T7 : Armand le Vampire

Lol bah si on a lut le livre ...oui XD.
Moi je trouve que sa liéson avec marius et...étrange presque homosexuele.

Ce n'est pas "presque" homosexuelle, c'est homosexuelle lol
J'ai lu le livre il y a quelques jours. En tant que femme, il est normal que j'ai apprécié ( les couples entre hommes me font toujours craquer... ). Autant j'ai adoré le début du livre, autant j'ai détésté la deuxième moitié, au point d'insulter tout haut l'écrvain !
Pourquoi ? Tout simplement parce que j'avais plus l'impression de lire une bible plus qu'autrechose. Anne Rice devrait écrire des livres accessibles à tout genre de personne en tenant comte du fait que nous ne sommes pas tous croyants. Il n'y a pas à dire, la fin est pitoyable non ?
Enfin... qui suis-je pour critiquer cet auteur ?

Malgres cela, Armand reste mon personnage favori. ^^

C'est vrais que si on le décomposais il serais a:

-20 % vampire
-45 % religions
-35 % sexe.

Et il y a pire "ménoche le démond "est carrement un remix de la bible XD

Ca reste tout de meme de la fiction, elle ne fait pas de prosélytisme.
En tout cas je le l'ai pas ressenti comme ça

J'ai toujours vu les vampires comme "contre Dieu" et j'adorais cela. Je les vois autrement à présent, ça me fait de la peine.
Dites-moi, les autres livres de Anne Rice ( De cette série, je n'ai lu qu' Armand le vampire ) sont-ils aussi basés sur la religion que celui-ci ?
Si c'est le cas, je ne pense pas que je les lirai ( pardonnez-moi je suis complètement athéïste et tout sauf tolérante ).

Memnoch le Demon l'est plus mais si tu suis l'ordre tu l'as déja lu. Après, de mémoire il me semble que ça se calme un peu.

C'est étrange, moi c'est le coté trop homosexuel qui m'avait géné dans le sens ou je trouvais qu'elle s'éternisait un peu trop la dessus à mon gout.

A croire que Anne Rice à une tendance à en faire trop ;)

J'ai beaucoup apprecier ce livre, mais il est advenue que je l'ai lu avant tous les autres!!Mais j'ai adoré le style d'écriture d'anne rice, on ne s'ennuie jamais, les paysage sont vraiment bien decrits, en s'endormant parès, on en rêverait presque!!

Un début qui part un peu trop dans le roman à l'eau de rose, à mon gout... Elle en étale des couches et des couches sur une passion que l'on pourrait très bien comprendre sans tant de détails qui en deviennent presque écoeurant pour l'histoire... mais cette avalanche charnelle se justifie un peu plus loin, par la partie qui n'a pas été développée assez à mon goût : celle de la folie fanatique du vampire. ça permet bien le contraste, le passage de la lumière à l'obscurantisme...
Quand à la fin, j'ai bien apprécié l'intervention des deux enfants, même si je trouve que le blanc, le vide entre le départ de Venise et l'époque moderne est un peu décevant...
Pas son plus mauvais livre en tout cas !

Pour moi ce fut presque le premier roman de Anne Rice, et en tout cas le premier qui retrace la vie d'un de ses vampires (celui que j'avais lu avant cela étant La Reine des Damnés), il reste cependant mon préféré, ex aequo avec Lestat la vampire.

WitZ a écrit:

Quand à la fin, j'ai bien apprécié l'intervention des deux enfants, même si je trouve que le blanc, le vide entre le départ de Venise et l'époque moderne est un peu décevant...

Pas du même avis que toi au sujet de ce qui a précédé ce passage, mais tout à fait d'accord pour la lacune (que dis-je, une lacune?... c'est un lagon!) dans la nécrographie de notre cher Armand.

Juste une petite digression : je suis allé écouter cette musique qui revient sans cesse dans le livre, l'appassionata. Puissante, torturée, un vrai moment de plaisir, mais je ne saurais en parler mieux que les critiques :
"Si cette sonate est si célèbre et si universellement considérée comme une oeuvre de génie, c'est sans doute parce qu'elle propose à l'esprit la rhétorique la plus inéluctable, tout en l'entrainant dans des abîmes d'étrangeté, comme si le déferlement état posé en règle et le libre désordre en orde suprême - antinomies qu'on pourrait bien sûr multipler à l'envie. Tout commence dès l'incipit du premier mouvement, avec ce motif pointé, grandiose, son trajet 2 fois inversé, l'attente, le ralenti, tout cela pianissimo, et la grande déferlante, forte, d'une réponse jetée comme un anathème. L'étrange intervient ici, dè sla seconde apparition de ce thème, doté d'emblée d'une spirale d'échos, irisation à proprement parler de ce qui apparaissait comme un matériau solide à travers un système de diffraction et d'éclats. De façon tout aussi étrange, cette musique on ne peut plus heurtée rayonne de plénitude, comme si Beethoven réussissait à épuiser quelque chose d'une énergie extraordinairement débridée. Schubert, dans ses sonates les plus abouties, ne proposera jamais ce ton fait de déchirements, mais aussi de "réparations".
En prenant pour forme de son deuxième mouvement un thème et variations, Beethoven ouvre un nouveau champ, comme un hymne un rien hiératique dont les piliers rythmiques seront peu à peu décomposés.
Le final est enchaîné à ce mouvement lent, avec une introduction fortissimo en rythmes pointés extrêmement efficaces mettant en valeur le nouveau flux et la force extraordinaire de cette séquence..."

Et effectivement, l'interprétation de cette musique au nom aussi paradoxal que son jeu, est d'une importance majeure... si l'on veut être pris dans ses mailles sonores. Alors j'aurais aimé entendre jouer Sybelle, comme Rice l'a entendue, lors de l'écriture de son dernier chapître.