pour y attraper les louveteaux afin de leurs faire passer une visite médicale et de les pucer. « L’expédition » a mit 15 min pour recueillir tous les petiots...Après être passés entre les mains du vétérinaires, ils ont été relâchés afin de rejoindre leurs congénères. Oural le loup Alpha n’a que modérément apprécié le « rapt » de ses petits...




article trouver sur loup.org

Google map c’est du passé :la carto vue par Peuple Loup

Peuple Loup se prépare à observer une meute de loup en milieu naturel pendant trois ans.

L’évolution du projet sera détaillée sur un site Internet, mis à jour régulièrement depuis la zone d’étude. Il sera composé des photos prises durant le reportage, des carnets de routes tenus quotidiennement par le photographe et des articles d’informations environnementales, validés et complétés par la biologiste en charge du projet.

Dans le cadre de ce projet, Julie Dewilde, écologue, souhaite étudier le domaine vital (délimitation, taille, variation entre les saisons...) de la meute ainsi que l’utilisation de son territoire.

Pour cela, une cartographie de la zone d’étude et en particulier de l’habitat est nécessaire. Même si dans la plupart des études sur le loup les données sont obtenues par radiotracking et pourront donc difficilement être comparées, le pistage utilisé ici permettra de recueillir des données très précises de localisation qui pourront être analysées pour obtenir des informations très intéressantes sur l’écologie de la meute.

Cartographie de la zone d’étude et du territoire

Le pistage en temps réel et la longue durée de l’étude va offrir une quantité importante de données et d’indices de présence. Ces informations sont essentielles et permettent de déterminer l’ensemble des actions de la meute sur les différentes zones de leur territoire. Afin de regrouper le maximum de données, l’observateur devra recenser plusieurs types d’indices :

1.Excréments
2.Empreintes
3.Carcasses
4.Rencontres visuelles

et associer ceux-ci avec les dates relevées.

Ces données seront envoyées à l’intervenant scientifique. Grâce aux points GPS (Global Positioning System) de ces indices, obtenus à partir d’un équipement adapté, chaque information de localisation est reportée sur une carte numérique aérienne de la zone d’étude en utilisant un logiciel de Système d’Analyse Géographique (SAG), développé par la société Articque, partenaire du projet.

Analyse des données

La base de données ainsi obtenue sera extraite et analysée sous Range. Des modèles paramétriques (Kernel) ou non-paramétriques (Minimum Convex Polygon) permettront ensuite d’estimer la taille, de visualiser le domaine vital et de montrer les mouvements de la meute.

Au bout des trois ans, nous aurons une bonne estimation de la taille du domaine vital, le but serait de déterminer d’éventuels noyaux d’utilisation à l’intérieur du territoire et d’observer les variations entres les saisons et si possible d’une année sur l’autre.

Parallèlement, une cartographie de l’habitat sera menée. Certaines études ayant montré une utilisation non-aléatoire de l’habitat dans certaines meutes de loups, il paraît intéressant de mettre en relation les localisations GPS avec l’ échantillonnage de l’habitat pour voir si la meute utilise de manière aléatoire ou non l’habitat disponible dans son territoire.

Ceci pourra également servir à une étude sur la sélection du site pour la tanière et l’utilisation de l’habitat sur différentes échelles spatiales dans le choix de l’emplacement de celle-ci.

Méthode

Afin de recueillir correctement les données, il convient de respecter certains protocoles et de définir une méthode de travail. Nous avons défini comment aborder le début du projet, qui sera fondamental pour la réussite du projet. (Voir le protocole)

De plus, il est nécessaire que Julie soit présente dès le début du projet, car il est difficile de travailler uniquement sur des cartes. Pour mettre en place des protocoles adaptés, elle doit se rendre compte de la configuration de la zone, des habitats qui la composent et des contraintes pratiques qu’imposera le mode de vie de Mickaël sur la prise de données.

La première année sera consacrée à l’exploration de la zone, les données recueillies ne pourront pas être analysées dans l’étude générale. En effet, nous devons prendre en comte un temps nécessaire d’habituation de la meute à Mickaël afin que les mouvements de celle-ci ne soient plus influencés par ses propres mouvements. Elles seront cependant données à titre informatif.

Elles serviront de base pour les deux années suivantes pour améliorer ou modifier les protocoles et méthode d’analyse si besoin est. Le but est d’obtenir une méthode claire, précise et efficace de prise de données et d’analyse pour la deuxième année, au moment où elles pourront commencer à être prises en compte dans l’analyse générale.

Pendant cette période d’exploration, Mickaël pourra précisément échantillonner et cartographier les différents habitats présents sur la zone. Nous pourrons également suivre ses déplacements sur le territoire grâce aux coordonnées GPS.

Nous allons mettre à disposition des visiteurs une carte interactive simplifiée, qui permettra de visualiser sur le site les différentes données. Vous pouvez visualiser des exemples sur ce site.

La technologie developpée par Articque permettra de lier les informations de la carte avec les articles et les photos du site, ce qui offrira une possibilité alternative pour suivre le projet. Des options de tri par données seront mis en place, ce qui permettra au visiteur de cibler une recherche spécifique.

Contacts

Pour toute question technique concernant les méthodes d’analyse et de cartographie, vous pouvez contacter Julie, qui se fera une joie de vous détailler tout ca.

(source : loup.org)